« Le sang appelle le sang » : le pauvre rabza de banlieue « Soso Maness » essaie de faire un film

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 janvier 2020

 

Nous vivons dans un univers parallèle. Ou plutôt dans une série d’univers parallèles qui ont l’air de communiquer les uns avec les autres.

Par Youtube.

C’est comme ça que j’ai découvert le nouveau cinéma français.

En tout cas, il est certainement différent du cinéma français du 20ème siècle. Déjà parce qu’il ne met plus de Français en scène.

Ce court-métrage publié sur YT le 10 janvier a été visionné plus de 800,000 fois en quatre jours.

Apparemment, il y a une histoire.

Comme pour le bruit atroce que produisent les maures et les nègres – que certains classent comme de la « musique » -, leurs « films » parlent de drogue. Et aussi d’embrouilles et encore de négresses.

Les maghrébins sont particulièrement geignards et ils adorent se lamenter sur leur sort. Ce qui transpire de tout ce qu’ils expriment.

D’ailleurs si vous écoutez un appel à la prière, on a l’impression d’entendre un arabe homosexuel se plaindre d’avoir été tabassé par un client.

Les maghrébins naissent en se pensant victimes de persécutions, vivent en se disant victimes de persécutions et pensent mourir du fait de persécutions.

Quand ils essaient de « produire un film », on voit donc un arabe plaintif se plaindre. Une oreille aryenne normalement constituée se sent immédiatement agressée par cet exercice obscène.

Avec un QI médian de 80, les bougnoules ne font jamais de lien entre leurs actes et les conséquences de leurs actes. Il est donc logique que ceux d’entre eux qui essaient de tenir une caméra le fassent pour expliquer qu’ils ne comprennent pas ce qui se passe autour d’eux.

Ce qui se traduit par des histoires merdiques de drogue, d’embrouilles et quelques flics blancs, sur un air de sentiment de persécution. Le tout étant particulièrement mal joué et encore plus mal filmé.

Il n’y a jamais aucune élévation, aucun imaginaire. Oubliez ça.

L’univers mental du raton est celui de Momo le dealer de shit. Un véritable Sahel créatif.

C’est pour ça que nous ne devons pas empêcher les salafistes d’interdire la musique ou le cinéma à leurs congénères et que nous ne devons pas tolérer que des traînées algériennes militent contre le voile islamique parce que des juifs trouvent ça bien.

Tout ce qui renforce la ségrégation limite d’autant la pollution mentale dont cette sous-race toxique est capable.

C’est ouvrir la voie à l’avilissement mental de ceux qui sont exposés à cette ignoble sous-production.