Le RN purge Philippe Vardon pour avoir appelé à une alliance avec Zemmour pour les législatives

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 mai 2022

 

Marine Le Pen finalise la purge de son parti en vue de l’écrasement définitif de « Reconquête » aux législatives.

Philippe Vardon, l’ancien chef des Identitaires, a cru avisé de contester la ligne du RN à propos d’une alliance avec Zemmour.

Il a longuement détaillé son point de vue au journaliste juif John Timsit.

La direction du parti a riposté, brutalement. Il n’est pas investi pour les élections législatives. S’il se présente malgré tout, il fera face à un candidat RN.

Autrement dit, il sera exclu s’il maintient sa candidature.

Au niveau de l’image, c’est catastrophique, mais parfaitement fidèle au népotisme délirant que la famille Le Pen fait régner au FN/RN depuis 40 ans.

Ce qui m’étonne, c’est que des gens ne l’aient pas encore compris au bout de quatre décennies. Le RN, c’est la boutique familiale des Le Pen. Ce ne sera jamais que ça. Ceux qui n’aiment pas la stupidité légitimiste n’ont pas à y mettre les pieds.

Ceci dit, Marine Le Pen agit rationnellement, dans une certaine mesure. Le parti juif « Reconquête » a été explicitement créé contre elle et le RN. C’est son acte fondateur et sa raison d’être. Le but de Zemmour était de détruire le mouvement lepéniste en lui interdisant le second tour. Pour ça, il a attiré à lui tous les gens qui n’en peuvent plus de l’horrible femme qu’est Marine Le Pen. Y compris des félons venus du RN.

Dans ces conditions, voir Zemmour gémir en faveur d’une « alliance » dont le RN deviendrait fatalement l’otage à l’Assemblée où l’attention médiatique se focaliserait sur les éléments les plus exubérants de « Reconquête », ça ne peut pas marcher.

Marine Le Pen se fout d’avoir 20 députés de plus. Avoir 80 députés ou 120 députés ne change strictement rien, l’opposition à l’Assemblée n’a aucun pouvoir en France. L’entièreté du pouvoir est concentrée à l’Elysée.

Il y a une autre dimension, plus fondamentale.

Vardon a subordonné les Identitaires au RN de Marine Le Pen pour pouvoir exister à Nice.

Dès l’origine, la sans-culotterie lepéniste haïssait les Identitaires pour leur racialisme paneuropéen. Louis Aliot, le maire séfarade de la ville gitane de Perpignan, les vomissait hystériquement, préférant de beaucoup s’entourer de maghrébins « patriotes », tradition algérienne oblige.

Vardon et le mouvement identitaire avaient reçu l’ordre d’abandonner tout le référentiel européen issu du G.R.E.C.E.. en échange de leur intégration dans le RN. C’est ce qu’a fait Vardon.

Depuis le mouvement identitaire a été dissout et Vardon va être viré du RN.

Jamais, sur aucun sujet, la ligne du RN n’a été influencée par les Identitaires. Au contraire, cette ligne a invariablement dérivé à gauche, jusqu’à aujourd’hui où l’essentiel du programme du RN est une copie du programme mélenchoniste.

Tout ce qu’il reste du mouvement identitaire, c’est une allégeance obsessionnelle à la race juive, ce qu’incarne jusqu’à l’absurde Damien Rieu.

Le lepénisme n’est qu’un chauvinisme tricolore multiracial braillard, dans la meilleure tradition robespierriste. C’est une version édulcorée du Parti Radical de 1913. La bande lepéniste n’éprouve aucune passion sincère pour les questions d’immigration non-blanche, elle est trop maladivement amoureuse des nègres de l’ex-empire colonial pour y consentir. Son objectif, c’est de réussir la France algérienne après avoir échoué à faire l’Algérie française.

La seule chose qui fasse naître une légitime passion haineuse au RN, comme chez tous les « souverainistes » fronssés, c’est l’Allemagne fantasmatique. Tout comme les Algériens n’existent qu’en rageant face à la France, les souverainistes n’existent qu’en rageant face à l’Allemagne. Ces gens-là, même dans une France réduite à deux millions de Blancs pour 70 millions de cafres musulmans, consacreraient toute leur énergie à tweeter à propos du Blond imaginaire de Germanie.

Il n’y a rien à y faire, le surmoi du nationalisme français a été irrémédiablement ravagé par le rousseauisme et l’afflux de troupes coloniales négro-mahométanes en 1914. Il n’y aura aucune épiphanie, c’est une vue de l’esprit et une perte de temps. Le système immunitaire hexagonal recrache naturellement tout ce qui pourrait activer la défense de la race blanche en France. Le collectif « national » français n’existe à présent et ne se contient que contre la race blanche, par son étouffement sous le prétexte de l’antiracisme bolchevisant. C’est la base du langage politique français. Le RN l’a parfaitement intégré et y adhère.

L’éviction de Vardon et de tout le courant identitaire, tout comme leur aimantation immédiate par la juiverie zemmourienne une fois purgés, témoigne de ce qu’en France démocratique, le goy blanc n’a que le choix de se trouver un maître étranger. Le nègre divinisé au RN, le musulman à LFI, le juif à LREM : faites votre choix.

Des Blancs travaillant pour des Blancs et par des Blancs découvrent inévitablement que la totalité du spectre politique français, de l’extrême-droite à l’extrême-gauche, a pour politique non-négociable la réduction complète de la race blanche en esclavage, sa subordination patiente et méthodique.

La France a le sémitisme pour conscience collective, syncrétisme vénérable de deux millénaires de christianisme sécularisé puis refaçonné par l’esprit juif sur fond d’islamisation démographique fulgurante. La lutte pour la libération de l’Aryen y vaut arrêt de mort.

La France ne pouvait décemment s’appeler France que lorsqu’elle était gouvernée par l’aristocratie germanique franque.

La chose monstrueuse qui s’étale sous nos yeux n’a de France que le nom, par convenance d’usage.

C’est un marais créole putride.

C’est le legs de la structure mentale hébraïque qui s’est emparée des cervelles hexagonales. Après seulement 77 ans de victoire juive, la France est déjà plus négrifiée biologiquement que l’Afrique du Nord.

« Que fait l’Etat ? »

Il négrifie.

Par un tour de passe-passe juif, la France est désormais le concept qui véhicule toute l’anti-France réelle.

Il faut désormais autre chose aux masses aryennes encore vivantes comme représentation commune.

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