L’égorgeur d’allah Abdeslam se plaint d’être persécuté

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 février 2018

 

Les démocraties sont déjà vaincues par les musulmans, ce théâtre de cirque ne sert qu’à donner l’illusion de la normalité aux populations européennes.

Russia Today :

Le procès de Salah Abdeslam qui démarre le 5 février au matin à Bruxelles préfigure celui des attentats du 13 novembre 2015 prévu à Paris. D’ores et déjà, le terroriste a fait savoir qu’il ne souhaitait pas répondre aux questions et a invoqué Allah.

L’ouverture de ce premier procès constituait un test, censé figurer ce qui devrait se dérouler à Paris sur les attentats commis le 13 novembre 2015 sur les terrasses parisiennes et au Bataclan. Quatre jours de procès où doit se manifester la décision très attendue de Salah Abdeslam : va-t-il sortir de son mutisme, comme l’exhortent depuis plusieurs mois son frère Mohamed Abdeslam et son avocat Sven Mary ? Il est pour l’instant resté très laconique, si ce n’est pour confirmer son attachement à la religion : «Jugez moi, faites ce que vous voulez de moi. Je place ma confiance en Allah. Je n’ai pas peur de vous».

Et pour cause : tout ce foutoir est du dernier grotesque. Pourquoi aurait-il peur ?

Alors qu’on l’enjoignait à parler, Salah Abdeslam a réitéré son refus de s’exprimer et s’en est expliqué : «Je ne souhaite pas répondre […]. On m’a demandé de venir et je suis venu tout simplement. On m’accuse alors je suis ici. Mon silence ne fait pas de moi ni un criminel, ni un coupable. J’aimerais qu’on se base sur les preuves scientifiques et tangibles». Le prévenu a refusé de se lever car il était «fatigué». «Ce que je constate c’est que les musulmans sont traités de la pire des manières. Il n’y a pas de présomption d’innocence», a-t-il ajouté.

Oui, Laurent et René persécutent les musulmans.

Tous les jours, la justice belge ou française persécute les bougnoules.

Pour que cette fiction soit possible, on transporte ce crouille depuis Paris jusqu’à Bruxelles.

A 3h30, Salah Abdeslam a quitté la prison de Fleury Mérogis dans un convoi de véhicules de gendarmes d’élite du GIGN. Ils ont pu gagner le Palais de justice de Bruxelles, doté d’un dispositif de sécurité exceptionnel. L’arrivée des fourgons blindés dans la pénombre conférait à l’événement une solennité hors norme.

De 100 à 200 hélicoptères ont été mobilisés. 200 agents des unités d’élite sont aussi présents à l’intérieur du tribunal. Les entrées ont été équipées de plots en béton pour mieux protéger les allées et venues des hommes de loi.

C’est absurde.

Tout ce dispositif sécuritaire absolument énorme pour un but ridicule : juger un bougnoule.

Le concept même d’un procès pour des allogènes en Europe est absurde. De quels droits un envahisseur peut-il se prévaloir ?

Au surplus, de quel châtiment disposent ces tribunaux contre ces terroristes ?

Sans guillotine ou corde à piano, aucun tribunal ne peut sérieusement prétendre régler un tel problème.

Des terroristes n’ont pas à être jugés. Le gouvernement doit les faire arrêter et une cour militaire doit prononcer leurs exécutions.

C’est ce que prévoyaient d’ailleurs la Convention de Genève pour les terroristes.