Le RN mariniste annonce une sauvage répression contre l’élu qui voulait former les jeunes Français au maniement des armes contre les djihadistes

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 Février 2020

 

Pendant un bref instant, il avait semblé qu’un cadre du Rassemblement National appréhendait enfin l’ampleur de l’invasion islamique et de la guerre raciale en cours en France.

Un certain Christophe Marécaux.

Ce gentilhomme faisait une proposition concrète pour préparer les jeunes Français de souche à faire face à l’apocalypse à venir.

C’était bien sûr un malentendu.

La direction homo-sidaïque et progressiste du RN mariniste a tenu à sanctionner l’élu concerné pour avoir fait usage – sacrilège – de sa liberté d’opinion et de son bon sens.

Cette fiotte de Chenu rassure donc les pédales et les femelles marxistes : si d’aventure le RN devait remporter un jour les élections présidentielles, aucun jeune Français n’apprendrait à se défendre face aux hordes de sauvages qui les harcèlent, les lynchent et les violent.

Ce serait le statu quo.

Rien pour nous surprendre tant ce « parti » de sodomites est dénué de convictions et, a fortiori, de courage. C’est ce qui se passe quand on colle une quinquagénaire amatrice de Dalida à la tête de n’importe quoi.

Maman la tabagique dit non à tout, dira toujours non à tout.

D’autant que les femmes ont une trouille maladive des armes. Pas les hommes et encore moins les jeunes garçons. N’importe quel garçon de 7 ou 8 ans veut avoir une arme à feu.

Les traînées féministes ressentent d’instinct que des hommes blancs armés sont une mauvaise nouvelle pour elles.

Je suis pour ma part un ardent défenseur de la militarisation de la jeunesse blanche.

Cela se pratique dans d’autres pays. Comme en Russie où d’ailleurs les fiottes sont impitoyablement traquées et placées sous traitement clinique pour neutraliser les ignobles pulsions qui les habitent.

Aux USA, ce type d’entraînement donne d’excellents résultats.

Si on résume, le rôle du RN en 2020 consiste à jouer le rôle de Tchéka du pauvre pour le compte des autres partis juifs et du régime.