Le procès truqué par la juiverie fanatique contre l’héroïque Cassandre se transforme en un atroce spectacle contre la liberté des Français

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 septembre 2021

La presse juive a vu grand pour son petit Nuremberg.

Un live du Républicain Lorrain détaille par le menu la formidable armada juive et gouvernementale mobilisée pour abattre une femme de 32 ans dont le crime est d’avoir brandi une pancarte sur laquelle figure le pronom « Qui ».

Par le truchement de son tribunal rabbinique, il s’agissait pour la juiverie, écumante de haine, de mettre en scène sa soi-disant toute puissance afin de terroriser les goyim qui la défient de plus en plus ouvertement.

C’est l’occasion pour les lecteurs de voir à quoi ressemble un procès organisé par les juifs qui contrôlent la France.

Le Républicain Lorrain :

14 h 45.- Pourquoi le « qui » est-il considéré comme antisémite ?

Sur la pancarte de Cassandre Fristot, deux mots : « Mais qui ? ». En rouge avec les cornes d’un diable. Mais aussi plusieurs noms de personnalités, dont certaines appartiennent à la communauté israélite. Mais pourquoi ces pancartes, qui se sont multipliées lors de manifestations anti-pass sanitaire sont-elles considérées comme antisémites ?

Tout semble partir de l’interview du général à la retraite, Dominique Delawarde, mi-juin, sur CNews. Signataire de la très critiquée « tribune des généraux » dans le magazine Valeurs actuelles, il s’emporte : « Vous savez bien qui contrôle la meute médiatique (…), qui contrôle le Washington Post, le New York Times, chez nous BFM-TV et tous les journaux qui viennent se grouper autour, qui sont ces gens… ? »

Relancé par Claude Posternak, membre du bureau politique de LREM, qui lui demande « qui contrôle », Dominique Delawarde répond : « La communauté que vous connaissez bien ». L’entretien est alors interrompu par le présentateur.

Sur les réseaux sociaux, des comptes radicaux ont commencé par diffuser une (fausse) infographie du paysage médiatique français en mettant en avant uniquement des responsables juifs – ou supposés tels – de médias français.

Comme vous le savez, tout est faux.

Les juifs ne contrôlent rien.

Ils font la manche au coin des rues au point de faire passer les roms pour des notables installés.

13 h 47. L’affaire de Cassandre Fristot est la seule qui figure à l’ordre du jour de l’audience correctionnelle de ce mercredi, qui doit débuter à 14 h. Mais on apprend à l’instant qu’une comparution immédiate va également être examinée, sans doute avant le procès Fristot.

13 h 54. Le procès se tient dans la salle de la cour d’assises. Les avocats commencent à arriver. Le ministère public sera représenté par Julien Berger.

13 h 58. Cassandre Fristot ne sera pas présente à l’audience, nous indique son avocat Me Paul Yon.

C’est une excellente décision.

Un combattant de la liberté qui affronte la tyrannie juive n’a aucun compte à rendre à cette race insolente et est encore moins tenu de répondre à ses pseudo convocations.

Les juifs ne sont plus en position de convoquer qui que ce soit.

La raison pour laquelle ces hébreux et leurs laquais de la magistrature insistent tant sur la présence de leurs victimes lors d’une de ces parodies de procès est d’obtenir de celles-ci la reconnaissance de la légitimité de leurs tribunaux. Ce dont ensuite la presse juive fait grand bruit, pour démontrer la toute puissance du juif.

Ne pas y aller, c’est répondre que l’autorité du juif n’est plus effective sur nous, que la souveraineté de ce parasite infernal a purement et simplement cessé d’être agissante.

14 h 04. L’audience va bientôt démarrer. Comme son l’avocat nous l’a indiqué, Cassandre Fristot n’est pas là. De très nombreux avocats sont présents pour représenter les associations s’étant constituées parties civiles.

14 h 09. Voici la liste des associations et organisations qui sont parties civiles : le Crif, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, l’Observatoire des Juifs de France, Le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme, le Cercle national Juif France Israël, le Consistoire israélite de la Moselle, La Maison des potes, l’association B’nai B’rith France, SOS racisme. Sur le banc des victimes, il y a aussi le Conseil national de l’Ordre des médecins, l’Organisation juive européenne et la Ligue des Droits de l’Homme.

Tout le bastringue juif s’était fait représenter par sa myriade de tentacules.

Il ne manquait plus que l’ambassadeur d’Israël, mais il était là en pensée.

14 h 20. L’audience n’a toujours pas commencé. Les avocats sont en place.

14h25. L’audience est ouverte

14h28. L’un des avocats de la prévenue demande à la présidente l’autorisation de retirer le masque. Refusé.

14 h 30. La présidente Marie-José Miceli lit les éléments de la procédure. Elle énumère les noms qui étaient inscrits sur la pancarte. Précision importante en préambule: la magistrate rappelle que le préfet de la Moselle a demandé au procureur de se saisir du dossier.

14 h 33. Certains avocats des nombreuses parties civiles s’étonnent d’avoir été avertis au dernier moment que la prévenue, Cassandre Fristot, ne serait pas présente à l’audience devant le tribunal correctionnel de Metz. Elle se contentera d’être représentée par ses deux avocats.

Ha !

Ces hébreux gorgés de haine voulaient se défouler sur l’héroïne. Ils ont fait le déplacement depuis leur place forte parisienne, ce qu’ils ne consentent qu’en de rares occasions, ne tolérant que très mal le terroir gaulois.

Le juif n’est à l’aise que dans une ville ou dans le désert, là où rien ne pousse.

14 h 35. L’un des avocats de Cassandre Fristot soulève une nullité. Visant l’article 65 al. 2 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse, il reproche aux réquisitions du procureur de n’avoir pas qualifié les propos poursuivis.

« Votre enquête est nulle. Et par conséquent, votre jugement va pouvoir s’arrêter là. Les actes d’enquête sont nuls y compris la convocation à comparaître devant votre tribunal. »

14 h 38. Il poursuit son argumentaire :  » Cette affaire s’arrête là. Cela n’empêche pas M. le procureur de continuer les poursuites, nous sommes encore dans le délai de prescription. Mais ce procès, aujourd’hui, s’arrête là. »

14 h 39. « Dans votre enquête M. le procureur, dans ce que vous écrivez à la police de Metz, vous n’évoquez nullement le contenu de la pancarte mais la diffusion de la pancarte sur les réseaux sociaux. Dans son téléphone, il n’y a nulle trace de ce qu’elle aurait lancé sur les réseaux sociaux sa pancarte. »

14h40. L’avocat de Cassandre Fristot poursuit :  » Finalement, le premier auteur principal du délit, ce jour-là, c’est la LICRA qui relaie la pancarte. Donc quand M. le procureur parle de diffusion au moment où il lance son enquête de fragrance il sait que Cassandre Fristot n’est pas à l’origine du délit. C’est la LICRA le premier auteur de la diffamation. Ensuite, plus tard dans la journée c’est la Ligue Internationale contre le racisme et l’antisémitisme qui est à l’origine de la diffusion. Et enfin, le troisième auteur, c’est Darmanin (le ministre de la Justice. Ndlr) lui-même. »

Cette hyène de procureur au service des juifs n’a même pas qualifié les propos censés poser problème aux yids.

Et pour cause : des noms et un pronom, cela fait léger.

Légalement, l’affaire est entendue, mais le tyran juif n’a pas mobilisé toute sa magistrature, sa police, ses médias et ses régiments d’avocats pour s’entendre dire qu’un magistrat n’a pas correctement monté l’imposture.

Le sanhédrin procède donc en dépit du droit, car dans une tyrannie juive, le désir du juif a valeur de loi.

14 h 44. L’avocat ironise : « Pour une pancarte, lors d’une garde à vue, on va chercher la brigade des crimes contre l’Humanité de la gendarmerie. On a vraiment le sens de la mesure au parquet de Metz ! »

C’est devenu le sketch suprême de ces hébreux, rendus ivres de leurs propres mensonges.

Le juif grandiloquent et menteur a fini par tout réduire aux chambres à gaz imaginaires d’Adolf Hitler, tout envahir de son délire inflationniste, saturer l’espace de son besoin irrépressible de se donner en spectacle.

Une pancarte, dans la France accrochée aux crises de fièvre du juif, suffit à suspendre un pays de 67 millions d’habitants.

Exhibitionniste, grotesque et gaffeur, le juif exige et obtient la création d’une brigade de flics pour faire durer le théâtre de Nuremberg où il occupe tous les rôles, sauf celui de l’accusé. Il interroge, plaide, juge, rapporte : le juif est aux commandes, il veut que ça se sache – mais surtout que ça ne se dise pas.

La presse juive convoque la population, comme jadis les messagers royaux, pour admirer avec gravité le rituel hébraïque loufoque, assemblage cocasse et hétéroclite de tous les accès de délire d’une tribu malade.

C’est Hanouna qui se grime en Jules César.

C’est Enrico Macias qui se croit Pape.

Et toujours, en fond, les hurlements de ces cervelles détraquées.

14h 48. L’avocat se lance dans une deuxième remarque subsidiaire. « Rien au dossier ne dit que Cassandre Fristot n’est à l’origine de la diffusion. Il y a donc une incertitude sur la qualification. Or une jurisprudence de la cour de cassation sanctionne ce genre de situation juridique par la nullité de la comparution. »

14h51. La présidente donne maintenant la possibilité aux avocats des parties civiles de répondre à la défense.

L’un d’eux, Me Worms, estime que le pourvoi est caduque car Cassandre Fristot a seulement signé et pas écrit « bon pour accord. » Un autre estime que le pourvoi est caduque car « il n’est adressé à personne. » Et enjoint le tribunal à joindre l’incident de procédure au fond, autrement dit, à faire fi des remarques de la défense et de quand même poursuivre l’audience en jugeant Mme Fristot.

14 h 58. L’un des avocats des parties civiles répond aux demandes de nullité formulées par la défense : « J’estime que les conditions de la flagrance au moment où l’infraction a été commise sont remplies : on est bien dans le délai de huit jours de l’enquête de flagrance », plaide-t-il. « Dans ce dossier, poursuit il, le « soit transmis » du parquet est très intéressant : il précise les éléments constitutifs de l’infraction provocation publique à la haine raciale. Donc, oser dire que ce n’est pas développé au moment où l’enquête démarre que ce n’est pas qualifié ni articulé, c’est faux. C’est écrit noir sur blanc, c’est une lecture à la portée de n’importe quel enfant du secondaire !

On a quand même, dans ce dossier, une posture de la défense qui laisse planer tout autre chose. » Il dénonce  » les gesticulations juridiques » de la défense.

15 h. Il termine : « Qu’est-ce qui vous gêne mon cher confrère dans ces perquisitions ? Qu’on ait retrouvé chez votre cliente une autre pancarte avec l’inscription « Mais qui ? »

Qu’est-ce qui vous gène ? Qui ?

« Oser dire à des associations dont le but est de lutter contre l’antisémitisme, que le fait d’avoir relayé ces faits serait constitutif de l’infraction, c’est délirant. Aussi, je vous signale que Mme Fristot n’est pas renvoyée pour avoir relayé cette pancarte sur les réseaux sociaux, mais dans l’espace public ! »

Techniquement, ce sont les juifs qui ont diffusé cette pancarte sur les réseaux sociaux, motif des poursuites, pas Cassandre comme le disent ces bouches menteuses.

L’avocat de l’héroïne se contente de rappeler les faits.

Et le juif délirant théorise en réponse sur le délire des goyim.

15h07. Me Lagarde dénonce l’attitude de Cassandre Fristot : « Mme Fristot n’a pas le courage d’ailleurs de venir répondre de ses actes puisqu’elle n’est pas présente dans cette salle ! »

Je vous le dis : ça les rend fou.

15h11. L’avocat de la LICRA, Me Simon Burkatzi prend maintenant la parole, afin de plaider aussi, à son tour, sur la nullité soulevée par la défense : « Ce qu’on reproche à Cassandre Fristot c’est d’avoir provoqué à la haine raciale par la diffusion d’une pancarte. Or, le mot « diffusé » n’est pas un mot réservé aux réseaux sociaux. Il signifie « rendre publics des propos », peu importe comment finalement. »

Le juif vous poursuit pour un délit A.

Quand il est admis que le délit A n’est pas constitué, le juif répond que le délit A n’est pas important car au fond, c’est peut-être un délit B ou C.

15h14. Julien Berger, le représentant du ministère public, s’exprime à son tour sur les nullités. Il évoque « le raisonnement par l’absurde de la défense. » « Sur les nullités, je remercie la défense de les avoir formulées dès lundi dernier. Il y a de la défense une certaine « méprise » : confondre le communiqué de presse avec la convocation en justice. Cela jette une certain flou. »

15h22. L’audience est suspendue dix minutes. Le tribunal va examiner les différentes requêtes de forme.

15h45. L’audience reprend. Le tribunal joint l’exception de nullité au fond et considère que le pouvoir donné par Mme Fristot à son avocat est régulier.  » Mais il est dommage qu’elle ne soit pas là, j’avais des questions à lui poser », fait remarquer la présidente.

Non, cette garce de juge avait des réponses à extorquer pour le compte de la juiverie qui la salarie.

C’est différent.

15h47. Durant l’enquête, une perquisition du domicile de Mme Fristot a été réalisée. Dans une armoire, les policiers ont découvert une nouvelle pancarte avec l’inscription « Mais qui ? ». L’intéressée a répondu qu’il s’agissait d’une ancienne pancarte utilisée pour une précédente manifestations. Les policiers ont également découvert chez Mme Fristot différents drapeaux : l’un floqué FO, un autre avec la croix de Lorraine.

15h49. La présidente lit les déclaration de la prévenue lors de sa garde à vue.

15h50. Concernant MM. Soros, Rothschild et Schwab, elle a indiqué qu’ils sont  » les représentants d’une puissance financière et je m’arrêterai là pour les détails. »

15h51. « J’ai écrit « Mais Qui ? » dans le but d’identifier les responsable de la situation et les décisionnaire », a-t-elle déclaré en garde à vue.

15h53. « Je n’ai rien vu de répréhensible sur cette pancarte je voulais seulement dénoncer les puissants. Je reproche à ces gens leurs positions. Pas leur appartenance religieuse. J’ignore d’ailleurs leur religion pour la plupart », a-t-elle déclaré en garde à vue.

Au plan purement factuel, cette pancarte comporte des noms de juifs et de non-juifs.

Macron n’est pas un juif, même s’il est leur esclave.

15h55. Elle indique « avoir participé à cette manifestation contre le pass sanitaire et rien d’autre. »

15h56. Elle « n’explique pas » pourquoi elle a dessiné des cornes sur la lettre « Q ». Quand on lui demande ce que représente le slogan « Mais qui ? », elle répond : « S’interroger sur les décisionnaires et ce qui motive leurs décisions. » Par qui est utilisé ce slogan ? « Par les Français, tout le monde. »

15h58. La présidente revient sur le slogan « Mais qui ? » et son origine. Pour les policiers chargés de l’enquête,depuis l’incident sur la chaîne CNews ce mot « Qui » est devenu une référence à la communauté juive.

Lol.

Les juifs feront interdire la langue française entière pour faire taire les goyim.

16h00. La présidente évoque maintenant la personnalité de la prévenue. Jamais condamnée. Elle confirme qu’elle est suspendue de l’Éducation nationale.

16h01. Les avocats des parties civiles commencent à plaider.

16h03. La parole est d’abord donnée à l’Ordre des médecins, qui se constitue partie civile pour « montrer sa solidarité avec l’ensemble des confrères et en particulier à l’ensemble des confrères juifs. » L’avocat demande 1€ de dommages et intérêts.

Vous savez désormais que le fameux ordre des médecins est une autre association communautaire.

Mais au fond, depuis le début de l’imposture sanitaire, c’est suffisamment clair.

16h05. L’avocat du Crif, Me David-Olivier Kaminski, plaide à son tour. « Voila une prévenue qui décide de ne pas venir à son procès. Ce n’est pas une prévenue anodine. C’est une personne qui n’est pas connue des services de police et de la justice. Elle est fonctionnaire de l’Éducation nationale et enseigne aux forces vives de ce pays. Cette absence, à l’audience, est une situation qu’il faut souligner comme étant une posture rarissime. C’est l’impossibilité de lui poser des questions. mais aussi la renonciation pour elle de se justifier sur les faits qui lui sont reprochés. »

Silence, juif !

Aucun homme n’a à répondre à un juif insolent.

16h08. « L’antisémitisme est un cancer, un virus nauséabond. Et comme tout virus, il a su s’adapter aux circonstances politiques, géopolitiques et historiques. Et dernièrement dans cette nouvelle forme de variant de l’antisémitisme, il s’est adapté au champ médiatique », poursuit l’avocat.

Le juif projette encore une fois.

Il n’y a qu’un virus, une seule pandémie : le juif.

16h11. Me Kaminski, toujours : « On a toujours pensé que le corollaire au fait d’être juif était d’avoir de l’argent. Rappelez vous l’effroyable affaire Halimi. » « Aujourd’hui on sait que ces pancartes Mais Qui? font écho à ce qui s’est dit dernièrement sur le plateau de CNews et depuis, on les a vu fleurir dans les cortèges des manifestations. »

Il fallait qu’il ressorte le vendeur de portables pendant qu’ils sont occupés à empoisonner nos enfants et à piloter le Grand Remplacement.

Il n’y a pas de race plus haïssable que la race juive.

16h16. « Là, on est confronté à une approche beaucoup plus structurée du « Mais qui ? » Mme Fristot nous dit que ce n’est pas au regard de la religion mais au regard de leurs fonctions qu’elle a inscrit leurs noms. J’aimerais qu’on m’explique en quoi les fonctions de Soros, Drahi, Rothschild, BHL, Fabius – père et fils – interpellent dans cette logique particulière de prise de position sur le pass sanitaire ? On a plutôt un dénominateur commun de personnes appartenant à la communauté juive. »

« Tous ceux qui occupent les postes de commande sont effectivement juifs, c’est un donc dénominateur commun antisémite ! »

Nous devrions reprendre ce terme pour parler de ces juifs et en faire un mème : le dénominateur commun.

Nous affrontons en effet un dénominateur commun.

 » C’est bien les oreilles et le dessin du diable qui apparaît au-dessus de la lettre Q. Non seulement on a stigmatisé, mais on a diabolisé les personnes appartenant à cette communauté. La diabolisation, c’est l’achèvement complet de la démonstration de haine. »

Le juif mérite toute la haine du monde et bien davantage.

16h18. « Tous les éléments constitutifs du délit pénal pour lequel Mme Fristot est renvoyée devant votre tribunal sont là », conclut-il. Il termine en rappelant que la prévenue s’est débarrassée de la pancarte avant la perquisition : « Derrière ces noms de ces personnalités, elle sait que cette pièce à conviction, si je puis dire, est constitutif du délit. » « Ne soyez pas dupes derrière son casier judiciaire vierge. Aussi, je salue le parquet de Metz d’avoir saisi la brigade des crimes contre l’humanité. »  » Le préjudice qu’elle a commis à notre société est colossal. Il l’est d’autant plus qu’elle est enseignante. » Aujourd’hui, Madame la présidente, Messieurs du tribunal, la France vous regarde. Alors ne soyez pas naïfs, ne soyez pas dupes, sachez qui vous jugez. Rendez justice à la hauteur du mal profond qui a été commis. »

« Notre société ». J’espère que vous comprenez bien qui est le propriétaire, d’après ce juif.

Le tout est bien évidemment accompagné d’une menace claire adressée aux shabbat goyim du tribunal : « La France juive vous regarde, si vous ne faites pas notre volonté, vous en paierez le prix ».

Ainsi parle cette race d’escrocs.

16h31. C’est maintenant l’avocate de la Ligue des Droits de l’Homme qui plaide. Elle rappelle que la Ligue a été créée au moment de l’affaire Dreyfus. Elle regrette elle aussi l’absence de la prévenue : « Cette personne qui, dans ses auditions, ment ou qui se tait quand ça devient gênant. » « Et en ne venant pas, ses victimes, elle les dénigre encore plus. C’est aussi une façon de se positionner en victime, ce qui est assez fréquent de la part de l’extrême droite. »

16h36. L’avocate rappelle comment toute cette affaire a commencé : à partir de l’allocation télévisée d’Emmanuel Macron sur le pass sanitaire : « De là, les manifestations ont commencé à fleurir dans toute la France. Et il est assez vite apparu que ces rassemblements étaient pilotés par l’extrême droite. »

16h40. « Cette pancarte est le b.a.-ba de l’antisémitisme », poursuit l’avocate de la Ligue des Droits de l’Homme. « Le « Mais qui ? », n’est pas une question. La réponse elle est dans l’interview de CNews. Le « Mais qui ? » est une dénonciation ». L’avocate poursuit : « Quand elle dit lors de ses auditions que le monde est dirigée par une oligarchie politique et financière c’est déjà une position antisémite. »

Merci de le reconnaître.

« Elle compare le « Mais qui ? » à la quenelle de Dieudonné.  » C’est un signe de ralliement. C’est voulu, c’est codé et c’est compris comme un code ».

16h55. L’avocat de la Licra intervient. « Ce qui m’effraie le plus dans cette affaire, c’est qu’on a ici une jeune génération qui ressort au XXIe siècle des vieilles lunes de l’antisémitisme »

Nous avons surtout affaire aux lunes très actuelles du sémitisme.

 » Madame Fristot a choisi le camp de l’obscurantisme religieux et de la violence politique. C’est une personne radicalisée. »  » Madame Fristot n’est pas une brebis égarée. Elle appartient à un groupuscule organisé, royaliste, intégriste, foncièrement antirépublicain ».

Les juifs méritent la haine de l’univers entier et bien davantage.

17h01. Me Burkatzki poursuit : « Il s’agit d’apporter une réponse claire pour apporter un terme à cette nouvelle mode, le « Qui ? » J’ai entendu la défense dire que la Licra serait le directeur de publication. Mme Fristot qui n’a pas le courage de sa prose est renvoyée pour avoir brandi une pancarte. En quoi la Licra ou le ministre de l’Intérieur ont rendu public cette pancarte. C’est elle qui l’a fabriquée, c’est elle qui l’a brandie. »

En la diffusant sur les réseaux sociaux.

17h12. L’avocat démonte un à un les arguments de la défense. Il sollicite la somme de 2000 € au titre du préjudice moral pour la Licra.

Ce juif ne démonte rien, plumitif enjuivé.

17h18. L’avocate de Consistoire israélite de la Moselle prend la parole.

Je vous le dis : il ne manque que l’ambassadeur d’Israël.

« Ne soyons pas naïfs, il ne s’agit rien d’autre que de la haine envers le juifs ». « Madame Fristot ne pouvait pas ne pas savoir que cette expression faisait référence à la communauté juive. Elle l’a inscrite en connaissance de cause. Et elle affiché des cornes de diable. Instruite, elle sait que les mots ont du sens et des conséquences. Des conséquences graves. Et pourtant c’est ceux là qu’elle a utilisé de brandir dans une manifestation publique. Elle souhaitait inciter tous les participants à ce rassemblement du 7 août à la haine. »

Elle pointe du doigt les juifs qui sont responsables du coup d’état sanitaire avec leurs blouses blanches, leurs financiers, leurs médias, leurs hommes politiques.

17h28. L’avocat de la maison des potes arrive à la barre. Il évoque le travail de l’association qu’il représente, laquelle intervient notamment en milieu scolaire. « Quelle différence de culture, d’implication et de respect avec ce qu’instille Mme Fristot, professeur d’allemand ! On frémit si au delà de l’apprentissage de l’allemand elle aborde l’histoire de l’Allemagne ! » « Elle participe tous les jours de façon discrète à disséminer sa haine. » Il termine :  » A la question « Qui ? » que pose Madame Fristot, j’en réponds par une autre : « Pourquoi ? »,  » Pourquoi tant de haine ? » Il faut vivre ensemble et se respecter. »

Vraiment, ce cirque est l’occasion pour tous les ahuris imaginables de venir se donner en spectacle.

17h38. Me Worms intervient pour le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme.  » On ne se cache plus pour faire valoir sans antisémitisme. C’est ça le drame. Et c’est parce qu’on a un sentiment d’impunité. Et c’est la raison pour laquelle vous devez réagir.« 

On est jamais aussi bien servi que par soi-même.

Juifs.

17h45. L’avocat pour le Mouvement contre le racisme, Me Lagarde, prend la relève de son confrère. « Nous sommes aujourd’hui devant un tribunal, mais l’essentiel de notre activité se passe auprès des écoles, des enfants et des consciences. »

17h47. « On n’est plus dans les injures mais dans un protocole raffiné de l’insinuation, poursuit Me Lagarde. On est dans le contrôle de la parole. Face à des gens qui font mine de s’étonner. » « Ce type de défense n’est pas nouveau mais nous assistons à une sophistication réelle. Au risque de décevoir le général, l’instigateur du Qui c’était Soral, faits pour lesquels il a été condamné. »

18h15. Les plaidoiries des parties civiles se poursuivent. « S’est-elle trompée d’époque ? », s’interroge l’avocate de l’Organisation juive européenne.  » Nous ne pouvons prendre le risque de la laisser gangréner l’esprit de nos enfants. Ici en France, il faudra une condamnation pénale pour qu’elle cesse d’exercer son métier. » « Vous êtes l’antichambre de la cour d’Assises », dit-elle au tribunal. « Il faut une peine sévère parce que nous sommes fatigués. »

On rêve.

Ces hébreux ont transformé la France en cloaque en moins de 50 ans et ils paradent dans leurs tribunaux en se disant « fatigués » de ce que leurs victimes réagissent encore.

Ces juifs ont intérêt à faire une cure de sommeil, car nous n’en sommes qu’au début.

18h22. Julien Berger, au nom du ministère public, prend la parole pour ses réquisitions.

18h23. « Je vais tâcher de vous convaincre de la culpabilité de Mme Fristot. Très brièvement sur les faits lors de cette manifestation du 7 août 2021 à Metz : Mme Fristot brandit cette pancarte. C’est cela qui lui est reproché et non la diffusion de ces images-là que les réseaux sociaux. Ainsi vous ne tiendrez pas compte des arguments de la défense faisant référence au fait qu’elle soit directrice de publication. »

18h27. « Sur la pancarte – le procureur Julien Berger – la décrypte en détail : les noms, les cornes, l’expression utilisée par un général à la retraite sur CNews où il a fait référence à « la communauté que vous connaissez bien. » Expression devenue par la suite la référence à la communauté juive. »

18h30. « Cette pancarte nous amène à nous poser deux questions. La première : est-ce qu’un groupe déterminé est visé par ce panneau ? Ce à quoi Mme Fristot a répondu qu’elle visait les responsables de la crise sanitaire. De plus, je ferai remarquer que ce panneau a une démarche malsaine qui nous amène forcement à nous demander : qui parmi ces noms est un nom juif ? Nous n’avons pas à répondre à cela. Même si de la part de la défense il y a une forme d’hypocrisie puisqu’elle s’échine à nous prouver que chaque nom sur la pancarte pouvait être relié à la thématique du Covid19 et du pass sanitaire. »

« Nous devons pas remarquer les juifs, surtout pas ! »

18h39. Le ministère public requiert 3 mois de prison avec sursis et 3 ans d’inéligibilité à l’encontre de Cassandre Fristot.

18h40. L’audience est suspendue avant la plaidoirie de la défense.

18h59. Me Paul Yon prend la parole pour la défense de Cassandre Fristot.

18h59. « Il était prévu que Madame Fristot vienne à l’audience, dit son avocat. Mais elle a subi des menaces. Si elle n’est pas là, c’est pour des raisons de sécurité. »

19h01. « Vous n’avez dans ce dossier aucune trace d’antisémitisme, dit son avocat. Lors de la perquisition, on aurait pu tomber sur des livres antisémites. Rien. On n’a pas de trace d’antisémitisme de ce dossier. » Il revient sur les plaidoiries des parties civiles :  » Ce qu’on veut, c’est qu’elle ne soit plus rien »

19h05. « Si des associations et le ministre de l’Intérieur n’étaient pas intervenus, cette affaire aurait pu ne jamais voir le jour devant votre tribunal et nous ne serions pas là aujourd’hui. »

19h20. « Ensuite, le contexte : ce n’est pas elle qui se prend en photo. Mais quelqu’un d’autre et qui la diffuse. Mme Fristot n’est pas d’accord avec la politique sanitaire – et c’est son droit – et elle participe à la manifestation. La veille, elle a réalisé cette pancarte citant toutes les personnes qu’elle estime responsable de la crise sanitaire.

Maintenant les noms sur cette fameuse pancarte : Fabius ? Il est catholique. Et il a un nom évident avec la crise sanitaire. Son fils ? Il travaille dans un cabinet mandaté par le gouvernement pour travailler sur la stratégie vaccinale.

C’est du trolling, ça.

Jacques Attali ? Il a déclaré avoir « une influence directe sur Emmanuel Macron. »

Mme Buzyn ? Elle a été en charge de la politique sanitaire du gouvernement en tant que ministre de la Santé et avait interdit la chloroquine.

Gabriel Attal ? Il a déclaré que sa mère était russe orthodoxe et qu’il n’était pas juif. Si son est sur la pancarte c’est parce qu’il est porte-parole du gouvernement.

Veran et Macron, c’est évident.

Salomon ? Il est responsable de la gestion de la crise sanitaire de part ses fonctions, notamment il a été pris dans la polémique autour du début sur les masques.

Soros ? Financier américain, dernièrement, il a racheté une société qui fait des tests contre le Covid19.

Schwab ? Il a écrit dans un livre pourquoi « cette pandémie est une opportunité politique ».

BHL ? Philosophe à la grande influence dans les médias, soutien de Macron qui raye les anti-vaccins. Sa sœur d’ailleurs, pour la petite histoire, a écrit un long texte où elle explique que Cassandre Fristot n’est pas antisémite.

Ferguson ? Il a aussi un lien évident avec la crise du Covid19.

Et la famille Rothschild ? Macron a des liens évident avec cette famille pour qui il a travaillé avant d’être ministre de l’Économie.

Voilà les noms qui sont poursuivis par le parquet.

Vous n’êtes pas saisis pour M. Drahi ni pour BFM. Or M. Drahi est Israélien. Or venir dire que ma cliente est antisémite et ne pas saisir ces gens, ce n’est pas logique. »

19h21. « Mme Fristot reprend le « Mais qui ? » c’est pour se demander « qui est la manœuvre dans cette politique sanitaire ? », et quand elle écrit « traitres » c’est pour dénoncer le fait que ces gens là n’agissent pas dans l’intérêt des Français. Et c’est son droit. Le lien qui rattache toutes ces personnes c’est la politique actuelle et la crise du Covid19. »

19h30. L’avocat de Cassandre Fristot demande la relaxe. « Sur l’infraction : pour que l’incitation à la haine raciale soit constituée, il faut démontrer que toutes les personnes mises sur cette pancarte-là visent la communauté juive dans son ensemble. » « On ne peut pas dire que Mme Fristot vise une communauté désignée. Si elle a inscrit ces noms c’est uniquement pour leur lien avec la politique sanitaire ou le gouvernement actuel. L’élément constitutif de l’infraction fait défaut. »

« Pour toutes ces raisons Mme la présidente je vous demande la relaxe de Cassandre Fristot. Vous n’avez aucune exhortation de la part de Mme Fristot. »

19h35. Le jugement sera rendu le 20 octobre

En toute logique, ce dossier est vide en l’état de la législation actuelle, pourtant ultra-répressive et terroriste.

Le fait est que Cassandre Frissot a dénoncé avec justesse les véritables maîtres de cette tyrannie et que ces maîtres, en hurlant à l’antisémitisme, se sont dénoncés eux-mêmes aux yeux des masses.

Vous avez sous les yeux le juif manipulateur, menteur, geignard et assoiffé du malheur de ses victimes. Vous le voyez dans son arrogante domination, parce qu’il a subverti l’Etat pour en faire l’exécutant de sa volonté.

Le juif est coupable.

Il est le seul virus.

La seule réponse à cette insolence, c’est une campagne antisémite sans précédent. Il ne pas se passer une seule journée sans que le juif ne soit désigné pour le criminel qu’il est aux yeux des masses.

Le temps du juif en France est compté.

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