Le leader de l’opposition identitaire au parlement slovaque condamné à 4 ans de prison pour avoir donné 3 chèques de 1488 euros à des familles blanches nombreuses

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 octobre 2020

Marian Kotleba est persécuté par le pouvoir juif pour avoir défendu les familles slovaques

Si vous aviez quelques idées reçues sur la préservation de l’Europe centrale ou orientale des méfaits de l’influence juive, voilà qui devrait vous faire réfléchir.

Le Figaro :

Un tribunal slovaque a condamné lundi un député d’extrême droite à quatre ans et quatre mois de prison pour promotion d’un mouvement extrémiste, lui reprochant d’avoir fait usage d’un symbole néonazi. Marian Kotleba, chef de la formation d’extrême droite, Parti populaire – Notre Slovaquie (LSNS), élu au Parlement, était accusé d’avoir fait la promotion d’un «mouvement visant à supprimer les droits et libertés fondamentaux», selon le parquet.

Lors d’un événement caritatif organisé en 2017 par LSNS dans une école de Banska Bystrica (centre), M. Kotleba avait ainsi remis à trois familles, et devant 400 invités, des chèques d’un montant de 1488 euros chacun. Or ce chiffre est considéré comme un symbole néonazi, le numéro 14 représentant un slogan de 14 mots du célèbre suprématiste blanc David Lane, combiné avec 88 symbolisant la huitième lettre de l’alphabet H, pour le salut nazi «Heil Hitler».

Quatre ans de prison pour le chiffre du montant d’un chèque donné à trois familles slovaques nombreuses.

C’est de la terreur politique pure.

Je peux dire avec une absolue certitude que les tribunaux de la Tchécoslovaquie communiste auraient fait preuve de moins de sévérité que ce tribunal démocratique.

Quant à ces 14 mots dont il est question – « Nous devons préserver l’existence de notre peuple et l’avenir des enfants blancs » – qu’ont-ils de particulier ? Est-ce qu’un seul gouvernement européen ferait emprisonner un musulman qui dirait « Nous devons préserver l’existence de notre peuple et l’avenir des enfants musulmans » ou un juif qui dirait « Nous devons préserver l’existence de notre peuple et l’avenir des enfants juifs » ?

Est-ce que vous imaginez un instant la Chine – que les médias juifs présentent comme une dictature infernale – traîner devant un tribunal un élu chinois pour avoir encouragé des familles chinoises à avoir des enfants ?

La réponse est évidente.

Ce procès de terreur porte un seul message : les peuples blancs d’Europe n’ont pas le droit d’avoir une descendance. Toute manifestation publique en faveur de la natalité blanche entraînera la répression la plus sauvage de la part des démocraties juives.

En revanche, 24 heures sur 24, la destruction biologique des Blancs est promue dans toutes les démocraties juives.

Sans parler des centaines de milliards d’euros que les démocraties déversent sur la vermine allogène qui nous envahit pour proliférer sur nos terres.

Cette condamnation est une déclaration politique génocidaire. Tous ceux qui s’opposent comme Kotleba au génocide de la race blanche en aidant financièrement les familles de souche européenne sont perfidement accusés « d’extrémisme » par les partisans déclarés du génocide des Blancs en Europe.

Imaginez si le gouvernement polonais avait condamné à 4 ans de prison un député communiste pour avoir affiché une faucille et un marteau lors d’une tombola. L’Union Européenne et l’ONU seraient déjà en train d’étudier des plans de sanctions économiques. La presse occidentale serait déchaînée.

Ici, le journal Le Figaro du trafiquant d’armes juif Bloch-Dassault se félicite publiquement de cette condamnation et à son image, tous les médias juifs qui parlent de ce scandale.

M. Kotleba, 43 ans, a clamé son innocence. «Je ne suis pas au courant d’avoir commis un crime», a-t-il notamment dit dans son plaidoyer final qui a duré près de huit heures. Selon les médias locaux, l’accusé a fait appel auprès de la Cour suprême. Si cette dernière approuvait le verdict du tribunal pénal spécialisé de Pezinok (ouest), M. Kotleba perdrait également son mandat, selon la constitution slovaque.

Marian Kotleba, un ancien gouverneur régional de Banska Bystrica est connu pour avoir conduit des marches avec des membres de son parti portant des uniformes néonazis. Il a été accusé d’avoir proféré des discours de haine, sans jamais être condamné. Cet ancien professeur de lycée, arborant une moustache, affiche ouvertement son hostilité à l’égard de la minorité Rom, et s’est souvent montré nostalgique du régime du prélat Jozef Tiso, qui était allié à l’Allemagne nazie.

En 2018, la Cour suprême a décidé de ne pas interdire, à la demande du parquet général, le parti de M. Kotleba. Entré pour la première fois au Parlement en 2016, LSNS détient 17 sièges sur un total de 150 au Parlement slovaque. «Ce verdict est une percée», a déclaré à l’AFP, Aneta Vilagi une analyste de l’Université de Bratislava après le verdict. «C’est la toute première fois qu’un tribunal slovaque condamne une personnalité publique aussi connue et engagée politiquement pour extrémisme», a-t-elle déclaré. «LSNS a toujours affirmé qu’ils n’étaient en aucun cas des extrémistes et qu’ils ne peuvent être condamnés pour extrémisme. Ce verdict leur a donné tort».

L’impudence de cette garce à la solde du pouvoir.

S’il y a quelque chose qui relève de l’extrémisme, ce n’est pas de choisir librement le montant d’un chèque mais de jeter en prison pour des années un parlementaire d’opposition pour avoir choisi librement le montant d’un chèque.

Que va faire cette démocratie slovaque ensuite ? Interdire l’usage des chiffres 14 et 88 ?

En réalité, il s’agit ni plus ni moins que de détruire l’opposition nationaliste en Slovaquie. Ce pays est tenu d’une main de fer par une véritable mafia qui n’hésite pas à faire assassiner tous ceux qui ne se soumettent pas servilement aux ploutocrates qui pillent le pays avec l’aide de la juiverie internationale.

Le LSNS a remporté 8% des suffrages lors des élections législatives du printemps dernier et le leader Marian Kotleba intimide de plus en plus la clique au pouvoir.

Marian est un brave homme. Même en ne comprenant pas le slovaque, tout le monde constate que c’est un homme droit.

Si l’on ajoute cette vague répressive en Slovaquie au procès terroriste d’Aube Dorée en Grèce et à l’emprisonnement d’Hervé Ryssen en France, nous constatons que le pouvoir juif international a donné des consignes à ses branches administratives dans les pays d’Europe occupée pour passer à la vitesse supérieure contre les mouvements de libération nationale.

Nous sommes tous face au même système, peu importe le pays d’Europe. Une même hydre se cache dans l’ombre pour détruire notre continent.

C’est parce que le juif ne peut plus se cacher qu’il doit finalement avouer son projet et terroriser les opposants. La juiverie est si inquiète qu’elle mobilise toutes ses ressources contre eux, même quand ils sont encore très minoritaires.

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