Le sanhédrin de La Haye veut officiellement arrêter Poutine

La rédaction
Démocratie Participative
18 mars 2023

 

Les juifs s’éloignent un peu de la réalité chaque jour.

Ils ont utilisé un tribunal reconnu par personne pour faire condamner arbitrairement le président d’un état nucléaire, Vladimir Poutine.

Le prétexte est la mise à l’abri des populations civiles, notamment les enfants russes de l’est de l’Ukraine. L’artifice utilisé par le sanhédrin de La Haye est de dire que ces enfants sont « ukrainiens », ce qu’ils ne sont qu’administrativement, pas ethniquement. Ces « juges » jouent sur la confusion entre nationalité administrative et appartenance ethnique pour présenter cette mesure humanitaire comme un « crime » contre des enfants « ukrainiens ».

Les enfants russes d’Ukraine qui sont confiés à des familles en Russie sont des orphelins de guerre. Rien n’est caché de ce programme, puisque Maria Alekseyevna Lvova-Belova, la femme chargée de superviser son application, en rend compte publiquement au président russe.

Cette mesure est absolument impérative.

Si le gang armé de Zelensky reprenait une seule ville du Donbass, il procéderait à l’exécution de tous les civils russes présents sur place. Leur objectif est la destruction de la présence des Russes ethniques de ces régions, soit par l’ukrainisation linguistique forcée, soit par les armes.

L’ancien président Poroshenko a mené sa dernière campagne électorale en appelant à bombarder les enfants russes du Donbass qu’il disait vouloir voir terrés dans des bunkers.

Les Russes se contentent de prendre ces propos au pied de la lettre.

Ces Ukrainiens sont sévèrement dérangés et les juifs se servent de leurs problèmes mentaux collectifs contre la Russie depuis 2014.

Les Russes ne veulent prendre aucun risque. Deux millions de Russes d’Ukraine se sont réfugiés en Russie pour échapper aux bandes de tueurs du juif Zelensky.

Seuls des juifs sont capables de se livrer à des accusations aussi basses contre ceux qu’ils veulent abattre. Ils ne veulent pas seulement imposer leur dictature raciale mondiale sur les goyim, mais prétendre le faire au nom de la moralité universelle qui n’est qu’une illusion sortie de leurs cervelles détraquées.

Les Russes ont été courtois et ont quand même pris le temps de rappeler par écrit que ce truc est une coquille vide.

Les deux puissances qui façonnent le 21e siècle, la Chine et les USA, ne font pas partie de cette « CPI ». Pas plus que l’Inde, Israël, l’Iran ou l’Arabie Saoudite.

La dernière fois que cette CPI a évoqué Israël, les choses ont été très vite réglées.

Lorsque ce tribunal bidon a essayé de s’intéresser à des crimes américains, la chose a été réglée de manière aussi expéditive.

Et pour cause, les mêmes juifs n’ont pas l’intention de se voir demander des explications par qui que ce soit.

Cette « CPI » ne peut fonctionner que lorsque les juifs en décident.

Ils veulent leur Nuremberg 2.0 contre la Russie, mais c’est une vue de l’esprit. Contrairement à l’Allemagne nationale-socialiste, la Russie ne peut pas être isolée internationalement. Le blocus des juifs contre son économie a échoué et leur petit numéro judiciaire va échouer tout aussi misérablement.

Ce n’est pas parce que la France est tenue par la LICRA qu’il en va de même pour le reste du monde.

Malgré leurs vociférations, ces hébreux sont impuissants.

Je suis personnellement contre les procès faits à des ennemis vaincus. Un ennemi vaincu est exhibé devant les foules en délire à l’occasion d’une parade triomphale, pas « jugé ».

Si j’étais en mesure de conseiller les Russes, je leur dirais de procéder de cette façon. Je leur dirais également de créer un cirque au milieu de Moscou où des singes de Judée comme Bernard-Henri Lévy ou Raphaël Glucksmann seraient montrés en cage au public russe.

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