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La rédaction
Démocratie Participative
04 septembre 2022
Enfin une bonne nouvelle, la Kpop – une version coréenne en plastique de la musique négroïde américaine – va disparaître.
En 2021, cette démocratie capitaliste pro-ZOG ne produit plus que 20% des naissances qu’elle connaissait dans les années 80.
Cela n’a bien évidemment rien à voir avec le féminisme d’état, le salariat et « l’éducation » des femmes, ni la société de consommation ultra-individualiste qui sollicite les femmes pour acheter des conneries inutiles, à commencer par un physique.
Avec actuellement 0,81 enfant par femme, la Corée-du-Sud se dirige vers 0,70 enfant par femme d’ici 2024.
Dans un système capitaliste de consommation, tout est centré sur l’expansion quantitative de la demande et de l’offre. Sans consommateurs, la demande et l’offre s’écroulent, ce qui entraîne la défaillance générale du modèle. Une masse croissante de vieux doit être nourrie, privant les nouvelles générations des ressources qui leur sont nécessaires pour se perpétuer.
C’est là que les démocraties capitalistes font appel à l’immigration de masse pour continuer à consommer.
Elle est déjà de 2,5 millions en 2019, contre virtuellement nulle il y a 30 ans, et atteindra les niveaux occidentaux d’ici quelques décennies.
Les médias sud-coréens à la botte des ploutocrates locaux appellent déjà à organiser l’immigration de remplacement.
Après un siècle, l’expérience démocratique capitaliste en Corée-du-Sud se terminera par un pays débarrassé de ses autochtones, remplacés par un agrégat de créatures venues du tiers-monde pour remplir les poches des oligarques et permettre aux femmes de détruire la société.
Du côté des retombées positives, la Kpop cessera d’envahir le monde.
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