Le porc communiste Martinez veut lutter « prioritairement » contre le parti des ouvriers

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 avril 2017

D’après vous, combien de temps la courroie de transmission du Parti Communiste qu’est la CGT va pouvoir ouvertement s’en prendre au parti des ouvriers de France ?

LCI :

Le numéro un de la CGT Philippe Martinez a assuré jeudi à Nantes que la lutte « contre l’extrême droite et le Front national, et contre toutes les formes de racisme » restait « une des priorités » de son syndicat.

« Évidemment, notre lutte contre l’extrême droite et le Front national, et contre toutes les formes de racisme, reste une de nos priorités« , a-t-il dit. « Il ne faut pas fuir ce débat, même s’il est difficile à mener et d’abord en interne avec les syndiqués », a-t-il reconnu.

« Le FN, c’est sûr, son ennemi ce n’est pas la finance ou le capital. Leurs ennemis, ce sont les salariés, les travailleurs, leurs représentants », a-t-il poursuivi. « Parce qu’ils n’ont pas la bonne couleur de peau, la bonne religion. Parce qu’ils n’ont plus de travail ou qu’ils sont retraités, considérés comme des nantis ou des assistés. Parce qu’ils sont fonctionnaires ou salariés d’entreprises publiques. Parce qu’ils sont syndicalistes ».

Pour ceux qui ont loupé l’actualité depuis l’effondrement de l’URSS, la CGT et le Parti Communiste sont désormais les fidèles paladins du prophète de l’islam. D’où leur extrême sensibilité aux questions de « religion », comme le dit ce gros porc de Martinez.

Le plus édifiant de la part de la vermine communiste dans sa lutte contre la classe ouvrière française, c’est sa défense absolue de l’immigration de masse aux côtés du grand patronat et de la finance tout en prétendant parler au nom des ouvriers.

La question raciale recoupe intégralement la question sociale et c’est précisément ce que représente le vote FN des ouvriers : ils se savent face à une entreprise d’anéantissement. Et cette guerre leur est faite avec l’argumentaire humanitaire de la gauche socialo-marxiste. Exactement comme les guerres au Moyen-Orient.

L’alliance entre la vermine rouge et le patronat ne fait pas l’ombre d’un doute. Et c’est l’arme raciale qui les réunit.

Il est important de rappeler le lien entre guerre sociale et raciale dès qu’on le peut. Elle empêche nombre de naïfs de se précipiter chez le métèque du Grand Orient Mélenchon. Sauf bien sûr chez les déchets sociaux qui n’aspirent qu’à la RMIsation totale de la France.