Le système juif vacille face aux Gilets Jaunes, premier grand mouvement de masse antisémite depuis 1945 !

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 décembre 2018

La France a créé le premier mouvement antisémite de masse depuis 1945 en Europe.

Comme nous l’avons évoqué ici à plusieurs reprises, ce n’est pas simplement le signe de Dieudonné M’Bala M’Bala, ce sont les slogans, les affiches qui désignent le coupable : la finance juive.

Cela n’a rien de surprenant en soi : l’antisémitisme, que l’on devrait plutôt appeler le contresémitisme, surgit toujours en défense de la prédation juive.

Qui dit résistance à la voracité de la finance internationale dit juif. Infailliblement.

Ce n’est pas dû à une quelconque « mode », mais à un constat que les masses dressent tôt ou tard lorsque les affameurs de la banque juive les exploitent jusqu’à les plonger dans la misère et la ruine.

Le seul véritable clivage est celui qui oppose les tenants du globalisme juif aux populistes attachés à leur pays. Et le juif est la clef de voûte de ce système vagabond.

Attaquer politiquement le juif est crucial car il permet de dévoiler la véritable ligne de front. Et aussitôt, vous voyez ceux qui prétendent résister aux côtés du peuple courir la queue entre les jambes chez leurs maîtres, de peur de subir les foudres du véritable pouvoir. Le pouvoir juif.

Il y a effectivement du ménage à faire : renvoyer les youpines arrogantes comme Benbassa dans leur chère patrie levantine.

Comme on le voit, il n’y a pas de « droite » ou de « gauche », il n’y a qu’un système juif avec ses partis juifs contre le peuple révolté.

Evidemment, la juiverie veut que le peuple baisse les yeux à la minute où l’accusation « d’antisémitisme » est prononcé.

Au contraire, elle doit susciter la fierté : chaque accusation, chaque injure du juif est une récompense pour le combattant de la liberté.

L’agressivité politique contre la juiverie doit redoubler.

Nous devons multiplier les tracts contre la finance juive et les partis juifs. N’hésitez pas d’ailleurs à les soumettre ici pour diffusion.

Les slogans antisémites doivent également se répandre de plus en plus. Associer Macron, Drahi, Attali à Rothschild ou Goldman Sachs suffit amplement pour faire passer le message au plus grand nombre.

Comme le vampire, le juif hait la lumière du jour. Rien ne le terrifie plus que d’être exposé aux yeux des dizaines de millions d’Aryens qu’il subjugue par ses mensonges depuis si longtemps.

Mais c’est plus fort que lui, une fois qu’il a réussi à aveugler sa victime, le juif ressent le besoin narcissique irrépressible de s’exhiber triomphalement et de se jouer des malheurs de celui qu’il tourmente.

C’est à ce moment précis que le juif doit se voir notifier son acte d’accusation.

Plus le juif sera nommément désigné, plus il perdra les pédales. La stupidité du youtre est notre meilleure arme. Ses réactions sont toujours identiques. Ce poulpe puant n’a pas d’âme, il n’est qu’un corps parasitaire avec des réactions stéréotypées, les mêmes depuis trois millénaires.

Il nous suffit d’activer le levier de l’antisémitisme pour voir ce batracien apparemment stoïque et narquois  se transformer en une masse informe traversée de spasmes : il sait que, une nouvelle fois, la défaite est au rendez-vous.

Il se récrie, hurle, minaude, menace encore, divague, jauge la réaction, se lamente, tonne, négocie une dernière fois, puis s’enfuit dans le silence d’une nuit, sans dire un mot. Car le juif se sait coupable, partout et tout le temps.

Les mêmes causes produiront toujours les mêmes conséquences.

Et puisqu’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule :