Le légionnaire exterminateur de dealers crouilles de la Gare du Nord acquitté par des juges nostalgiques du IIIème Reich

Heinrich
Démocratie Participative
21 juin 2019

Putain, je suis content.

Le légio est sorti libre et le sale rat est raide mort.

Le Figaro :

L’ancien militaire était accusé d’avoir poignardé un dealer qui l’avait agressé en 2014. La cour d’assises a reconnu que l’agresseur s’était infligé lui-même les blessures qui lui furent fatales.

Le verdict est tombé ce vendredi. Le légionnaire qui avait tué son agresseur en mai 2014 a été acquitté par la cour d’assises. L’ancien soldat, qui a quitté l’armée il y a plus d’un an, était poursuivi pour «violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner».

«On ne crie pas victoire, déclare au Figaro Me Henri de Beauregard. On ne se réjouit pas quand il est question de la mort d’un homme».

Si, on se réjouit quand un crouille est saigné et que sa famille va souffrir pour des décennies.

Un bougne de moins, ça fait du bien.

Mais l’avocat, qui assurait avec Me Matthieu Brochier la défense du prévenu , fait état du soulagement de son client. «Il est content, continue Me de Beauregard. Parce qu’il est acquitté bien sûr, mais aussi parce que cela signifie qu’il a été cru.»

Au cœur du procès se posait la question de la mesure de la défense du soldat, accusé d’avoir poignardé à la cuisse son agresseur et de lui avoir tranché l’artère fémorale. Les juges ont cherché à savoir si oui ou non, l’ancien soldat avait porté des coups de couteau.

Au cours de la rixe qui l’avait opposé à un dealer gare du Nord qui lui proposait de la drogue, le légionnaire avait arraché l’arme de son agresseur. Le dealer s’était finalement effondré alors qu’il prenait la fuite pour décéder quelques heures plus tard à l’hôpital des suites de blessures infligées par le couteau. Le légionnaire se défendait d’avoir porté des coups, il soutenait que l’agresseur s’était empalé lui-même, en lui assénant des coups de genoux. Cette version a finalement été acceptée par le tribunal qui a reconnu l’absence de coup, et l’innocence de fait de l’ancien militaire.

Sollicité par le Figaro, l‘accusation n’a pas souhaité répondre. Il reste dix jours au parquet général pour faire appel de cette décision.

Repose en enfer, crouille.

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