Les bougnoules de Libye relance la vente d’esclaves nègres

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 avril 2017

 

Voilà une histoire qui devrait plaire à nos lecteurs. Avec la disparition de l’État Libyen et des fragiles influences européennes que son modèle socialiste tentait  d’imposer, le pays est revenu à l’âge réel de son peuplement : l’Antiquité.

Aucun jugement de valeur, un simple constat.

La Tribune :

Le personnel de l’Organisation Internationale de la Migration (OIM) au Niger et en Libye a fait état, dans un communiqué diffusé ce mardi 11 avril, de l’existence d’un commerce de migrants subsahariens, vendus pécuniairement comme « esclaves » sur des « marchés » en Libye. Un commerce immoral qui prolifère dans l’indifférence totale dans une Libye dévastée par la guerre et qui tend à devenir une sorte de nouvelle Gorée pour les migrants.

Des migrants subsahariens « échangés » entre 200 et 500 dollars pour ensuite être affectés à des travaux de maisons libyennes. D’autres séquestrés, torturés et obligés à appeler leurs familles afin qu’elles payent leur libération. En Libye, dénonce l’OIM dans un communiqué, des centaines de migrants et de migrantes subsahariens sont vendus publiquement dans des « marchés » ou des garages.

Selon plusieurs témoignages recueillis au cours d’une enquête du personnel de l’OIM auprès de migrants rescapés, « vous allez au marché, et vous pouvez payer entre 200 et 500 dollars pour avoir un migrant », dénonce Othman Belbeisi, le chef de la mission de l’OIM en Libye. « Après l’avoir achetée, vous devenez responsable de cette personne. (…) Certaines d’entre elles s’échappent, d’autres sont maintenues en servitude », ajoute le responsable, repris par les médias du monde entier.

Le calvaire des migrants ne s’arrête pas là. « Des migrants subsahariens étaient vendus et achetés par des Libyens, avec l’aide de Ghanéens et de Nigériens qui travaillent pour eux », rapporte le personnel de l’OIM selon des récits de migrants. Sur la route de la migration entre le Niger et la Libye notamment à Sbaha, Misrata ou Tripoli, les migrants subsahariens sont pour la plupart victimes de passeurs sans scrupules qui les livrent par la suite à des « acheteurs » libyens.

Face au désastre décrit par l’organisation affiliée à l’ONU, une communauté internationale silencieuse et immobile face à des violations ouvertes et graves de droits de l’Homme. Plus loin, la dénonciation de l’OIM fait remonter de douloureux souvenir d’un passé douloureux en Afrique.

Cet article écrit par un nègre dénommé « Ibrahima Bayo Jr » essaie de faire pleurer le lecteur blanc d’Europe en suscitant chez lui ce travers fatal qu’est l’empathie. Lecteur qui n’est d’ailleurs pas le responsable de la guerre en Libye – il faut se référer aux juifs Henri Lévy et son coreligionnaire Sarközy – mais celui qui aurait fatalement subi l’arrivage de ces bamboulas sur les côtes européennes.

Il impératif de le rappeler : ces nègres hébétés entendaient se répandre sur le sol de l’Europe pour se livrer à la destruction de notre culture et imposer leur immonde et repoussante sauvagerie.

Comme ici en Italie.

En chemin donc, certains d’entre eux sont devenus les esclaves de leurs nouveaux maîtres arabes qui les traitent comme les sauvages qu’ils sont. Les bougnoules n’ont visiblement pas nos pudeurs.

Les peaux sombres n’ont certainement pas besoin de l’homme blanc pour se livrer à l’esclavage, ce que cet exemple rappelle aux plus naïfs.

L’article se conclut inévitablement sur un appel à l’ONU et aux « droits de l’homme », c’est-à-dire aux Blancs, pour sauver cette horde de parasites nègres qui entendaient violer nos femmes et nous voler.

Inutile de dire que le sort qui les attend est d’autant plus délectable.