Selon une vieille « psychanalyste » dégueulasse, défendre son pays équivaut au djihadisme

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
30 mars 2017

 

Les plumitifs du torchon socialiste « Le Monde », stipendiés par la tante Pierre Bergé et le banquier juif Matthieu Pigasse, ont encore de belles histoires à nous raconter.

Ils ont convoqué une demi-folle pour délirer abondamment sur le Front National, le comparant au djihadisme. Voici la psychotique qui a écrit ce truc, elle s’appelle Marie-Hélène Brousse :

Mais regardez moi cette gueule de vieille peau ménopausée avec sa coiffure : on dirait un chien de chasse.

Le Monde :

Marie-Hélène Brousse, psychanalyste et enseignante à Paris-VIII, analyse dans une tribune au « Monde » les ressorts du « discours d’extrême droite : la peur et la haine de la démocratie ».

Oui, le Front dit national veut dans un premier temps gagner les élections pour, dans un deuxième, confisquer à la France ses institutions républicaines afin de les remplacer par « l’Etat français » de sinistre mémoire ou un autre signifiant antirépublicain.

Il existe une profonde affinité entre l’extrême droite et le djihadisme. Les deux s’offrent d’ailleurs actuellement comme solutions à une jeunesse désorientée. Conversion à l’Islam et addiction aux dro

gues dans les banlieues ; adhésion au FN dans les calmes campagnes françaises. La fin du système hitlérien dans une apocalypse où le peuple à abattre après le peuple juif était devenu le peuple allemand lui-même montre assez que la haine de l’autre couvre la haine de soi.

Bien sûr, ce qu’ils désignent sous le terme « d’extrême-droite » n’est rien d’autre que la somme des Français ne voulant pas crever d’overdose islamique. Ce qui rend la comparaison profondément répugnante.

Qui peut encore sérieusement se référer à cette pseudo-science de charlatan juif qu’est la psychanalyse ? Ce pyschologisme de bazar serait censé calmer les ouvriers, les chômeurs subissant de plein fouet la tiers-mondisation de leur pays ?

Je suppose qu’il s’agit d’exciter ce qu’il reste de haine dans le cœur des vieilles rombières de gauche qui lisent encore « Le Monde ».