Le maire écolo-terroriste de Lyon veut abolir le Tour de France « polluant et machiste »

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 septembre 2020

Grégory Doucet est le maire écolo-terroriste de Lyon

Dans les années 80, quand les gens essayaient d’anticiper ce que serait le XXIe siècle, les projections tournaient autour des cyborgs, de la conquête de l’espace, des hologrammes et des voitures volantes.

La France a fait un choix beaucoup plus audacieux. Elle a choisi la kébabisation, la surveillance sanitaire de masse et prochainement un Tour de France LGBT éco-responsable.

C’est le cap qu’a fixé le nouveau maire de Lyon, Grégory Doucet dans un entretien téléphonique bizarre avec la journaliste d’origine irakienne Apolline de Malherbe.

Cet entretien est malaisant. Le type joue le provocateur vaseux qui vous laisse deviner si ce qu’il dit est du lard ou du cochon. C’est typiquement le genre de comportement d’un pervers narcissique homosexuel.

Dans la même minute le mec déclare que le Tour de France à vélo est « polluant » – c’est-à-dire que faire du vélo est polluant – puis qu’il faut un double de cette compétition cycliste pour que l’on regarde des personnes avec un vagin faire du vélo.

Une fois le Tour féminin mis en place, il demandera un handi-Tour de France. Et puis ensuite un Tour gay et dans un futur plus ou moins proche, un Tour pour les racisé-e-s en non-mixité. A terme, cela représentera 7 ou 8 Tours différents.

Cette nouvelle génération d’écolo-gauchistes veut clairement chier dans les chocapics de tout le monde, sans restriction. Ces urbanoïdes androgynes veulent bouffer l’oxygène des gens normaux et détruire méthodiquement les derniers espaces de liberté qu’ils avaient. Il leur suffit d’invoquer l’Apocalypse climatique pour justifier n’importe quelle mesure de terreur qui, en temps normal, entraînerait à coup sûr des violences de rue. Puisque l’imposture du réchauffement climatique est devenu un des dogmes majeurs des démocraties occidentales, personne ne peut plus tenir tête à ces extrémistes.

La cause profonde de ces attaques de la part des écolo-gauchistes contre le Tour de France, c’est qu’il met en scène la France comme une totalité organique héritée du passé. Un prolétaire rural qui ne comprend rien au vélo peut quand même regarder le Tour de France pour découvrir la France depuis le ciel et faire voir à ses compatriotes, une fois ou deux dans sa vie, son coin de campagne grâce à la télévision. Cela lui donne l’impression d’encore exister dans un pays qui est privatisé à l’année par les juifs, les bobos et les immigrés de banlieue.

Par défaut, le Tour est donc devenu une relique pétainiste pour les post-modernistes radicaux.

Le problème du Tour, c’est que son message national implicite contredit le sécessionnisme de la bourgeoisie globalisée des grandes métropoles. Ces gens-là ne veulent rien savoir de l’arrière-pays et encore moins de ses habitants. Le concept même de nation, de par la solidarité qu’il induit vis-à-vis des quelques 20 millions de petits Blancs vivant en dehors des métropoles, leur est devenu intolérable parce qu’il suppose d’évoluer avec le populo blanc qu’ils haïssent.

Par contre, proposez le départ du Tour d’Afrique au maire de Lyon, et vous le verrez monter les stands en personne.

Le point central de tout ça est évident : si vous êtes un Français de race blanche issu du peuple qui ne vit pas dans un des 10 principaux centres urbains du pays, votre culture doit être éradiquée et les écolo-communistes menés par Grégory Doucet ou Yannick Jadot veulent prendre la tête de cette révolution culturelle néo-maoïste antiblanche.

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