Le musée de Brive dévalisé pour 140,000 euros par un gang de juifs ayant monté une affaire bidon d’œuvre « volée par les Nazis »

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 avril 2021

Le média communautaire Valeurs Actuelles exulte : depuis le feu vert donné par Roseline Bachelot, le pillage des musées français par les juifs se généralise.

Cette fois-ci, c’est le musée de Brive qui a été dévalisé par un gang d’escrocs levantins.

Valeurs Actuelles :

Achetée en 1995 par la municipalité briviste, la tapisserie baptisée l’Odorat, était réclamée par une famille juive depuis le milieu des années 2000. Le Figaro rapporte que l’œuvre, datant du XVIIe siècle, était venue compléter une collection d’autres pièces de la manufacture anglaise Mortlake. Le musée Labenche, qui l’avait obtenue légalement pour 660 000 francs, a indemnisé la famille lors d’une négociation à l’amiable.

Ressemblant en tout point à l’œuvre achetée à bas prix à une famille munichoise en 1936, c’est onze ans après son arrivée au musée Labenche que l’enquête commence. Les recherches ont permis de mettre en lumière le parcours de la tapisserie qui serait passée par des propriétaires privés et trois maisons de vente entre son achat à perte à la famille Drey et son arrivée en terres brivistes.

Vincent Rigau-Jourjon, directeur du musée Labenche, précise : « Les élus étaient à l’unanimité pour dédommager les ayants droit ». Préférant l’indemnisation de la famille plutôt qu’une restitution, une somme importante pour le musée et correspondant au prix d’achat de la tapisserie en 1995, ont ainsi été débloqués, soit 140 000 euros. Le 15 janvier 2021, le « protocole transactionnel » était signé, permettant à la ville de Brive de conserver l’œuvre et de s’inscrire dans une « solution juste et équitable » vis-à-vis de la famille Drey.

La rédaction de Voleurs Actuels est vigilante.

Parlons d’islam plutôt

L’Allemagne nationale-socialiste n’a jamais « acheté à bas prix » quoi que ce soit : ce sont les spéculateurs juifs qui ont acheté à bas prix des milliers d’œuvres d’art à la faveur de la grave crise économique qui frappa l’Allemagne et l’Autriche après la première guerre mondiale.

Avec l’aide financière de la juiverie anglo-américaine, les juifs allemands et autrichiens firent main basse sur d’énormes quantités de biens dans l’Allemagne ravagée par l’hyper inflation de l’après-guerre.

Pendant ce temps-là, enfants et vétérans crevaient de faim dans les rues.

Le gouvernement d’Adolf Hitler se contenta – moyennant finances – de réparer ce pillage juif généralisé afin de rendre au peuple allemand son patrimoine. Les œuvres furent rachetées au prix où les juifs les avaient achetées en premier lieu lors de la dépression économique des années 20 : c’est-à-dire pour une bouchée de pain.

Ce que la juiverie a obtenu de Macron, c’est l’autorisation de piller une seconde fois ce qu’ils avaient pillé il y a un siècle en Allemagne, cette fois-ci aux frais des travailleurs français.

D’ailleurs si ces juifs tenaient à ces œuvres, ils n’auraient pas pris un chèque en lieu et place de l’œuvre comme c’est le cas à Brive.

Nous sommes face à une grave menace pour le patrimoine français. Ces cochons de juifs ont déjà des listes gigantesques d’œuvres d’art européennes qu’ils veulent voler avec l’aide du gouvernement français et de sa police.

Les juifs ne comptent pas rester beaucoup plus longtemps en France. Avant de fuir pour Tel Aviv ou New York, ils entendent charger des avions entiers d’œuvres volées dans les musées de France et d’Europe. C’est ce que prévoit la future loi de Macron : faire racheter par la France toutes les œuvres que convoitent les juifs en Europe pour ensuite les leur donner.

Si personne n’arrête ces rats, les dégâts seront immenses.

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