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Captain Harlock
Démocratie Participative
28 septembre 2018
L’heure est venue de faire face à la Grande Faucheuse, Johnny.
Le Zoulou blanc, auteur et interprète de la chanson Asimbonanga dédiée à Nelson Mandela en 1987, dans une interview accordée à Paris Match, a donné des nouvelles inquiétantes de son état de santé. L’artiste sud-africain lutte depuis trois ans contre un cancer du pancréas. Cette fois la maladie s’est attaquée aux poumons.
Johnny Clegg, défenseur mondialement connu de la geste de Nelson Mandela, vient de donner des nouvelles très inquiétantes de son état de santé. Dans une interview accordée à nos confrères de Paris Match, l’artiste sud-africain, aujourd’hui âgé de 65 ans, révèle que le cancer du pancréas contre lequel il se bat depuis trois ans a atteint les poumons.
Lors de cet entretien, enregistré le 31 août dernier, le chanteur n’a rien caché de l’évolution de sa maladie: «J’ai connu trois rémissions du cancer du pancréas. Mais, il y a deux semaines, on m’a détecté deux tumeurs au poumon lors d’un contrôle. Et contre cela, je ne peux rien faire. Alors je continue à vous parler, à être un père, un mari, un ami…» Il poursuit en évoquant ses proches justement: «Je sais combien ma maladie est difficile à vivre pour ma famille. Ils se sont préparés à mon départ en 2015, mais j’ai réussi à survivre. Aujourd’hui, tout le monde sait que la fin approche. C’est une question de mois au pire, d’années au mieux.»
Le « Zoulou Blanc ».
Ouais.
Tout commence dans une famille aisée de paysans juifs lituaniens et polonais immigrés en Rhodésie du Sud, les Braudo. La mère de Johnny Clegg, Muriel Braudo, suivant des cours à l’université de Johannesburg, se marie avec un non-juif, Denis Clegg, contre l’avis de son père. Le couple part ensuite en Angleterre pour élever le petit Jonathan Clegg.
Ce juif déguisé en Blanc – puis en cafre – a été la version pop de la propagande judéo-bolchevique sud-africaine. Sans cet hébreu promu par toute la juiverie médiatique en Occident, les masses blanches n’auraient pas assimilé le programme d’éradication raciale qui se déploie aujourd’hui dans ce pays à une sorte de grande farandole multicolore.
Ce qui fût le préalable, avec l’aide de toutes les organisations marxistes en Europe, à la mise en place du boycott du seul état d’Afrique digne de ce nom.
Cet exhibitionniste juif a ensuite fait profession de vendre l’éradication des Blancs, dépeignant le « miracle » sud-africain post-blanc comme jadis les intellectuels juifs le paradis soviétique.
Le juif rendu frénétique par l’odeur du sang de l’humanité blanche.
Bien évidemment, l’Occident sous contrôle juif adopte une politique radicalement différente vis-à-vis d’Israël en dépit du caractère autrement plus radical de ce régime qui peut éliminer 500 arabes et en calibrer des milliers d’autres en un jour sans aucune espèce d’impact diplomatique.
Cette attitude de l’Occident, comparée aux réactions médiatiques et politiques suite la décision de Salvini de simplement fermer les ports italiens aux migrants clandestins, permet de comprendre qui est à la manoeuvre : le juif.
Il ne s’agit pas ici de pleurer sur ces arabes mais de voir l’extraordinaire pression politico-médiatique qui s’exerce sur les populations blanches tandis que la juiverie, comme par miracle, bénéficie d’une mystérieuse impunité.
Le juif peut annexer toujours plus de territoires au détriment d’arabes internés dans des camps à ciel ouvert, menacer de guerre l’Iran, se livrer à des provocations contre un état nucléaire comme la Russie, contrôler les polices européennes pour filtrer les réseaux sociaux, exiger la censure intégrale de l’internet français.
Et le juif, au faîte de sa tyrannie, est plus que jamais présent sur tous les écrans pour se présenter en victime persécutée. Nous n’aurons pas de paix tant que nous tolérons la moindre parcelle de présence sémitique au sein d’un seul état de cette planète.
L’Occident doit être radicalement libéré des juifs et d’abord en Europe.
