Le serpent judéo-marxiste Ivan Jablonka veut rééduquer les hommes blancs et abattre leur « virilité »

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 septembre 2019

Ce pervers juif au regard de détraqué veut vous tuer

Un vent de sémitisme radicalisé souffle sur le monde blanc, infecté jusqu’à la moelle par le poison juif.

La radio communautaire juive France Culture brûle d’une foi toute messianique à l’idée d’anéantir la France aryenne.

Aujourd’hui, c’est le commissaire politique (((Ivan Jablonka))) qui fait œuvre religieuse en prêchant la lutte des classes transposée aux rapports entre les hommes et les femmes blanches.

Rien de mieux que de fomenter la haine de l’homme blanc par tous les moyens possible, surtout par le biais de l’insanité freudo-marxiste.

Jablonka est un agitateur dont l’arbre généalogique parle pour lui.

Ou plutôt, qui vaut tous les verdicts.

Wikipédia :

Né à Paris d’un père ingénieur physicien et d’une mère professeur de lettres, petit-fils de juifs polonais communistes morts à Auschwitz, Ivan Jablonka fait ses études secondaires au lycée Buffon.

Ces youpins, réputés morts à Auschwitz, le sont probablement à la suite d’activités criminelles à l’intérieur de la prison en leur qualité d’agents du communisme international.

Jablonka a avoué les faits lorsqu’il est intervenu sur l’émission de radio de la « fondation de la mémoire de la Chouniah », temple de la religion d’état de cette république putréfiée.

Rappelez-moi de faire un barbecue saucisses là-dessus

Dans cette émission, le juif Jablonka dévoile le pot-aux-roses.

Il révèle ainsi que dans la Pologne de 1934, alors que l’Ukraine voisine est consumée par le génocide orchestré par les juifs du NKVD et que l’URSS menace d’invasion la Pologne libre, le grand-père Jablonka, interné en tant qu’agent rouge au service de Moscou, est privé de matelas pour avoir crié « Vive l’Union Soviétique ! » jusque dans les couloirs de sa prison polonaise.

Voilà qui donne le ton à propos de ces yids fanatisés, bien déterminés à faire de l’Europe un gigantesque goulag.

On apprend aussi que l’arrière-grand-père, youtre orthodoxe, tenait un mikveh dans son shtetl.

Le juif Ivan Jablonka résume l’itinéraire familial dans les mêmes termes que ce que nous disons ici régulièrement :

« On peut interpréter le communisme comme la mort et la renaissance du judaïsme […] Le messianisme, les communistes veulent faire changer le monde et veulent faire advenir une société heureuse ici bas. »

Nous connaissons la « société heureuse » dont les Kamenev, Trotsky, Yagoda rêvent pour les goyim.

Et puis nous venons à la suite logique :

« Mes grand-parents étaient clandestins, sans-papiers. Ils sont pourchassés en tant que clandestins, indésirables. Ils ne sont plus des combattants contre le fascisme dans une lutte aux dimensions de la planète, ils sont pourchassés par des bureaucraties grises parce qu’on veut les expulser… Je fais un anachronisme assumé, à un moment donné j’écris les « sans-papiers juifs de ma famille ». Il se trouve que dans les années 30, les sans-papiers, c’était des juifs polonais. C’était notre famille. »

Si certains de nos lecteurs ne l’ont pas compris, l’exemple du terroriste juif Jablonka résume parfaitement l’équation actuelle : les juifs forment une cinquième colonne composée d’agents révolutionnaires internationaux déterminés à asseoir la suprématie juive sur les ruines du monde civilisé.

A la moindre trace de résistance, en Pologne hier comme en France aujourd’hui, la bête devient encore plus haineuse et assoiffée de destruction, rêvant d’anéantir ces Blancs qui refusent de céder.

C’est alors que le « youdi philanthrope » utilise son art du mensonge pour présence sa subversion destructrice en générosité désintéressée, se victimisant et victimisant ses supplétifs pour prévenir toute réaction de défense de l’autochtone.

C’est ainsi qu’il fait entrer en France des millions de créatures abruties qu’ils recrutent dans ses structures auxiliaires, travaillent par ses médias, incitent à la violence et à la haine contre les Blancs.

Notre juif Jablonka résume :

Je suis historien pour réparer le monde.

Ha !

La « réparation du monde », la « tikkoun olam », clef de voûte de la soif de pouvoir juive consistant à faire du juif le grand ordonnateur de la vie des nations. C’est-à-dire leur bourreau.

Le monde n’est pas à réparer au sens où l’entendent ces sales juifs car c’est l’esprit juif qui a détruit le monde comme le cheval du sémitisme qu’est le marxisme l’a prouvé.

La véritable réparation du monde suppose de briser le pouvoir juif une bonne fois pour toute, de détruire toute trace de sémitisme culturel en Europe et partout dans le monde.