Le PS veut faire voter les nègres et arabes détenus en taule, djihadistes compris

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
16 mars 2017

Ils ont aussi des droits

Chaque semaine, après avoir découvert un fait divers, une loi ou une proposition de la gauche, on se dit « cette fois, c’est bon, on a vraiment touché le fond, ça ne pourra pas aller plus loin ». Et puis arrive la semaine suivante.

J’attends donc la semaine prochaine puisque je viens de recevoir ma livraison hebdomadaire.

France Bleu :

Le ministre de la Justice a annoncé ce mardi qu’une étude allait être lancée pour une « éventuelle » expérimentation du vote en prison de personnes détenues, aux élections législatives de juin prochain.

« Une étude de faisabilité va être menée », a expliqué mardi le garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas, qui envisage le vote en prison de certains détenus pour les élections législatives, en juin.

Le ministre de la Justice souligne pour cela la nécessité d’une « concertation avec le ministère de l’Intérieur et le maire de la commune où se situerait l’expérimentation ». Jean-Jacques Urvoas a insisté sur son attachement à promouvoir la participation des personnes détenues aux processus électoraux, à l’issue d’une rencontre sur ce thème lundi, avec le député écologiste Sergio Coronado, des avocats, et l’association Robin des Lois, qui se bat pour que les 50.000 détenus qui ne sont pas déchus de leurs droits civiques puissent voter en prison.

Cette association a porté cette question devant la justice administrative, qui doit se prononcer mercredi.

Le Parti Socialiste est tellement désespéré qu’il en est réduit à faire les fonds de tiroirs. Et même les poubelles. Ils veulent littéralement faire voter les djihadistes, salafistes, violeurs de blanches, assassins, braqueurs – tous nègres ou arabes – pour 50 000 voix. C’est-à-dire 25% de la population de Rennes.

Taubira en aurait rêvé. En fait, c’est sûrement son idée.

Pour être prêts à passer aussi ouvertement pour le parti de la vermine et du crime, le PS est vraiment, vraiment désespéré.

En même temps, mes préjugés peuvent biaiser mon jugement. Après tout, nous sommes tous des enfants de la République.