Le variant indien infecte la majorité des personnes déjà vaccinées dans un Ehpad des Landes

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 juin 2021

La stratégie gouvernementale est désormais totalement limpide.

Elle n’a rien à voir avec une quelconque immunité collective, bien au contraire.

Ouest-France :

Vingt-trois résidents et six membres du personnel touchés ont été détectés positifs au Covid-19 dans un Ehpad de Pontonx-sur-l’Adour dans les Landes, selon une information de France Bleu Gascogne du 23 juin 2021.

La directrice de l’établissement, Sarah Gonzalez, a déclaré ce jeudi 24 juin 2021 chez nos confrères de RTL avoir été très surprise car les résidents étaient bien vaccinés. Vingt-et-un résidents sur les 23 contaminés avaient reçu leur deuxième injection au mois de février, précise Franceinfo .

Si on ne sait pas quel vaccin a été utilisé, aucune personne contaminée n’est en réanimation, bien que trois d’entre eux soient hospitalisés.

Le variant Delta a été détecté chez 19 personnes (sur les 29 cas), dans un département des Landes où ce variant apparu en Inde représente désormais 70 % des cas positifs, annonce Gabriel Attal le porte-parole du gouvernement, contre 30 % la semaine dernière. À l’échelle du pays, le variant représente entre 9 à 10 % des cas positifs.

« La CPAM est en train de faire le tracing pour essayer de remonter à la première personne », détaille la directrice. Les membres du personnel contrairement aux résidents, n’ont pas tous été vaccinés, explique-t-elle au micro de RTL . Seul 60 % d’entre eux le seraient.

Le fait que le personnel ne soit pas totalement vacciné n’a aucune importance : ceux qui sont vaccinés ont quand même été infectés par le variant indien.

Puis quelques heures plus tard, relate Sud Ouest , c’est Olivier Véran, ministre de la santé, interrogé dans les locaux de la CPAM, qui apporte des éléments de réponse : « Manifestement, le virus est entré dans l’Ehpad par une soignante qui n’était pas vaccinée ». Le directeur général de l’Agence régionale de santé de la Nouvelle-Aquitaine confirme cette information, rapporte le journal.

Selon des estimations de Santé publique France publiées le 17 juin 2021, la vaccination est loin d’être totale au sein des Ehpad. 81,1 % des résidents sont vaccinés, contre 42 % pour les professionnels de ces établissements.

Ce cluster relance le débat sur la vaccination des soignants, qu’Olivier Véran avait menacé de rendre obligatoire, avant de se raviser.

Cette fois, c’est Jean Castex, le premier ministre, qui se prononce jeudi 24 juin en ce sens, sans pour autant la rendre obligatoire.

En visite avec Olivier Véran, Jean Castex estime qu’il est « impératif que les personnels de ces Ehpad soient tous vaccinés […] d’ici la fin du mois d’août ».

Le Premier ministre lance cet « appel solennel, à défaut de quoi [le gouvernement devra] prendre [ses] responsabilités », rapporte un journaliste du Figaro sur Twitter.

La réaction du gouvernement est révélatrice.

Ce que la situation de cet EHPAD démontre, c’est que la vaccination n’empêche pas d’être infecté par le Covid19 et encore moins par des variants. Mais le gouvernement covidiste renverse complètement la réalité et annonce que la solution consiste à vacciner obligatoirement le personnel.

C’est en fait une répétition générale. D’ici à l’automne, le variant indien circulera partout. Outre la remise en place immédiate du confinement, du port du masque et de l’obligation de recourir au passeport sanitaire pour se déplacer, la vaccination sera rendue obligatoire.

C’est l’objectif : injecter à toute la population des vaccins « à fuite » qui n’empêchent pas de contracter le virus mais se contentent de rendre asymptomatique.

J’en parlais dans un papier sur la situation britannique.

Grande-Bretagne : comme prévu, avec 82% des adultes vaccinés, les infections repartent rapidement à la hausse sous l’effet des nouveaux variants

Les personnes vaccinées deviennent des laboratoires vivants où des variants beaucoup plus létaux apparaissent. Ces variants létaux circulent à grande échelle car ils ne tuent pas ceux qui en sont infectés. Normalement, l’hôte meurt avant d’avoir pu infecter d’autres personnes. Ou en tout cas, beaucoup moins qu’une forme modérée qui n’empêche pas d’aller et venir.

Avec la vaccination, les variants dangereux circulent sans jamais être entravés par la mort rapide de celui qui le contracte. Plus le cycle de vaccination continue, plus les variants deviennent létaux et répandus.

A cause de cette stratégie vaccinale à base de vaccins « à fuite » qui n’empêchent pas de contracter le virus mais rendent uniquement asymptomatique, la maladie de Marek est devenue létale dans 100% des cas observés chez les volailles.

En conséquence, tous les élevages de volailles vaccinent.

Le système le sait. Ce n’est pas une erreur de stratégie.

L’objectif est de rendre l’humanité irréversiblement dépendante de la vaccination pour survivre. Donc, du système et de ceux qui le contrôlent : les juifs.

Si au plan médical, cette vaccination de masse, y compris des enfants qui n’en souffrent pas, n’a aucun sens, elle est totalement logique dès lors que l’objectif est d’enchaîner définitivement les masses. Le système disposera du droit de vie ou de mort sur tous. Et pour ceux qui resteront en vie, les libertés anthropologiques auront cessé d’exister.

Les rebelles seront immédiatement privés de vaccin et mourront à brève échéance. Si bien qu’au bout d’un moment, par simple sélection génétique et domestication, l’idée même de rébellion aura cessé d’exister.

Comme chez les renards argentés de Russie dans le cadre d’une expérimentation soviétique.

Ils iront où le système veut qu’ils aillent.

C’est ce qui se passe en ce moment même.

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