Les combattants de la liberté talibans libèrent à une vitesse fulgurante leur pays de l’occupant négro-LGBT

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 août 2021

En vert, les zones libérées par les talibans. En rouge, les zones en voie de libération. En bleu, les zones occupées par ZOG

L’empire juif négro-LGBT reçoit en ce moment même une décisive humiliation en Afghanistan.

Les talibans s’emparent à la vitesse de l’éclair de provinces entières.

France Info :

Les talibans se sont emparés mardi 10 août de deux nouvelles capitales provinciales en Afghanistan, poursuivant leur avancée fulgurante. Dans le même temps, le président des Etats-Unis Joe Biden a assumé sa décision de retirer les troupes américaines et a appelé les forces gouvernementales à « se battre ».

Avec Farah, dans l’ouest, et Pul-e Khumri, dans le nord, les insurgés contrôlent désormais huit des 34 capitales provinciales afghanes, dont six des neuf du nord du pays. Les civils fuient en masse devant leur avancée apparemment inéluctable. Les insurgés ont aussi pris mardi Farah, capitale de la province du même nom, après de brefs combats.

Les talibans ont lancé cette offensive en mai, au début du retrait final des forces américaines et étrangères, mais leur avancée s’est accélérée ces derniers jours avec la prise de plusieurs centres urbains. Le départ des forces internationales doit être achevé d’ici le 31 août, vingt ans après leur intervention dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.

« Je ne regrette pas ma décision » de quitter l’Afghanistan, a assuré mardi le président américain Joe Biden. Les Afghans « doivent avoir la volonté de se battre » et « doivent se battre pour eux-mêmes, pour leur nation », a-t-il martelé. Washington cache de moins en moins son agacement face à la faiblesse de l’armée de Kaboul, que les Américains forment, financent et équipent depuis des années.

Le porte-parole de la diplomatie américaine, Ned Price, a ainsi souligné que les forces gouvernementales étaient « très supérieures en nombre » aux talibans, et qu’elles avaient « le potentiel d’infliger des pertes plus importantes ». « Cette idée que l’avancée des talibans ne peut pas être arrêtée », « ce n’est pas la réalité du terrain », a-t-il estimé.

La réalité du terrain dit autre chose.

A bord de leur matériel américain tout juste sorti d’usine, les moudjahidines déferlent dans les rues à la recherche des traîtres qui ont vendu leur pays à la juiverie new-yorkaise pour imposer l’anal et le culte de l’holocauste.

L’ambassade américaine ne fera bientôt plus flotter les couleurs de l’empire.

Les talibans sont musulmans, ce qui n’a rien d’étonnant dans un pays musulman.

Ils ne sont pas plus musulmans, ni moins musulmans que les autres musulmans de cette région. Ils ne sont certainement pas plus musulmans que les wahhabites saoudiens que les démocraties courtisent parce qu’ils ont du pétrole.

Même quand ils coupent des journalistes en dés, à l’instar de Jamal Khashoggi.

Les talibans ont été longtemps assimilés par les médias juifs occidentaux à Al Qaeda pour justifier la guerre d’agression que menait ZOG en Afghanistan. En réalité, ce sont uniquement des nationalistes afghans qui veulent vivre dans leur pays comme ils l’entendent. Ce qui implique, pour des musulmans, de vivre selon les règles de l’islam.

Ce n’est qu’assez récemment, sous l’influence des bellicistes juifs comme Bernard-Henri Lévy et de ses coreligionnaires d’Youtre-Atlantique, que nous avons reçu pour mission d’aller faire la guerre aux pays musulmans pour leur imposer la « démocratie », des parades anales et le culte des bêtes sauvages que sont les noirs. En un mot le colonialisme bancaire juif.

Sans l’impérialisme juif, nous saurions à peine situer l’Afghanistan sur une carte.

Ces gens peuvent vivre comme ils veulent, lapider leurs femmes quand ils veulent, ça ne nous concerne pas et ne nous a jamais concerné.

Hélas, les juifs insistent pour que cela nous concerne en nous faisant faire leurs guerres d’agression et de rapine contre de tels pays.

Avec en cadeau, l’immigration de masse islamique.

Dans quelques mois, nous allons apprendre par la presse juive que des centaines de milliers d’interprètes afghans doivent être installés dans les campagnes françaises afin de repeupler les villages en voie de désertification. Les juifs seront intraitables sur ce point. Et quand des gamines blanches se feront violer par ces nuées d’interprètes, la presse juive expliquera que c’est à cause du racisme des Blancs.

C’est tellement usant.

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