Le tyran négro-communiste Mugabe, partisan du génocide des Blancs, finalement crevé !

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 septembre 2019

 

Cette terre se porte un peu mieux depuis aujourd’hui. Le despote cannibale Robert Mugabe, adepte du communisme nègre, est crevé.

C’est ce qu’a annoncé son successeur à la présidence du Zimbabwe.

C’est avec la plus grande tristesse que j’annonce le décès du père fondateur et ancien président du Zimbabwe, le Cde Robert Mugabe (1/2)

Cde Mugabe était une icône de la libération, un panafricaniste qui a consacré sa vie à l’émancipation et à la responsabilisation de son peuple. Sa contribution à l’histoire de notre nation et de notre continent ne sera jamais oubliée. Que son âme repose en paix éternelle

Les nègres tiennent à rappeler l’essentiel.

Il est impossible pour le Zimbabwe, jadis prospère, d’oublier le potentat nègre qui a irréversiblement pulvérisé l’économie de son pays en procédant au nettoyage ethnique de milliers de fermiers blancs qui avait fait du pays un grenier à céréales.

En 2008, l’inflation avait atteint 90 milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de %, soit 90 sextilliards.

Des billets de 100 milliards étaient même en circulation.

Les cafres indolents et jaloux du Zimbabwe, excités par leur roi-nègre Mugabe, s’étaient dits qu’en volant les terres des fermiers blancs, ils seraient riches pour l’éternité tout en pouvant continuer de rien faire.

Livrés à eux-mêmes, les nègres découvrirent que sans les Blancs, ils ne pouvaient que crever de faim.

Plus de 12 ans après le nettoyage ethnique, le Zimbabwe stagne dans l’anarchie et la famine.

Jusqu’en 2017, le roi-nègre Mugabe pillait allègrement ce qu’il pouvait rester dans les caisses du pays avec l’aide de la sorcière vaudoue, Grace Mugabe.

Deutsche Welle :

Fêtes d’anniversaire à plus de deux millions de dollars avec champagne et caviar. Des biens immobiliers, véhicules, bijoux coûteux, montres mais aussi intérêts dans des transactions de diamant et autres matières premières. Des terres, dont celles provenant d’expropriations de fermiers blancs. En 37 ans de pouvoir, Robert Mugabe et ses proches ont accumulé des richesses considérables. Sa femme, Grace Mugabe, a même été surnommée Gucci Grace en raison de son goût pour le luxe. Un goût que partagent les deux fils du couple.

Pendant plusieurs années, Chatunga Mugabe a par exemple vécu dans un appartement à Dubaï. Loyer mensuel: 30. 000 euros. Une vidéo montrant le fils Mugabe faisant couler du champagne sur sa montre-bracelet sertie de diamants dans un club de Johannesburg a suscité de vives réactions sur Instagram.

Il n’est pas jusqu’à sa démission qu’il n’ait vendu à ses successeurs.

Le PIB n’a augmenté que grâce à l’aide économique internationale – c’est-à-dire le labeur des états occidentaux – qui maintient ce trou à rats à flots.

Curieusement, la presse juive ne semble pas retenir ce nettoyage ethnique et ses conséquences.

Il est simplement question de « libération » et « d’indépendance ». Bref, du temps où la petite Rhodésie blanche tenait tête aux nègres communistes conseillés par le KGB et soutenus par les démocraties juives occidentales.

L’armée rhodésienne n’a jamais dépassé plus de 4,000 soldats blancs professionnels dont les SAS rhodésiens.

En dépit de sa taille, elle était considérée, en valeur combattive individuelle, comme une des meilleures du monde et surclassait la négraille stipendiée par le marxisme international.

Cette armée se battait comme les Spartiates aux Thermopyles : sous embargo des démocraties financières juives occidentales, des états communistes et du tiers-monde, elle devait lutter les mains attachées dans le dos.

En dépit des sanctions, l’armée blanche rhodésienne disposait d’un armement de qualité. Le soldat blanc avait pour fusil de dotation réglementaire le FN FAL belge. Tous les citoyens blancs étaient par ailleurs armés, femmes y compris.

Pour un soldat blanc tué au moins dix terroristes nègres étaient liquidés.

Mugabe a donc finalement rejoint l’enfer réservé aux créatures vaudoues de son genre. C’est l’occasion de méditer sur la nature de l’ennemi négro-communiste soutenu à bout de bras par la finance et la presse juives jusque dans nos rues.