Le nationaliste Yvan Benedetti rejoint à son tour GAB.com !

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 Juillet 2020

 

C’est avec plaisir que j’ai pris connaissance de l’arrivée du nationaliste Yvan Benedetti sur le réseau social Gab.com (@Yvan_Benedetti). Sa dernière vidéo m’a particulièrement plu.

Il n’a pas encore gabé mais j’espère bien que ce sera bientôt le cas. Ses militants et sympathisants devraient le suivre sur cette plateforme.

En revanche, Jérôme Bourbon ne s’y est toujours pas inscrit. Ni Rivarol ou ses rédacteurs. Par contre Florian Rouanet s’y trouve (@Florian-Rouanet). Florian devrait convaincre Jérôme d’y venir rapidement. Plus généralement, GAB doit devenir un bastion de liberté pour le racisme et le contre-sémitisme.

Je dois dire que je suis assez content de la virulence renouvelée de la censure juive parce qu’elle va dégager à coups de pied au cul des gens qui, par fainéantise, préfèrent rester zoner exclusivement sur les plateformes juives dans l’espoir de ne pas s’en faire virer. Comme les Identitaires.

Si les Identitaires se font virer de Twitter et de Facebook, tout le monde se fera vider de ces réseaux car il est notoire que les Identitaires ont toujours pris soin de ne pas tenir de propos à caractère raciste ou antisémite afin de rester dans le cadre légal. Et aussi de ne pas peiner les juifs.

D’autres catégories d’opposants vont également subir cette purge à grande échelle. Comme par exemple les opposants à l’avortement qui sont très souvent affiliés au courant traditionnaliste du Catholicisme. En 2017, le pouvoir juif, toujours soucieux de détruire la matrice reproductive blanche avec l’aide des idiots utiles féministes, inventait le délit d’entrave à l’IVG.

Le Monde :

Le texte prévoit de pénaliser les sites de « désinformation » sur l’IVG qui cherchent, « dans un but dissuasif (…), à induire intentionnellement en erreur » les femmes s’informant sur l’avortement. Il s’agit d’une déclinaison du délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse créé en 1993 pour les « commandos » qui venaient perturber les établissements pratiquant l’avortement ou menacer les personnels hospitaliers.

L’orateur des Républicains, Christian Kert, a dénoncé une loi qui menace « la liberté de pensée » et « met en place une véritable censure gouvernementale » que, selon lui, le Conseil constitutionnel n’acceptera pas. « La liberté d’expression, ce n’est pas la liberté de tromper les personnes », lui a répondu le député UDI Philippe Vigier.

Comme pour le reste, le pouvoir juif a une définition très claire de la liberté d’expression : tout ce qui conforte ce pouvoir doit pouvoir s’exprimer, tout ce qui s’y oppose doit être censuré.

En 2018, les médias juifs se lamentaient de la lourdeur du mécanisme légal voté en 2017. Les journalistes de la radio communautaire juive France Inter priaient longuement Yahvé au pied du Mur des Lamentations.

France Inter :

La rédaction de loi – réécrite plusieurs fois pour respecter les principes généraux sur la liberté d’expression – est ainsi faite que les recours sont très difficiles. À ce jour, en tout cas, aucune plainte. Les sites qui étaient dans le viseur, comme IVG.net, n’ont pas été inquiétéset ne sont d’ailleurs pas inquiets et figurent toujours en bonne place sur les moteurs de recherche.

Pour Alba Horvat, juriste bénévole à la Fondation des femmes, la loi n’a pas eu d’effet car elle est « trop complexe ». « Pour prouver l’entrave, on doit être en présence d’une femme qui cherche à s’informer sur l’IVG, qui subisse des menaces ou pressions assez graves pour qu’elle s’en rende compte, qu’elle en soit suffisamment affectée pour aller porter plainte, et qu’elle garde des preuves de ce qu’elle a subi ».

Avec l’externalisation et la privatisation de la censure par l’Etat et sa gestion par les GAFAM, la loi est devenue superflue. Il suffira bientôt à une lesbienne à cheveux mauves ou à un youtron de pleurer pour que ces gens soient également censurés.

Nous sommes encore très en deçà de la censure qui sera mise en place dans la décennie 2020-2030.

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