Le poète de la rue « Maka » condamné à 21 mois de prison pour blasphème contre le prof de gauche Samuel Paty

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 novembre 2020

Nous avons enfin la réponse : oui, les rappeurs peuvent finir en taule pour leurs lyrics.

En revanche, ça dépend de quelle catégorie politique se sent visée.

BFMTV :

Un jeune homme de 18 ans a été condamné ce jeudi en comparution immédiate pour apologie du terrorisme, port d’arme prohibé de catégorie D et recel de destruction par moyen dangereux pour les personnes.

Un jeune homme de 18 ans a été condamné ce jeudi à 15 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Meaux après avoir diffusé un clip de rap où il clamait « On découpe comme Samuel Paty, sans empathie », sur fond de machettes et de scies.

Interpellé mardi à Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne), il a été condamné ce jeudi en comparution immédiate pour apologie du terrorisme, port d’arme prohibé de catégorie D et recel de destruction par moyen dangereux pour les personnes, a indiqué à l’Agence France-Presse (AFP) le parquet de Meaux.

Le clip du morceau intitulé « Samuel Paty », diffusé sur YouTube, met en scène ce rappeur entouré de jeunes masqués de noir et armés de machettes, couteaux et scies. En décor, une voiture qui brûle.

Le 13 novembre, un adolescent de 14 ans avait repris les paroles de ce morceau en classe pour menacer une enseignante d’un collège de Savigny-le-Temple pendant un cours consacré à la liberté d’expression.

Une enquête avait été ouverte pour menaces de mort sur une personne chargée d’une mission de service public par le parquet de Melun.

L’adolescent, en classe de 3e, qui portait par ailleurs dans une de ses poches un pistolet à impulsion électrique Taser, a été présenté à un juge pour enfants.

Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, a été décapité en pleine rue près de son collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) le 16 octobre par un Tchétchène de 18 ans qui lui reprochait d’avoir montré en classe des caricatures du prophète Mahomet.

Jamais on a autant jeté de gens en prison pour des mots d’humour ou des chansons depuis que la « liberté d’expression » et le charlisme sont devenus des piliers de cette république.

La liberté d’expression des juifs, c’est-à-dire.

Tous les rappeurs cependant n’affrontent pas une même intransigeance dans la censure.

Quand Nick Conrad chantait « Pendez les Blancs » avec un clip autrement plus hardcore, les juges rouges ont condamné l’intéressé à une peine d’amende avec sursis.

Le clip de Conrad était beaucoup plus trash et explicite.

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En ce qui concerne les juges, les Blancs peuvent donc crever. Ils sont totalement en phase avec ce projet. En revanche, les serviteurs zélés de cette république juive sont protégés avec férocité en leur qualité de janissaires.

Il n’y a pas de « liberté d’expression ». C’est une mystification. Il y a uniquement la liberté pour le pouvoir établi de proclamer ce qu’il veut tout en éliminant ceux qui n’évoluent pas politiquement dans les clous du régime. Promouvoir la haine de la race blanche est parfaitement admis par les tribunaux juifs, en revanche ironiser sur les déboires des profs de gauche qui sont les chevilles ouvrières de ce régime cosmopolite est interdit. Sous peine de prison.

Dans le même ordre d’idée, Rémi, un patriote de l’Hérault, a été interné sur dénonciation de charlistes à 4 ans de prison dont un ferme pour avoir ironiser sur le prof de gauche Samuel Paty, l’ami des arabes.

Pour ce qui concerne les islamistes eux-mêmes, ils restent libres.

Cette nouvelle condamnation ébranle un peu l’imposture républicaine et sa récente campagne de « droit au blasphème ».

Cette république juive est très à l’aise avec la répression du blasphème dès lors qu’il s’agit du mythe de l’holocauste ou bien d’accorder l’impunité aux charlistes radicalisés de Bernard-Henri Lévy et de Richard Malka.

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