Le président bulgare refuse de livrer des armes à Zelensky et prédit une guerre mondiale

La rédaction
Démocratie Participative
22 janvier 2023

Contrairement à Macron, le président bulgare Rumen Radev n’est pas très enthousiaste à l’idée de voir le flot d’armes occidentales vers l’Ukraine s’accroître.

Il tient un argument. Si la Mer Noire se transforme en lac nucléaire, son pays serait aux premières loges pour profiter des radiations.

The Balkans :

Au lendemain des révélations sur la fourniture secrète d’armements à l’Ukraine par le gouvernement bulgare, le président bulgare Rumen Radev s’est adressé aux médias. Radev a déclaré à la presse que fournir des armes à l’Ukraine revient à essayer d’éteindre un feu avec de l’essence.

Il a critiqué les partisans d’une nouvelle escalade du conflit, affirmant qu’armer l’Ukraine signifie qu’il y aura beaucoup plus de victimes et aucun règlement diplomatique du conflit, ce qui « nous pousse vers un conflit mondial avec la possibilité d’une autodestruction nucléaire. »

Il a réaffirmé sa position selon laquelle la Bulgarie ne devrait pas envoyer d’armes en Ukraine. « Ceux qui pensent autrement devraient non seulement bien connaître les profondes racines politiques et historiques de ce conflit, mais aussi présenter les analyses qu’ils ont faites sur les risques et les conséquences d’un tel acte », a déclaré le président Radev aux journalistes.

C’est étrange comme aucun média n’évoque le fait que participer à ce conflit en armant l’Ukraine finira inévitablement en confrontation avec la Russie et son arsenal atomique.

Ce sont ces mêmes médias qui ont plongé la France dans la psychose de masse à cause d’une grosse grippe.

Une guerre nucléaire provoquerait certainement des millions de morts.

Des milliards en fait.

C’est une réelle raison d’être alarmé. Pourtant les médias qui disaient que ceux qui ne portaient pas de masques allaient causer une nouvelle peste noire sont parfaitement à l’aise avec le risque d’une guerre mondiale entre puissances atomiques.

C’est bizarre.

C’est peut-être parce que les juifs contrôlent ces médias et qu’ils veulent cette guerre. Les Haddad, Guetta, Lévy, tonitruants en concert.

Les Français les écoutent, dociles.

En France juive, rien ne change.

Paradoxe. Il est regardant comme personne, avare, pour tout dire, comme un rat, le Français du sol, l’autochtone, quand on le taquine aux espèces, qu’on vient lui tâter sa cassette, ses valeurs, ses propriétés, il fait vilain, il devient fumier, il vous traite horrible. Il veut vous passer par les armes. Mais si vous venez au contraire, lui demander, sa viande, sa peau, s’il s’agit du péritoine, du vrai trésor de sa personne, il aura pas un mot méchant, vous pouvez y aller carrément, que des amabilités, pas un hoquet de résistance, vous pourrez l’ouvrir tout entier, tout lui demander, tout lui prendre.
— Toc ! Toc ! Toc !
— Qui s’amène encore ?
— Entendez-vous la Marseillaise, Durand ! mon trésor ?
— Si fait ! Si fait ! parfaitement ! Mais qui l’en joue ?
— C’est moi ! C’est Samuel Logeman ! Prosperman Levy ! Vos Juifs adorables ! Vos messies chéris ! Vos coquins !…
— Ah ! les chérubins ! qu’ils me gâtent ! Ah ! Nom de Dieu ! Ah ! tant mieux ! Tant mieux ! Me dépêcher aux batailles ! de si bon matin ! Quel entrain ! Comme c’est tendre, comme c’est prévenant ! l’affriolante, martiale aubade ! Encore ! Encore ! Vous pouvez me croire touché ! J’en veux ! J’en veux ! Plus vite ! Je m’exalte ! Je les veux toutes ! Batailles ! Charges ! Pour moi ! Qu’on m’étripe céans ! Quelle infinie jubilation de crever me transpose ! C’est trop ! J’éclatouille ! J’explosille en cent mille miettes de furie reconnaissante ! Je suis trop brave pour moi-même ! Je me contiens plus ! Ouvrez-moi tout ! Sans plus tarder d’une seconde ! D’une rafale ! Je m’embrase d’effarante impatience héroïque ! J’ai bouffé l’enfer ! Messiman Lévy m’a promis le bonheur du genre humain ! Je veux tout connaître ! Tout reluire ! Je veux jouir de tous les côtés, comme le schrapnell terrifique au but de mort ! Tout or ! tout feu !

Céline, L’École des Cadavres

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