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Captain Harlock
Démocratie Participative
02 octobre 2018
Oubliez cette histoire de Zoulous voulant éradiquer les fermiers blancs en Afrique du Sud, c’est du flan. En fait, il y a simplement un programme social d’émancipation pour permettre aux courageux travailleurs noirs de suer sang et eau pour faire pousser des céréales.
C’est grâce à ce gros panda basané en surpoids que vous l’apprendrez.
Bref, tout va bien.
Julius Malema, le héros de l’émancipation nègre, l’a dit, « nous n’appelons pas au meurtre des Blancs. Du moins, pas pour le moment. Je ne peux garantir pour l’avenir. Il y aura une révolution sans direction et une révolution sans direction est la plus haute forme d’anarchie. »
Voilà, ça c’est bien.
En revanche, si un leader blanc était filmé, assis quelque part dans un café de Paris, déclarant, « nous n’appelons pas au meurtre des noirs. Du moins, pas pour l’instant. Je ne peux pas garantir l’avenir », ce même panda ferait une vidéo d’une plombe pour expliquer qu’il est grand temps de faire exécuter les racistes.
Rien n’est plus désagréable pour tous ces basanés que devoir admettre leurs torts face à des Blancs. Ils sont soudainement en position d’infériorité sur leur propre terrain de jeu qu’est la culpabilisation et cherchent immédiatement à nier ou à dévier la discussion. C’est systématique.
D’ailleurs, pour y faire face, ils ont développé ce concept nègre : les Blancs ne peuvent pas subir de racisme parce que ça n’existe pas. Ce n’est pas très élaboré mais au moins, le dernier nègre comprend le principe.
Ceci étant dit, ce que racontent ces gens marrons n’a aucune importance, il faut simplement en retenir la haine atavique qui les anime pour les Blancs. Surtout lorsque ces derniers ont été assez idiots pour les accueillir et les cajoler.
Ce que racontent les marxistes n’a pas plus d’intérêt.
Il suffit de se reporter sur les médias alternatifs non inféodés aux juifs.
