Démocratie Participative 卐 Le site le plus censuré d'Europe 卐
Sigmar Polaris
Démocratie Participative
28 juin 2021
Contrairement à la France, la Tchéquie est un pays blanc gouverné par des gens normaux.
CNN :
Le président tchèque Milos Zeman a qualifié les personnes transgenres de « dégoûtantes » lors d’une interview sur CNN Prima News, affiliée à CNN, dimanche, au cours d’un débat sur une nouvelle loi controversée en Hongrie.
La loi hongroise interdit tout matériel et programme éducatif destiné aux enfants et considéré comme promouvant l’homosexualité, le changement de sexe et le concept de sexualité déviant de celle assignée à une personne à la naissance. Cette loi a suscité de vives critiques de la part d’autres membres de l’Union européenne.
M. Zeman a déclaré que l’ingérence dans les affaires intérieures de tout pays membre de l’UE était une erreur politique grossière, et il a défendu le Premier ministre hongrois Viktor Orban. « Je ne vois pas de raison de ne pas être d’accord avec lui », a déclaré M. Zeman.
Il a ensuite ajouté : « Je peux comprendre les gays, les lesbiennes, etc. Mais savez-vous qui je ne comprends pas du tout ? Ces personnes transgenres ».
Zeman a décrit les personnes transgenres comme « intrinsèquement dégoûtantes pour moi ».
Les hommes déguisés en femmes sont intrinsèquement dégoûtants pour tout le monde.
Les commentaires de M. Zeman sont intervenus alors que plusieurs villes du monde entier célébraient la Pride avec des défilés et des marches visant à accroître la visibilité de la communauté LGBTQ et à commémorer les émeutes de Stonewall en 1969.
Le festival Pride de Prague est prévu pour la première semaine d’août.
Selon ILGA-Europe, un groupe de défense des droits, les militants locaux craignent que la République tchèque ne suive le chemin de ses voisins de plus en plus illibéraux, la Hongrie et la Pologne. L’adoption d’une loi sur l’égalité des mariages a été bloquée à plusieurs reprises dans le pays et, selon un rapport de décembre 2020 de la Commission européenne contre le racisme et l’intolérance, les citoyens tchèques sont tenus de subir un changement de sexe et une stérilisation comme condition à une transition officielle.
Pas mal mais insuffisant.
L’étape suivante en Tchéquie : la chambre à gaz.
