Le négrophile pathologique Borloo exige 48 milliards pour l’Afrique en France

 

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 avril 2018

Après avoir échoué à faire électrifier l’Afrique pour 200 milliards d’euros subtilisés aux Blancs, le négrophile pathologique Borloo s’est rabattu sur un projet non moins ambitieux : déverser près de 50 milliards d’euros sur les banlieues nègres de France.

Le Parisien :

Attendues depuis des semaines, les propositions de l’ancien ministre de la Ville, sont remises au Premier ministre, ce matin, faute d’avoir pu l’être au président.

Cela finissait par être l’Arlésienne… Mais nous y sommes. Jean-Louis Borloo va présenter, ce jeudi, son plan pour les banlieues. L’ex-ministre de la Ville remettra son rapport à Édouard Philippe, et non à Emmanuel Macron comme prévu. Question d’agenda, avance-t-on. Or, il y avait urgence. Difficile de jouer plus longtemps avec les nerfs des élus et associatifs de banlieue.

En résumé, les nègres et les crouilles menaçaient de tout faire sauter si les milliards n’étaient pas rapidement versés sur les comptes bancaires d’Abidjan et d’Alger.

Cette remise se devait d’être « rapide », admet l’Élysée. Une « attention » d’autant plus nécessaire que le collectif de l’appel Grigny tient un rassemblement à Paris cet après-midi. « On allait avoir des élus disant : On travaille depuis six mois et il n’y a rien », décrypte l’un des organisateurs.

« On travaille depuis six mois ».

Car mendier le pognon des Blancs, pour des nègres, s’appelle « travailler », si vous l’ignoriez.

Borloo n’ignore rien de la pression qui pèse sur lui. Son plan suscite tant d’espoirs chez des élus, pour beaucoup à bout. Lui veut en premier lieu « déconstruire le discours ambiant », celui des « petits hommes en gris de Bercy », qui revient à dire : « On a déversé un argent fou dans les quartiers. La Politique de la ville, ça ne sert à rien. » Il faut, estime-t-il, « recréer une épopée », faire des banlieues un sujet à nouveau « à la mode ».

L’épopée du pognon cramé dans les quartiers à rats.

Oui.

Pour le porter, Borloo veut « un général Patton », épaulé par une équipe musclée. Car les élus déplorent de ne pas avoir de ministre dédié. D’autant que ni Jacques Mézard, ni Julien Denormandie, ne sont des spécialistes de ces questions. En coulisses, le nom de l’ancien préfet Jean-François Carenco, revient avec insistance.

Carenco, l’anfasciste de Lyon.

Quelle surprise.

Quant au contenu… « C’est un plan très pragmatique », assure un ami de Borloo. Faire des quartiers l’avant-garde de la France digitale, créer une grande école : l’académie des jeunes leaders pour former une élite des banlieues, sont autant de pistes… Borloo estime de surcroît qu’il faut « encore investir 48 milliards d’euros dans la qualité urbaine. » Un chiffre qui fait tousser en haut lieu.

« Il est clair que l’inquiétude a été entendue. On arrive à l’aboutissement de plusieurs mois de travail », fait valoir l’Élysée, tandis que le Premier ministre assure que le rapport ne finira pas dans « un tiroir ». De là à le reprendre dans son intégralité… « Il s’agit de préconisations », tempère par avance une source gouvernementale. La parole reviendra au chef de l’État, Emmanuel Macron, qui a vu Borloo au début du mois. Et qui dira ce qu’il retient de ses travaux lors d’un discours, fin mai, début juin. Sûr que d’ici là, les élus resteront l’arme au pied.

Une « académie » des nègres et des crouilles. Voilà un investissement d’avenir.

Cela mérite bien que la France raciste se serre un peu la ceinture.

Borloo est un escroc du même tonneau que Tapie. C’est d’ailleurs son complice le plus connu.

Le principe de l’arnaque est simple : vous utilisez votre carnet d’adresses, vous regroupez des listes de noms, d’associations de basanés en tous genres. Vous dites représenter un « projet » déjà ficelé. Vous appelez des comparses dans la presse juive pour faire du bruit médiatique et faire croire que si le truc n’est pas signé dans la semaine, ce sera l’apocalypse.

Vous exigez sur tous les toits un « rendez-vous » avec le gouvernement. En clair, une audience pour négocier le chèque sur fond de menaces de hurler à l’apartheid.

Les politiciens cèdent, moyennant une belle campagne de relations publiques.

Borloo retourne dans sa poubelle avec son chèque, s’étant réservé au passage des millions en « frais honoraires » tandis que la négraille prend sa part.

Recommencer l’opération sur absolument n’importe quel sujet du moment qu’il ait la capacité de faire céder les politiciens sous la « pression médiatique » artificiellement créée.

Il s’agit de l’alliance objective des parasites pour dépouiller les contribuables blancs.