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Captain Harlock
Démocratie Participative
24 novembre 2019
Du nouveau chez les juifs.
Ils veulent empêcher les goyim de s’exprimer. Encore plus qu’actuellement, s’entend.
25 minutes de vociférations et de menaces hébraïques, rien de moins.
L’acteur et humoriste Sacha Baron Cohen a livré un témoignage bien senti contre les géants du web – comme Facebook, Twitter, YouTube et Google –, les décrivant comme « la plus grande machine de propagande de l’histoire ». Il les tient aussi responsables de la flambée des « attaques meurtrières contre les minorités ethniques et religieuses ».
Sacha Baron Cohen est plutôt connu pour ses personnages humoristiques complètement déjantés, comme Borat, le Kazakh naïf; Brüno, l’Autrichien homosexuel très à l’aise, ou encore Ali G, le frimeur ridicule provenant du ghetto. Or, on a eu droit cette semaine au vrai Sacha Baron Cohen, et il n’avait pas trop la tête à plaisanter.
Cohen a pris la parole jeudi dernier à l’occasion de l’événement Never Is Now, sommet de la Ligue antidiffamation (Anti-Defamation League) sur l’antisémitisme et la haine, à New York, alors qu’il recevait le prix du leadership international de l’organisation non gouvernementale. Selon ce que rapporte The Guardian, il a profité de sa tribune pour lancer des flèches à plusieurs géants du web.
L’ADL est l’équivalent de la Licra.
C’est une agence de recouvrement juive dont la principale occupation consiste à racketter tous les états de la terre au nom de ce concept étonnant « d’holocauste ».
L’ADL ne s’embarrasse plus trop de nuance.
Elle exige l’abolition du premier amendement de la constitution américaine qui garantit la liberté d’expression.
Accessoirement, puisque les juifs sont modestes, elle exige une campagne de terreur globale contre tous les opposants à la tyrannie judéo-globaliste.
« Les crimes haineux sont en hausse, tout comme les attaques meurtrières contre les minorités ethniques et religieuses. Toute cette haine et cette violence sont facilitées par une poignée d’entreprises du web qui forment la plus grande machine de propagande de l’histoire », a affirmé Cohen.
« C’est pourquoi YouTube a recommandé aux internautes des vidéos du conspirationniste Alex Jones des milliards de fois. C’est pourquoi les fausses nouvelles obtiennent plus de succès que les vraies nouvelles, parce que des études démontrent que les mensonges se propagent plus vite que la vérité. Comme une manchette l’exprimait récemment, pensez seulement à ce que Goebbels aurait pu faire avec Facebook », a-t-il ajouté.
Oui, j’y pense et la réponse est claire : rien.
Ce sale juif de Cohen sait parfaitement que Goebbels aurait été viré de la plateforme depuis au moins 2010 par le non moins juif Zuckerberg.
En revanche, si l’internet était libre en Occident, Goebbels aurait effectivement fait un carton planétaire.
Quand tu apprends la dernière crasse dont les juifs se sont rendus coupables
C’est une évidence.
Mais ce boycott hébraïque ne suffit pas, apparemment.
Cohen a réservé ses paroles les plus dures pour Facebook, qui a récemment fait l’objet de vives critiques pour sa décision de ne pas soumettre les publicités politiques à une vérification des faits.
« Si vous payez, Facebook va mettre en ligne toutes les publicités politiques que vous voulez, même si ce sont des mensonges, a-t-il lancé. On vous aidera même à microcibler des internautes pour un effet maximal. »
L’acteur britannique a ensuite attaqué le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, en ce qui concerne la justification de ses politiques, selon laquelle le réseau social serait un bastion de la liberté d’expression. « Je crois que nous pouvons tous nous entendre sur le fait que nous ne devrions pas fournir de plateforme aux racistes et aux pédophiles afin qu’ils répandent leurs points de vue et qu’ils ciblent leurs victimes. »
Observez le culot du juif.
Cohen vient planter la pédophilie au milieu du décor pour salir les opposants au cosmopolitisme hébraïque en plein scandale Epstein et Polanski.
Ils oseront tout, sans aucune honte.
Le juif exhibitionniste ne connaît pas cette notion.
Quelle sale race de menteurs et d’escrocs.
Cohen a ajouté que les entreprises web devraient être tenues responsables de leur contenu. « Il est temps d’appeler ces entreprises par le titre qui leur revient vraiment, les plus grands éditeurs de l’histoire. J’ai une idée pour elles : qu’elles se conforment aux normes et aux pratiques de base, tout comme les journaux, les magazines et les émissions de nouvelles le font chaque jour. »
Selon lui, imposer des amendes aux entreprises du web n’est pas suffisant et il faudrait peut-être imposer des peines de prison pour la propagande haineuse qui mène à des ingérences politiques ou qui encouragent des génocides.
Oy vey !
Un appel en bonne et due forme à la terreur rouge.
Que du classique.
Facebook a réagi au discours de Cohen par le biais d’un porte-parole : « Sacha Baron Cohen a présenté une image déformée des politiques de Facebook. Le discours haineux est banni sur notre plateforme. Nous bannissons les gens qui préconisent la violence et nous retirons tous ceux qui l’encouragent. Personne – incluant les politiciens – ne peut préconiser ou faire la promotion de la haine, de la violence ou de meurtres de masse sur Facebook. »
Oui, on avait remarqué qu’il était impossible de s’exprimer sur ce goulag digital qu’on appelle (((Facebook))).
Je ne sais pas pour vous, mais pour moi utiliser Facebook est devenu une expérience particulièrement pénible. De toute façon, je n’y vais que pour voir quelques pages de news.
Les réseaux sociaux étaient censés à l’origine être une expérience sociale divertissante mais il a suffi que les juifs s’en emparent pour les transformer en quelques années en véritable séance de torture psychologique pour goy.
En dépit de cette évolution terroriste, les gros juifs de l’ADL restent des maximalistes. Ils en veulent plus, beaucoup plus.
Tant que des gens ne seront pas pendus dans les rues d’Occident pour avoir liké un post critiquant vaguement Israël, ils ne seront pas satisfaits.
Ils ne retrouveront pas le sommeil.
Nous avons, à New York, des milliers de Bela Kun au bord de l’explosion nerveuse. Cette fermentation levantine aspire à faire du monde occidental une nouvelle Hongrie bolchevisée.
Bela Kun, militant de l’UEJF
Réclamer des peines de prison pour ceux qui ne respectent pas les clous du judaïquement correct représente une escalade considérable, même pour la juiverie américaine.
Contrairement à la France où la liberté d’expression n’a jamais été considérée comme un droit, les États-Unis ont été édifiés sur ce principe.
C’est là le coup de poker du juif aux abois.
Voilà ce qui passe quand les juifs gagnent en pouvoir et en assurance : la destruction de la confiance publique dont ils sont la principale source est compensée par l’instauration d’une tyrannie sémitique implacable.
Laissez votre porte entrouverte d’un demi-centimètre et vous êtes expropriés le lendemain par une association de rabbins polonais.
