L’élégante macroniste Agnès Cerighelli invite les traînées à cesser de s’exhiber à poil au milieu des nègres et des bougnoules pour ne pas se faire violer

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 mai 2019

J’ai découvert cette femme prénommée Agnès Cerighelli sur Twitter il y a quelques semaines et, assez curieusement pour une femme, elle fait preuve de bon sens.

C’est une macroniste mais ce qu’elle dit est totalement décalé.

Concrètement, elle explique régulièrement que les traînées et les fiottes devraient être assassinés méthodiquement dans le cadre d’une politique gouvernementale ambitieuse.

C’est du bon sens anti-PAN.

Je ne peux pas prendre au sérieux une femme qui dit avoir été violée alors qu’elle se baladait dans le RER à demi-nue; au milieu de nègres et d’arabes défoncés après minuit.

Oui.

Je ne comprends pas comment, en France, on peut laisser sa fille ou sa femme prendre les transports en commun seule, peu importe l’heure. Les rues de Bagdad sont probablement plus sûres.

En tout cas, ce propos de bon sens fait exploser de rage les traînées, évidemment.

Regardez, vous avez là la pétasse féministe type.

Ces traînées veulent pouvoir mettre en rut des dizaines de nègres et d’arabes dans une rame de métro, mais c’est à vous, l’homme blanc, de veiller à ce que ces putes puissent continuer à faire les putes en toute sécurité en intervenant si besoin.

Mettre le bordel partout avec leur chatte, c’est leur raison d’être. Et cela les excite encore plus si ça se termine sur une émeute raciale.

Car il va sans dire que lorsqu’il y a une embrouille, ce sont les bons vieux flics blancs de 35 ans qui doivent débarquer pour calmer la meute.

Désolé les pétasses, non

Au 21ème siècle, dans la France mélanisée qu’elles aiment tant, ces putes féministes, si elles veulent faire les putes féministes, vont devoir assumer le risque d’être des putes féministes.

Être une pute libérée suppose de compter sur soi-même pour survivre en environnement hostile. Après tout, c’est ce qu’elles voulaient : faire ce qu’elles veulent sans l’avis des mecs. Banco.

Plus de chevalier blanc sur son fier destrier pour se porter au secours de Mélissa la grosse traînée chauffeuse de métèques.

Voici le maître-axiome :

Faites mal aux traînées en ne faisant rien

Ce simple principe réduit à néant le féminisme et tous les problèmes que ce cancer apporte avec lui.

Une règle simple.

Cette immigration marron que ces connasses défendent mordicus – dans l’espoir de faire monter les enchères sur le marché sexuel en leur faveur – peut devenir le meilleur moyen de les ramener fissa à la cuisine.

Comme déjà dit : le choix du futur, pour ces gonzesses, ce sera la Charia ou la Charia Blanche.

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