Le plumitif juif Askolovitch dénonce les goyim philosémites comme les responsables des pogroms à venir

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 décembre 2018

Le juif aux yeux de ventouses visqueuses Askolovitch est inquiet.

Dans un article paru sur le site juif « Slate », il explique la nouvelle orientation qu’il défend avec quelques autres youpins de gauche.

En résumé, le temps du juif glorieux doit faire la place à celle où le juif se limiterait à nouveau à tirer les ficelles dans l’ombre, laissant la bourgeoisie blanche subir de plein fouet la guerre raciale qu’alimenterait les juifs.

Car la gratitude n’est jamais de mise avec les juifs. Ni la vérité. C’est donc contre les goyim assez idiots et naïfs pour les avoir protégé contre la plèbe justement révoltée que portent désormais les accusations de cette race maudite.

Slate :

D’une poignée d’abrutis de fin de semaine est ressuscitée l’infamie antisémite, qui serait la vérité de l’insurrection des ronds-points, dévoilée par trois ivrognes faisant la «quenelle» dieudonnesque dans un métro et trente beuglards ayant chanté la même «quenelle» devant les marches du Sacré-Cœur, les ivrognes parlant mal à une vieille dame juive indignée de leur crasserie, les beuglards profanant le «Chant des partisans», dont l’air volé soutient leur pornographie scandée de «dans ton cul». De vomissures, on fait de la politique.

L’indignation est maîtresse de l’heure, et on m’avertit contre ces chemises brunes françaises qui rejoueront l’histoire, toujours la même, de la populace au pogrome, foule lyncheuse de policiers républicains et de juifs à la fois: «stop!», comme dirait un porte-parole du gouvernement, contempteur de la France des clopes et du diesel, ces svastikas symboliques finement repérées.

Il m’arrive d’avoir des opinions juives sur quelques grands sujets de l’heure, et c’est aussi bien en juif qu’en Français que je regarde tendrement les migrants, je sais pourquoi. Mais j’aimais, dans l’affaire des «gilets jaunes», qu’elle resta laïque et simplement sociale, c’était modestement primordial et républicain. Me voici entraîné par des clapotis de bêtise et la manie de quelques vigilants à parler en tant que juif d’une fronde sociale qui serait, finalement, dirigée contre moi.

J’ai, juif, un point de vue sur les vigilants: ils m’enferment bien plus qu’ils ne me protègent, et travestissent bien plus qu’ils ne révèlent. Ils m’exposent à des combats dont je ne veux pas et dont je deviens le prétexte. Ils me singularisent, affolent ma mère et avec elles toutes celles et ceux, juifs, qui à force de matraquage pensent que toute l’actualité, encore et toujours, converge contre nous. C’est heureusement inexact, quand bien même nos paysages ne sont pas joyeux.

Askolovitch parle d’abord aux juifs.

Quand les juifs parlent aux juifs, ils s’expriment en juifs, sans se départir de leur point de vue tribal pleinement assumé. Il cite donc la mère juive, la peur, etc., en guise de sauf-conduit, pour ne pas se faire illico rembarré par ses congénères.

Puis il enchaîne : « Les juifs qui dénoncent sans cesse l’antisémitisme nous font remarquer aux yeux de la populace, préalable au pogrom ».

Or, il est de règle chez les juifs, lorsque la plèbe aryenne devient réellement volatile, de raser les murs, de se mettre à la rhinoplastie et de changer de nom avant de se déclarer révolutionnaires, défenseurs du peuple tout à fait.

Dans une France d’abandon et de rancœurs, de rumeurs et d’inquiétude, les crapuleries d’un Soral ou d’un Dieudonné peuvent se glisser en folklore sordide. Mais ce n’est pas l’antisémitisme qui mène ce bal, simplement l’envie de vulgarité qui anime les hommes que l’on oublie, et qui s’oublient.

C’est triste pour la France, mais est-ce périlleux pour les juifs? Ces malheureux idiots ne nous détestent pas de préférence, en dépit de leurs gourous, et il serait absurde d’entrer dans leur perversité et de la nourrir d’indignations forcées. La scène du Sacré-Cœur était laide bien avant d’être antisémite. Sans doute ne l’était-elle pas, et celle du métro, possiblement, pas davantage. De la viande bête, de la viande saoule, entonne un air vulgaire et reproduit un geste de pornographie politique.

« Abraham, Moshé, vraiment je t’assure, cela ne va pas si mal. Ces Français avinés sont trop idiots pour nous avoir remarqué, vraiment, il ne faut pas s’inquiéter. Surtout que si tu t’inquiètes en le brayant sur tous les toits de Paris, la populace pourrait bien finir par nous repérer. »

C’est l’éternelle discussion entre le rabbin optimiste et le rabbin pessimiste.

Antisémite, l’insurrection n’est pas; des antisémites fleurant une aubaine, les Dieudonné et les Ryssen, la reniflent et s’y logent. L’affaire de la quenelle, et le bruit qu’elle a provoqué, a ravi les antijuifs qui se répandent depuis sur les groupes Facebook du mouvement sur le mode «les juifs contrôlent le système», affirme sur Twitter Vincent Glad, ce journaliste en reportage dans la jungle de mots des réseaux sociaux. Quel cadeau à leur faire si désormais vigilants et politiques, dans les médias légitimes, proclamaient que les «gilets jaunes», antisémites globaux, étaient une variante du mal.

C’était sympathique, honorable, mais également biaisé. Les juifs –cela ne vaut pas que pour Valls et Sarkozy, loin de là– n’étaient pas tant protégés par les grands hommes qu’ils ne leur servaient de caution ou de bouclier idéologique. Par une malignité de l’histoire, la défense des juifs est devenue la dernière morale, la vertu ultime, l’estimé reliquat des pouvoirs que leurs peuples désavouent.

En résumé, quand les goyim servent les juifs, c’est encore de l’antisémitisme.

Rien n’ira jamais aux yeux de la juiverie, parce qu’elle considère, depuis trois millénaires, que l’humanité est la racine de l’antisémitisme et non le juif.

Le cancer juif considère que le corps sain du malade est la maladie.

Le goy sert-il servilement ? C’est un imbécile dont l’obséquiosité alimente l’antisémitisme de la plèbe devenue suspicieuse. Le goy refuse-t-il de servir aveuglément ? C’est parce qu’il nourrit des envies de génocide. Entre ces deux positions, un panel d’accusations.

Askolovitch résume tout le problème du parasite juif : cause des malheurs du peuple, il dresse procès après procès pour accuser tour à tour antisémites et philosémites.

Jamais, dans le crâne d’un juif, l’idée que sa culpabilité puisse être enfin à l’ordre du jour ne l’effleure.

Il n’y avait pas de complot en la matière, ni de mauvaise intention. C’est arrivé, simplement. Des hommes perdant l’amour de l’électorat invoquaient l’amour du juif. Je suis celui qui reste au ministre quand le ministère sonne creux.

Les macronistes, mouvement fluide mais qui n’invente rien, nous rejouent la scène. Ils sont impopulaires, stressés et assiégés, mais –ils le chantent, le crient, l’exhibent– ils vont défendre la synagogue que les «gilets jaunes», pourtant, ne songent pas à brûler.

C’est optimiste.

Très optimiste.

Sous les couverts d’un discours fièrement républicain, c’est un échange et un pacte –d’ailleurs pas inédit: on joua, dans l’Algérie de papa, l’alliance des juifs naturalisés français et de la puissance coloniale, qui avait choisi sa minorité à élever, séparée des autres indigènes. Chacun y gagnait.

Allons-nous réitérer la manœuvre, mais cette fois dans l’angoisse, non plus pour gagner la France, comme jadis à Alger, mais pour ne pas la perdre, et coller au pouvoir, au manche, au gouvernant par principe, parce qu’il n’est d’autre survie possible ?

Bien sûr ce youtre feint d’ignorer que ce régime est juif, intégralement.

Ce n’est pas une « alliance », mais un protectorat sémitique. Sans son maître juif, la Cinquième Putain serait déjà renversée dans le caniveau depuis des années.

La lecture partiale de ce youpin hypocrite et menteur permet au moins de relever l’aveu : la juiverie coalisée sait que cette république judéo-financière est son dernier rempart avant le désastre.

Ce n’est pas un hasard si ce plumitif cite le cas de l’Algérie française.

Askoloyoutre, qui a le nez collé sur les chiffres et statistiques de l’immigration, sait que deux camps sont en formation : celui de la race blanche d’une part et celui des musulmans marrons de l’autre.

Comme en Algérie, il faudra choisir ou fuir.

Au reste, une fois la juiverie algérienne arrivée en France, elle se transforma en fer de lance de l’immigrationnisme pro-arabe et de l’antiracisme. Avec ces youpins nés en Algérie : les Bernard-Henri Lévy, Georges-Marc Benhamou et consorts.

Le juif n’a pas d’amis ou d’alliés : il n’a que des goyim à abattre dont l’ordre d’élimination varie en fonction des circonstances.

Ce juif, tel le chancre, veut se maintenir en France. Non plus tant par goût du lucre et de la haine raciale atavique qui le pousse à tourmenter des Français de souche, mais plutôt pour ne pas admettre la défaite.

Pour le juif arrogant, rien n’est pire que d’admettre qu’il a été suffisamment stupide pour être vaincu, une nouvelle fois, par la plèbe goye.

C’est par égocentrisme et orgueil que le juif Askolovitch veut se maintenir en France. Et appelle donc sa tribu à ne surtout pas se revendiquer comme puissance occupante, à rejeter la tentation du juif glorieux, détenteur de la force.

Nous serions alors au fond de nous, et en dépit de nous, juifs modernes de la République, une minorité menacée et apeurée, qui retrouverait son antique destinée, protégée par la seule bienveillance du seigneur, attendri ou intéressé par notre seul trésor: la morale que nous incarnons, notre passé douloureux et sacré. Il y a eu assez de blessures, de coups et de morts, ces dernières années, contre des juifs en France, pour que cette régression prenne corps.

Et puis patatras! On me dit aujourd’hui que la France périphérique de Christophe Guilluy, gauloise et désespérée, ne m’aimerait pas plus que les banlieues basanées. Le peuple blanc aussi vomirait Rothschild dans ses quenelles, comme les black-beurs jalousaient la belle «syna».

Menacé dans les cités, je, juif, serais aussi en péril dans les quartiers pavillonnaires et, méfiant du halal, devrait aussi redouter le peuple des jambon-beurre et des braseros des barrages. Les vigilants me le disent, les médias me le répètent, les gouvernants m’en assurent, et de leur inquiétude naît mon cauchemar français.

Je devrais, juif, éviter aussi bien la Somme que la Seine-Saint-Denis, redouter Trappes comme Carcassonne. Je devrais, dans une terre qui a oublié mon martyre, me résigner à ne vivre qu’à l’amitié des riches, des puissants et des cyniques, et accepter, pour mon bien, que mon histoire serve à repousser le musulman comme le «gilet jaune», que certains ici veulent traiter en ennemi.

Tariq Ramadan d’un côté, la quenelle de l’autre, les épouvantails à juifs quadrilleraient le territoire, et seul le pouvoir, seuls les possédants, seuls les libéraux, seuls les macronistes, seuls ceux qui possèdent le monde, pourraient me tolérer.

Réalise-t-on –je parle en juif et en républicain– ce que portent ces logiques susurrées, instillées, admises, commentées et retweetées? Rarement la vérité simple d’un pays aura été niée à ce point par un discours prétendu vertueux –et j’en serais, juif, l’objet, et ils en sont, les vigilants, coupables.

Réalise-t-on pourtant quel malheur nous préparons –je parle en juif–, si venons à penser que dans notre pays, seuls les riches nous agréeraient, si nous oublions que ce peuple mal embouché nous cacha, jadis, quand les élites prêtaient serment à Pétain?

Pouvons-nous, juifs, vivre heureux en France dans l’idée que le peuple nous rejette, si nous participons ensuite à son humiliation, et si nous consentons aux opportunismes des politiques et aux manipultions des vigilants? Nos ancêtres, sous l’autocrate russe, savaient être tolstoïens et ne haïssaient pas le moujik au prétexte des progromes, pourtant réels ceux-là.

Ha !

Non, bien sûr, les juifs de Russie ne haïssaient pas les paysans russes orthodoxes. Même s’ils en assassinèrent plusieurs dizaines de millions à l’instar des Lénine-Blank, Kaganovitch, Radek, etc.

Le juif Askolovitch, qui déclare son optimisme – de façade – dessine pourtant le « malheur » que les juifs préparent de par leur arrogance devenue si tapageuse que l’inévitable sursaut antisémite se forme, irrémédiablement.

Une autre n’en a pas perdu une miette : Houria Bouteldja.

 

Bouteldja sait que sans l’appui de la juiverie internationale, la faune arabe sera toujours impuissante à se frayer le chemin qu’elle espère, faute de cadres et de potentiel racial.

Ce sont bien les juifs qui barrent la route du pouvoir réel à ces arabes et à ces nègres, étant entendu que, pour les juifs, ils ne sont que des supplétifs dans la guerre raciale qu’ils mènent aux peuples aryens pour édifier un empire sémite sur les ruines de l’Europe blanche.

Pour Bouteldja, pas de grande guerre raciale contre les populations blanches sans le soutien d’au moins une part importante de la juiverie. Et la pomme de discorde n’est autre que la colonie juive de Palestine.

Quoi qu’il en soit, la juiverie constate que la triangulation qu’elle voulait appliquer à la France se transforme en étau qui l’écrase, au grand désespoir d’Askolotich.