Le juif Hazanavicius appelle à envoyer les Français en Ukraine pour assurer la victoire des juifs contre Poutine

La rédaction
Démocratie Participative
11 février 2023

 

La guerre contre la Russie est une guerre dont la dimension juive est d’une limpidité rare. Il faut remonter à la Deuxième Guerre Mondiale pour trouver un équivalent, et encore, les juifs étaient probablement moins visibles, plus pudiques, à l’époque, si l’on tient compte du fait qu’ils contrôlent encore plus spectaculairement les démocraties occidentales qu’en 1939.

Il n’est plus question de tergiverser, ni d’utiliser de formules évasives. Les médias juifs affirment sans détour que la guerre contre la Russie est déclarée – vraiment, irrémédiablement – et appellent au bain de sang par tous les canaux à leur disposition. Soit 99% de ce qui peut émettre un son, une image.

Nous sommes dans une situation où même un réalisateur juif comme Hazanavicius a un avis autorisé sur la nécessité de détruire la Russie, de mener les bataillons de goyim à l’abattoir pour la guerre des juifs à Poutine, c’est-à-dire, au dernier carré slave de l’Europe aryenne qui échappe à la dictature juive absolue.

Il ne veut pas que des armes, Hosanavicieux, il veut que les goyim de France soient expédiés au front et fissa.

La nouvelle qu’apporte ce juif aux goyim, c’est qu’effectivement les Français seront expédiés au front.

Pas en métaphore, en train.

C’est l’heure, goy, l’heure de mourir pour tes maîtres de droit divin, pour ta patrie juive à laquelle tu tiens tant

Les armées occidentales ne sont pas conçues pour une guerre conventionnelle, ce type de guerre n’était plus considéré comme plausible après la chute de l’Union Soviétique. Ce sont des armées de professionnels pensées dans les années 90 pour mener des opérations limitées dans des pays du tiers-monde avec des gadgets technologiques. Leur taille ne leur permet pas d’affronter la Russie.

L’armée de terre britannique n’a plus que 75,000 hommes à déployer et l’ensemble des forces armées du Royaume-Uni compte 144,000 hommes.

La France s’en sort à peine mieux avec une armée de terre de 130,000 hommes et des forces armées totalisant 200,000 hommes de troupes régulières. Elle n’a que 250 chars, dont la moitié fonctionne.

L’Allemagne quant à elle n’a pas véritablement d’armée. Son armée de terre compte 64,000 hommes.

Les trois principales armées de terre d’Europe ne pèsent ensemble que 270,000 hommes.

Les démocraties n’ont pas le temps de recruter des volontaires pour les former, il faut en saisir de force. Il va donc falloir rétablir la conscription pour pouvoir jeter de la viande sous les mitrailleuses russes en temps et en heure.

Ce sera comme en 1914, dans des tranchées gelées, sous des obus.

La belle guerre démocratique que voilà.

Ce n’est qu’une question de temps.

Il faut simplement annoncer la chose aux heureux gagnants.

N’est-ce pas que le système de surveillance covidiste permettrait, avec l’aide de quelques spécialistes juifs, de savoir qui doit être mobilisé, où et quand, de bien relever les noms et de géolocaliser les paquets de viande exigés par Zelensky, de soigneusement épargner les métèques de banlieue – déjà dispensés de confinement – et d’expédier la franscaille aryenne en caserne ?

De l’égalité républicaine en préparation.

Du point de vue des juifs, il y a encore trop de jeunes Blancs en Europe. Si près du but, avec la natalité écroulée des pays blancs, il ne faudrait pas un retournement révolutionnaire, une erreur. Assurer la victoire des juifs en Ukraine et en Russie, dans le monde, tout en exterminant les derniers éléments racialement potables d’Europe dans un conflit génocidaire contre la Russie slave, faire d’une pierre deux coups en somme, n’est-ce pas le plus délicat rêve de tout juif qui se respecte ?

Ils en suent d’impatience.

Vous allez voir si Glucksmann ne va pas hurler à la mobilisation de chaque village français pour sauver l’Ukraine démocratique menacée. Il sera tout en Sambre-et-Meuse, l’antimilitariste yid, jusqu’à Moscou, jusqu’à Vladivostok.

Ça va saigner à gros bouillon.

Bien entendu les juifs, ces poètes, seront très en arrière du front, sur leur Aventin, à faire de la prose, à placer leurs capitaux.

Deux ans, pas une année de plus, c’est très probablement le temps qu’il reste aux derniers gens lucides pour échapper à l’abattoir en s’évaporant à temps dans la nature.

Les gendarmes seront très empressés de se montrer utiles aux juifs en raflant les traînards, les manquants-d’élan, pour mieux eux-mêmes se dispenser du carnage. Regardez-les bien, les bleus, ils ont déjà leurs consignes secrètes pour préparer tout ça aux oignons.

Vous serez les derniers informés des festivités, comme la dinde de Noël.

Commentez l’article sur EELB.su