Le plan polonais pour l’Ukraine juive prévoit une guerre ouverte avec la Russie

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 mars 2022

 

La Pologne a l’air décidé à jouer le même rôle qu’en 1939, à savoir celui de chien enragé à la solde de la juiverie américaine.

Il se trouve que leur premier ministre est le plus enragé de ces enragés.

Cet homme-là, Mateusz Morawiecki :

Il a publié un programme pour l’Ukraine particulièrement radical dans la feuille américaine POLITICO dont le rédacteur en chef est le juif polonais Matthew Kaminski.

Politico :

Il y a dix jours, en excellente compagnie, j’ai visité la ville assiégée de Kiev. Bien que j’aie voyagé au-delà des frontières de l’Union européenne, j’ai eu le sentiment d’être arrivé au cœur même de l’Europe – un cœur blessé, certes, mais qui bat avec une grande force.

À Kiev, une bataille est en cours – non seulement pour l’avenir de l’Ukraine, mais aussi pour celui du continent tout entier. Et si Kiev tombe, ce sera la fin de l’Europe telle que nous la connaissons.

Un mois s’est écoulé depuis que la Russie a lancé son assaut complet de l’Ukraine. Depuis lors, l’Occident a imposé quatre trains de sanctions à la Russie – et pourtant la guerre continue. Ces mesures ne sont manifestement pas suffisantes. Il faut faire beaucoup plus, et rapidement.

À ceux qui préviennent que provoquer le président russe Vladimir Poutine conduira à une troisième guerre mondiale, je demande : Poutine a-t-il jamais eu besoin d’une excuse pour violer le droit international ? En avait-il besoin pour attaquer la Géorgie ? En avait-il besoin pour occuper la Crimée ? En a-t-il eu besoin pour attaquer Kiev ?

De telles remarques me rappellent les mots de Winston Churchill, qui aurait décrit la décision d’apaiser Adolf Hitler comme un choix entre la guerre et la honte. « Ils ont choisi la honte », a-t-il ajouté. « Ils auront aussi la guerre ». La passivité des politiciens à la veille de la Seconde Guerre mondiale n’a pas arrêté Hitler ; elle lui a donné plus de marge de manœuvre pour agir. Notre tâche aujourd’hui est de ne pas répéter cette même erreur.

Balancer le nom de Hitler, parce que la démocratie et les juifs, c’est fait.

Les personnes auxquelles j’ai parlé à Kiev ont plus de courage que les dirigeants des plus grands pays du monde. Mais ils ont besoin de plus que de la compassion ou de déclarations de solidarité. Ils ont besoin d’un véritable soutien.

Je sais que le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a été reconnaissant de notre visite avec le Premier ministre slovène Janez Janša, le Premier ministre tchèque Petr Fiala et Jarosław Kaczyński, le leader de mon parti Droit et Justice. Mais lui et le reste de l’Ukraine ont raison d’attendre beaucoup plus de nous.

Qui est « nous » ?

La Pologne et son PIB 5 fois inférieur à la France ?

Le budget de toute l’armée polonaise doit à peine suffire à construire la moitié d’un porte-avion français.

Outre l’arrêt des paiements pour le pétrole, le gaz et le charbon dès que possible, la Pologne, la Slovénie et la République tchèque ont préparé un plan en 10 points pour soutenir l’Ukraine et mettre fin à la guerre.

C’est là que les exigences extravagantes de ces Polonais au service des juifs atteignent des proportions proprement sidérantes.

Premièrement, nous devons couper toutes les banques russes du système de paiement international SWIFT. Sinon, l’économie russe s’adaptera aux nouvelles conditions en quelques semaines.

Deuxièmement, nous devons mettre en place une politique d’asile commune pour les soldats russes qui refusent de servir le régime criminel de Moscou.

Troisièmement, nous devons arrêter complètement la propagande russe en Europe. La liberté d’expression ne signifie pas le droit de mentir.

Quatrièmement, nous devons bloquer les navires russes dans nos ports.

Cinquièmement, le même blocus doit être mis en place pour le transport routier à l’intérieur et à l’extérieur de la Russie.

Sixièmement, nous devons imposer des sanctions non seulement aux oligarques mais aussi à tout leur environnement commercial.

Septièmement, nous devons suspendre les visas pour tous les citoyens russes qui veulent entrer dans l’UE. Le peuple russe doit comprendre qu’il supportera les conséquences de cette guerre. Et nous espérons qu’ils tourneront le dos à Poutine.

Huitièmement, nous devons imposer des sanctions à tous les membres du parti de Poutine, Russie Unie. Ils savent parfaitement ce qui se passe en Ukraine, et leur complicité est indiscutable.

Neuvièmement, nous devons mettre en place une interdiction totale de l’exportation vers la Russie de technologies pouvant être utilisées pour la guerre.

Et dixièmement, nous devons exclure la Russie de toutes les organisations internationales. Nous ne pouvons pas nous asseoir à la même table que des criminels.

Ce dernier point suppose de chasser la Russie de l’ONU.

Si cela n’arrête pas la guerre, alors nous devons aller plus loin. À Kiev, nous avons proposé une mission de maintien de la paix sous l’égide de l’OTAN et d’autres organisations internationales. Si nous ne pouvons pas introduire des sanctions efficaces, nous n’avons pas le choix : Nous devons protéger le peuple ukrainien avec nos propres boucliers.

Si nous voulons rétablir la paix, Poutine doit savoir où se trouve la ligne rouge – la ligne qu’il ne peut pas franchir. Le fait que la Russie dispose d’un arsenal nucléaire ne peut servir d’excuse à la passivité. Nous devons être conscients de cette menace, mais elle ne doit pas nous retenir. Sinon, Poutine ne fera qu’aller plus loin.

Le chef du gouvernement polonais se dit ouvertement prêt à déclencher une guerre nucléaire. Plus exactement, se dit-il prêt à nous entraîner dans une guerre nucléaire pour assurer la protection du champ de patates qui lui sert de « pays ».

Ces déclarations en faveur d’une guerre avec la Russie n’entraînent aucun commentaire dans les états nucléaires comme la France qui se voient réquisitionnés par la très catholique Pologne pour le compte du juif Zelensky.

Que ferons-nous si Poutine s’attaque ensuite à Chisinau, la capitale de la Moldavie ? Ou s’il attaque Vilnius et Varsovie ? Et s’il veut occuper Helsinki ? Commencerons-nous à prendre cette menace au sérieux uniquement lorsqu’il enverra des chars à Berlin ? La ligne doit être tracée, et elle doit l’être maintenant.

Le plan que nous proposons n’est pas seulement possible, il est nécessaire. Nous devons trouver le courage de ne pas tourner le dos à la souffrance de l’Ukraine et de relever ce défi historique.

Ce n’est pas un hasard si c’est en Pologne que Biden, emmitouflé dans ses couches, est venu parler aux troupes de ZOG sur place.

La canaille de Varsovie démontre une nouvelle fois que dès qu’elle a la possibilité de relever sa face hideuse, elle se met immédiatement au travail pour le compte des juifs pour précipiter une nouvelle catastrophe européenne.

La Pologne est la seule chose qui a pu rapprocher des gens et des systèmes aussi radicalement opposés : Hitler et Staline, le national-socialisme et le communisme.

C’est le seul point commun qui a jamais existé entre eux.

Si des fascistes et des antifas s’accordent sur une seule chose et que cette chose est la nuisance polonaise, cela veut dire que la nuisance polonaise est objective.

Et dire que j’ai subi à l’école d’interminables discours sur les « souffrances » de ce pays.

Pour la plus grande stupéfaction du monde civilisé, il devient clair que la Pologne est une erreur géopolitique extraordinairement dangereuse. Tant que cette hyène est laissée libre de semer le chaos en Europe, elle fera l’oeuvre des juifs.

C’est ce que fait l’Amérique en excitant cette bête sauvage au pire moment.

L’approche la plus sage face à ce péril polonais, c’est de démanteler cet état de gangsters et de répartir ce qu’il y a dessus entre de véritables états, comme la Slovaquie, l’Allemagne et la Russie.

Bref, de revenir à un état de choses bien plus raisonnable.

Les Russes pensaient régler le problème polonais au détriment des Allemands en 1945. Leur approche s’est avérée bien trop optimiste.

Il faut corriger cette erreur fatale.

L’oblitération de l’Etat Polonais est une nécessité urgente pour la sécurité de l’Europe. Sinon, je ne vois comment nous échapperions à une guerre nucléaire sur le continent.

EELB sera bientôt de retour

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