Le réseau social alternatif GAB déplateformé par Paypal, Stripe, Joyent

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 octobre 2018

Le réseau social GAB a été déplateformé par Paypal, Stripe et leur hébergeur Joyent.

L’Orient Le Jour :

Un réseau social prisé de la mouvance d’extrême droite américaine « alt-right » et sur lequel l’auteur de la tuerie dans une synagogue de Pittsburgh postait des messages antisémites a annoncé qu’il était contraint d’interrompre son activité.

Lancé en 2016 sur le modèle de Twitter, Gab a indiqué samedi que Joyent, la société lui fournissant l’accès à internet, mettait fin à ses services à compter de lundi. Paypal a également annoncé qu’il excluait Gab de ses services de paiement en ligne en raison des discours de haine colportés sur ce site avec la bienveillance de ses administrateurs.

« Gab va probablement être hors service pendant des semaines à cause de cela », a réagi le réseau social sur son compte Twitter.

Effectivement, les juifs veulent empêcher GAB de poursuivre ses activités.

Les juifs veulent détruire tous les réseaux sociaux qui n’acceptent pas de censurer leur contenu quand ils l’ordonnent. L’époque de l’internet libre est révolue.

Parce que les juifs ont décidé que les Blancs avaient repris trop de terrain face aux médias qu’ils contrôlent.

Vous avez eu des viols commis par des musulmans en Suède diffusés en direct sans aucune conséquence pour le réseau du juif Zuckerberg.

L’idée des juifs est tout simplement de détruire financièrement ces entreprises en les déplateformant, tantôt pour leurs moyens de paiement, tantôt en menaçant leur hébergeur.

« Nous continuerons à nous battre pour la liberté d’expression et la liberté individuelle en ligne pour tous. Les grandes firmes technologiques ne peuvent pas nous arrêter. Les médias traditionnels ne peuvent pas nous arrêter », affirme le réseau social.

La devise de Gab, « Tous bienvenus pour s’exprimer librement », lui a valu d’attirer des personnalités apparentées à l’extrême droite devenues persona non grata chez Twitter.

« Oh ces neon-nazis s’expriment ! »

En 2018, un neon-nazi est, en gros, un homme blanc hétérosexuel.

L’homme qui a tué 11 personnes samedi matin dans une synagogue de Pittsburgh (nord-est des Etats-Unis) a été identifié par les autorités comme étant Robert Bowers.

Peu après, Gab indiquait que le nom de Robert Bowers correspondait à celui de l’un de ses utilisateurs et qu’il avait immédiatement fermé ce compte. Dans un communiqué, Gab a également indiqué avoir une « tolérance zéro » pour la violence et le terrorisme, se disant « attristé et écoeuré » par la tuerie de Pittsburg.

Quel rapport ?

Est-ce que l’on a jamais entrepris de détruire financièrement une compagnie de téléphone quelconque parce que des terroristes avaient revendiqué leur acte depuis une cabine téléphonique ou un portable ?

Il est d’ailleurs évident que l’auteur de cette attaque était plus ou moins manipulé. Si quelqu’un veut revendiquer quelque chose, il passe par le réseau le plus puissant. Pas par un réseau qui totalise 800,000 utilisateurs quand Facebook en compte plusieurs milliards.

Cela n’a tout simplement aucun sens.

En outre, encore une fois, on voit que les éléments louches recourent toujours à la violence spectaculaire pour faire le jeu du système.