Le juif partisan du vivre ensemble Chalom Lévy meurt après avoir été poignardé par un couteau de la paix musulman

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 décembre 2019

Le juif goûte avec amertume le poison qu’il a répandu avec constance dans les veines de tant de familles françaises.

Et le moins que l’on puisse dire c’est que les dieux sont espiègles.

DNA :

Alors qu’il s’apprêtait à rentrer chez lui entre l’avenue des Vosges et le quai Finkmatt à Strasbourg, Shalom Levy avait reçu un coup de couteau le 19 août 2016. La lame de trente centimètres avait touché un rein et le foie.

« Il ne s’en est jamais bien remis, ni physiquement, ni psychologiquement. C’était pourtant un homme solide, boucher de profession, qui venait tout juste de prendre sa retraite », précise Me Raphaël Nisand. Son client avait réussi à s’échapper alors que son agresseur tentait de le frapper une seconde fois.

Un boucher juif.

Je pose une seule question : combien d’enfants chrétiens de race blanche a-t-il rituellement assassiné pour la Pâques juive ?

L’individu, qui présentait des antécédents psychiatriques, s’en était déjà pris à un membre de la communauté israélite en 2010 au centre de Strasbourg. Armé d’un couteau et d’une barre de fer, il avait légèrement blessé le quadragénaire. Déclaré, irresponsable pénalement, l’agresseur n’avait pas été jugé pour ce premier fait.

Après l’agression de Chalom Levy, l’individu, que plusieurs témoins avaient entendu crier « Allahou akbar », a été mis en examen par un juge d’instruction et a passé dix-huit mois en détention provisoire. Pendant cette procédure pénale, il a été soumis à des expertises psychiatriques qui ont, une nouvelle fois, conclu à son irresponsabilité pénale. Il a pu sortir de la maison d’arrêt.

« Voilà un homme qui en est à son deuxième juif poignardé à Strasbourg. Qu’est-ce que la justice a à nous dire par rapport à ça ? » interroge Me Nisand regrettant « qu’on perde toute traçabilité de l’individu à partir du moment où il est déclaré irresponsable pénalement et qu’il sort de détention ».

En outre, l’avocat demande « un changement de la loi » pour que « l’irresponsabilité pénale ne puisse pas jouer pour quelqu’un qui allègue des motifs terroristes ou racistes. Le terroriste qui agresse, il sait ce qu’il fait. Même s’il a un petit vélo dans la tête », estime l’homme de loi.

Ha !

Les juifs…

« Il est fou mais il ne l’est pas si la victime est juive ».

La soif de privilèges raciaux du peuple élu est sans limite.

Chalom Levy est décédé à la veille d’un rassemblement silencieux, prévu ce lundi à 18 h devant le palais de justice de Strasbourg pour rendre hommage à Sarah Halimi, une retraitée de confession juive, tuée puis défenestrée de son appartement parisien par son voisin le 4 avril 2017.

Coïncidence, le 19 décembre dernier, la cour d’appel de Paris a aussi déclaré l’irresponsabilité pénale de son agresseur. Les experts psychiatres ayant conclu qu’il était en proie à « une bouffée délirante aiguë » au moment des faits.

Sans ces juifs, il n’y aurait jamais eu d’invasion islamique de l’Europe, ce que ces bouches menteuses omettent soigneusement de rappeler.

Quand le sang français coulait sous les couteaux musulmans dans les années 80, les juifs se déchaînaient médiatiquement pour exciter les maghrébins contre les autochtones.

 

Tant que des familles blanches étaient visées, le juif souriait cyniquement dans l’ombre. A présent qu’il perd son sang lui aussi, il ne sait plus comment faire pour contraindre ces mêmes Blancs à prendre les coups de lame à sa place.

Le juif peut pleurer, c’est inutile.