Le crapaud juif gluant Sacha Ghozlan supplie les nègres et les musulmans de rester sous les ordres des juifs pour mener la guerre raciale contre les Blancs

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 avril 2019

Regardez-moi ce repoussant batracien de judée

Les juifs commencent à sentir que le thermostat monte.

Dans une tribune parue ce jour, le gros youtre glaireux et suintant d’huile Sacha Ghozlan, président de l’organisation terroriste juive « UEJF », sermonne les métèques qui refusent de se placer sous les ordres des juifs pour mener leur guerre raciale contre les Blancs.

L’Express :

La tribune du Président de l’UEJF sur les inquiétantes dérives de l’UNEF à l’occasion la tenue de ses Assises contre le racisme.

Je t’ai rencontré à l’Université. Tu militais pour défendre les droits de tous les étudiants. Nous assumions des désaccords politiques mais républicains en conseil universitaire ou au sujet de la politique nationale.

Je t’ai connu laïc et farouchement républicain, universaliste et de tous les combats pour les opprimés, pour la justice et pour l’égalité. Je t’ai trouvé à nos côtés en Pologne et au Rwanda pour préserver les Mémoires, en Israël à la rencontre d’une société civile porteuse d’espoir de paix, à Lyon III et à Assas pour combattre l’extrême droite. Ta présence à nos côtés était alors si précieuse.

Quelques années se sont écoulées et tu t’es éloigné. Je ne te reconnais plus.

« Karim, mon frère ! Te rappelle-tu de la Pologne, d’Israël… Nous étions ensemble pour lutter contre ces démons de Blancs exploiteurs ! Et maintenant tu deviens bizarre, ton air m’inquiète. Tu regardes les couteaux de la cuisine d’un oeil noir… Que se passe-t-il ? »

« Les Blancs, Mohammed, regarde plutôt les Blancs ! »

Notez comment le juif donne du « tu » à l’arabe.

Ce n’est pas de la « fraternité » mais de la condescendance maquillée en bienveillance. Et surtout, de la négociation en adoptant un ton qui donne l’impression d’être en position de force.

Car évidemment, c’est à l’arabe que parle Ghozlan derrière ce « tu ».

Seul l’idiot de Blanc de gauche croira un seul instant que ce « tu » fait référence à la fraternité socialiste.

Ton bureau national se réunit en non-mixité raciale quand il ne méprise pas l’incendie de Notre-Dame de Paris dont il estime qu’il s’agit d’une histoire de « Français blancs ». Tu adoptes le vocabulaire des Indigènes de la République, tu demandes à censurer Charb et Eschyle à l’Université, tu restes muet quand nos locaux sont vandalisés à Tolbiac ou à Dauphine sur fond d’antisémitisme et tes sections locales appellent au boycott d’Israël. Et si tout cela pourrait sembler anecdotique, tu ponctues désormais chacune de tes phrases de qualificatifs raciaux : « blancs » et « racisés ». Par-delà l’Université, les Français entendent ce grand basculement idéologique.

Le juif ne se départit jamais de sa conscience raciale. S’il s’en départissait, le juif aurait disparu depuis deux millénaires.

Tout au contraire, le juif exprime chaque jour davantage son arrogance tribale. Celle-là même qui se manifeste de manière éclatante au travers de la soif de domination non dissimulée dont fait preuve la colonie juive de Palestine.

Mais le juif, je l’ai déjà expliqué récemment, a besoin de rabaisser pour se grandir, c’est-à-dire d’affaiblir la conscience raciale des autres races pour pouvoir les affaiblir et ainsi mieux les dominer.

Ce que le juif destructeur de cultures recherche, c’est l’anarchie molle que produit une société cosmopolite. Mais ce qu’il recherche aboutit à l’exact inverse de ce qu’il attend : la formation de blocs raciaux toujours plus conscients d’eux-mêmes à mesure que leur proximité géographique génère des tensions interethniques.

La dynamique racialiste qui impose désormais sa loi dans les anciennes organisations judéo-marxistes terrorise le juif qui perd ainsi le contrôle des masses marrons agressives.

D’où parles-tu, camarade ?

Si tu posais cette question dans une logique marxiste pour démontrer que tout orateur expose ses thèses selon sa construction sociale, tu la déplaces aujourd’hui vers une construction raciale. Et je crains que, de la lutte des classes, tu ne deviennes aujourd’hui que le sombre héraut d’une lutte des races. Tu te coupes de la société, des victimes de racisme mais aussi de ceux dont l’identité plurielle, mouvante et complexe ne peut se réduire à une intersectionnalité dont on voit bien qu’elle produit elle-même une violence symbolique.

Ton Union organise cette semaine des Assises contre le racisme. Dans la vidéo officielle de lancement, tu le dis avec certitude « les dominants sont les blancs, tandis que les racisés sont les personnes non-blanches. Il existe un racisme systémique ».

Je vous rassure, le juif Ghozlan n’est pas devenu un ami des populations blanches : la juiverie ne se connaît pas d’amis et avec elle, tout dépend toujours du rapport de force du moment.

En ce moment, c’est l’affirmation raciale des allogènes qui inquiète cette race car ces métèques identifient de plus en plus clairement le juif comme un manipulateur hypocrite qui cherche à diviser pour régner.

Sans oublier, évidemment, la volonté d’anéantir Israël que tous ces gens marrons partagent.

L’absence de réaction collective forte de la part des Blancs face aux attaques de ces « racisés » soutenus par l’extrême-gauche ne rend plus possible la triangulation du conflit interethnique larvé dont se nourrissaient les juifs depuis les années 80 et 90 grâce à SOS Racisme ou à la LICRA et l’UEJF.

Le juif pouvait facilement manipuler le Blanc idéaliste zombifié par le sémitisme qu’est le gauchiste grâce à son art du mensonge et de la victimisation. Il en va très différemment des maghrébins et des nègres qui ne nourrissent aucun idéal, à l’instar du juif. Ces gens ne comprennent qu’un paradigme : l’intérêt de leur race.

L’art du mensonge que peut déployer le juif n’a aucun effet sur ces populations élémentaires et grégaires. Face à cette imperméabilité, l’aide de renforts blancs zombifiés est plus nécessaire que jamais.

Hélas pour Moïse, les Blancs ne sont plus là.

Les Blancs se contentent de déserter progressivement ces organisations et laissent ces métèques entre eux, créant de facto un terreau favorable au racialisme mélanisé le plus désinhibé.

Je précise que toute réaction blanche étant par nature raciale, le juif n’en est pas plus demandeur pour autant. Hormis quelques manipulateurs juifs comme Gilles-William Goldnadel et Elisabeth Lévy, les youtres redoutent terriblement toute affirmation raciale blanche.

C’est à ces juifs marginaux que nous devons l’existence d’une organisation subversive comme l’OLRA qui récupère la thématique du racisme antiblanc pour en faire un outil de combat au service des intérêts de la race juive.

Ces youpins font donc face à un dilemme : comment abâtardir toujours plus la France au plan racial tout en évitant que le processus n’engendre la formation de forces centrifuges ethno-raciales dont le contrôle échappe à la démocratie juive.

Comme le juif est de plus en plus ciblé par les allogènes, notamment musulmans, il se retrouve sans bouc émissaire à livrer à ces masses enragées et doit monter au front sous sa propre bannière.

Une fois ses bannières déployées, la défaite du juif est inéluctable.

Le racisme doit être combattu sous toutes ses formes – discrimination à l’embauche, au logement, rumeurs visant les Roms, racisme anti-musulmans, xénophobie visant les migrants -, mais il emprunte des chemins plus complexes que cette suma divisio aussi hasardeuse que nauséabonde. Elle porte en elle les germes d’une société fragmentée selon des critères raciaux et génère une dangereuse assignation identitaire. Les réunions en non-mixité raciale sont des pratiques discriminatoires, et quand elles se déroulent à l’Université, c’est une circonstance aggravante.

Les victimes d’actes racistes souffrent une première fois des actes de leurs agresseurs, faut-il y ajouter un verrou identitaire et communautariste ?

Un youpin à la tête de « l’Union des Etudiants juifs de France » dénonçant le « verrou communautaire » : c’est beau comme de l’antique.

Seule cette race d’escrocs peut pousser aussi loin l’audace quand il s’agit de mentir.

Que dois-je en conclure, moi qui suis un étudiant juif ? D’où voudrais-tu que je parle, camarade ? Ou plutôt, où souhaiterais-tu m’assigner ?

Suis-je du côté des dominants, prêtant ainsi le flanc aux thèses antisémites de Dieudonné qui qualifie les juifs « de négriers reconvertis dans la banque et la finance » ? Suis-je du côté des racisés, m’enfermant ainsi dans une posture victimaire dans laquelle Alain Soral veut acculer les juifs, les accusant d’utiliser la Shoah ou l’antisémitisme pour se hisser dans la société ? L’une ou l’autre de ces assignations me sont insupportables, et mon identité juive française est bien plus complexe que cet enfermement qui m’est proposé.

C’est fascinant de culot hébraïque.

Le juif est prêt à tout. Quand il concède enfin une vérité, c’est pour pouvoir mentir encore plus tapageusement par la suite.

Cette bouche menteuse évoque enfin l’instrumentalisation du mythe de l’holocauste par les juifs comme clef de leur guerre psychologique pour asseoir leur domination. Jusqu’à présent, ne serait-ce que de reconnaître l’existence de cette thèse, même pour la dénoncer, était rarissime.

Les juifs savent parfaitement ce qu’ils font à ce sujet, il suffit de les écouter.

La juive Claude Sarraute a tout déballé, à la radio, sans ressentir la moindre gêne.

Et ces terroristes juifs font ça partout. Dans tous les pays.

Quand le youtre Ghozlan consent enfin d’en parler, c’est pour mieux se dire victime d’antisémitisme aux yeux des métèques antisionistes !

Notre génération est phagocytée par des individus malveillants qui entretiennent volontiers la concurrence victimaire dans le débat public, par des propagandistes haineux qui dénaturent les réseaux sociaux, par des pseudo-humoristes qui veulent prendre en otage l’humour pour propager la haine et par des identitaires qui veulent imposer un agenda politique qui agit en miroir de l’extrême droite comme les deux faces d’une même pièce.

Les juifs, en effet, n’aiment pas la concurrence.

Seul, le monothéisme pour goyim qu’est le mythe de l’holocauste doit avoir droit de cité.

Le juif sait que s’il tolère ne serait-ce que l’existence de produits victimaires concurrents – colonialisme, esclavage, etc. – cela se terminera en procès de la colonie juive de Palestine puis en accusation universelle contre le yid.

Et le juif, qui se présente en roi des opprimés, sera jugé en qualité d’oppresseur des peuples de couleur au nom de l’antiracisme.

Le juif, dans sa stupidité, a créé les conditions de sa propre chute, générant de toutes pièces l’émergence d’un antisémitisme marron et d’un antisémitisme blanc, lesquels convergent contre la démocratie financière qu’il a édifié depuis 1945 sur les ruines de l’Europe.

L’UNEF fut un rédacteur de la charte de Grenoble en 1946 qui a structuré le syndicalisme étudiant au sortir de la guerre, en donnant aux étudiants le rôle de vigie de la société. Par-delà l’UNEF, quand un grand syndicat étudiant abandonne ses valeurs fondatrices, c’est toute notre génération, et toute la société qui en sort déboussolée.

Les étudiants ont besoin de l’UNEF pour porter des combats universalistes. Nous avons besoin de toi, camarade !

Ghozlan peut toujours rêver.

Les musulmans veulent la destruction d’Israël. Ils la voudront pour les mille ans à venir. Les musulmans ont le temps pour eux car ils ont la masse pour eux.

Tôt ou tard, ils détruiront Israël, cette amas de cellules juives désespérément accrochées à une bande côtière de 50 kilomètres d’épaisseur face à l’immensité de l’océan islamique. Il suffit d’un événement inattendu, d’une erreur.

Pour en revenir à l’UNEF, il va sans dire que tous ces « racisés » veulent notre mort, à nous les Blancs. Ils veulent nous voir baignant dans notre sang, agonisant.

Si tous nos braves frères de race pouvaient s’imaginer ce qui passe dans la tête d’un maghrébin à ce sujet chaque jour qui passe, ils en perdraient physiquement l’équilibre.

Cette histoire d’UNEF est excellente car les choses sont clairement dites, de façon intelligible, ce qui fait gagner à notre peuple un temps précieux. Seul le juif a intérêt à la confusion.

Comme le vampire, le juif hait la transparence qui éclaire les esprits.

Sans la confusion qu’il sème dans les cerveaux grâce à sa presse, les gens comprennent instantanément où se trouvent leurs intérêts et découvrent en même temps le rôle d’empoisonneur que joue le démon juif.

Je peux vous dire que nous, Aryens, pourrons toujours trouver toutes les solutions à nos problèmes face à ces masses de nègres stupides ou face à ces arabes fanatisés. Il suffit que tout soit enfin clair dans l’esprit des nôtres, que nous puissions voir les choses en pleine lumière, en toute lucidité, pour que nous retrouvions la santé en adoptant les mesures nécessaires à notre redressement.

Mais pour cela, celui qui maintient les nôtres dans les ténèbres doit être extirpé de nos rangs, chassé sans aucun ménagement.

Tout ce qui contribue à mettre le juif sous le feu des projecteurs nous renforce.

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