Hongrie : le juif Bernard-Henri Lévy rencontre Orban pour fixer les conditions de sa capitulation arrêtées par la finance juive internationale

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 avril 2019

Après avoir adoubé le futur président de l’Ukraine en la personne du juif Zelenskiy, Bernard-Henri Lévy était en Hongrie pour signifier à Orbàn les conditions d’une capitulation lui permettant d’échapper au (((Tribunal Pénal International))).

Le Règle du Jeu :

BHL a accepté une rencontre privée avec le Premier ministre hongrois ce lundi 8 avril. Cette conversation a duré deux heures et demi dans les bureaux du Premier Ministre. Difficile d’imaginer deux points de vue plus dissemblables quant à l’avenir du continent. Pour le philosophe français – qui a récemment échangé des mots acerbes sur Twitter avec Matteo Salvini – la tournée de sa pièce a précisément pour but de défendre une Europe ouverte, libérale, démocrate, bâtie autour de valeurs universelles, contre les populistes et le repli identitaire. M. Orban, lui, est dans un conflit ancien mais exacerbé avec les différentes institutions européennes. Depuis la fin 2011 la pratique du pouvoir d’Orban est critiquée par les observateurs, pour, entre autres, sa volonté d’étouffer les contre-pouvoirs et spécialement le système judiciaire, pour son traitement inhumain des migrants, et ses atteintes graves à la liberté académique comme médiatique.

Aucun « philosophe » ne rencontre un chef de gouvernement pendant 2h30 dans ses bureaux.

Seul un ambassadeur peut le faire.

Et c’est exactement ce qu’est BHL : l’ambassadeur de la juiverie internationale.

Voulant «empoigner les cornes du taureau» selon les mots de Michel Leiris, BHL a fait le pari de la pédagogie, au cours d’une conversation serrée, et de l’éthique d’une discussion franche, parfois abrupte, avec le Premier ministre hongrois, sur le thème de ce que Lévy considère être une trahison cynique, vaine, et néfaste, de ses propres idéaux par Orban. Le philosophe a pointé les contradictions de Viktor Orban – ancien dissident devenu autocrate et anti-européen, héraut supposé du «peuple» et du «souverainisme» mais asservi à Poutine.

Ainsi la rencontre avec Viktor Orban a été l’occasion pour Bernard-Henri Lévy de se faire le messager des exaspérations, de l’indignation, du désespoir parfois, de ces acteurs engagés en faveur des minorités et de la démocratie. Fidèle en cela à une longue carrière de promotion des Droits de l’Homme, le «Nouveau Philosophe» a pu étayer son débat critique avec le chantre de la démocratie «illibérale» par l’évocation des atteintes à l’État de droit perpétrées par le gouvernement hongrois.

En d’autres termes, Bernard-Henri Lévy est venu notifier à Orbán l’exaspération juive, notamment celle de financiers comme Soros.

La finance juive internationale offre un ultime choix à Orbán. Il peut en ressortir plus magnifié que jamais par la presse juive ou, s’il décline, se voir proposer le suicide par cyanure ou le TPI.

L’objet de cette négociation lourde de menaces c’est, après les élections européennes, le camp pour lequel optera Orbán.

Salvini veut se faire couronner empereur des droites populistes d’Europe en forgeant une coalition nouvelle au parlement européen. Apparemment, il aurait déjà assemblé autour de la Ligue une dizaine de partis.

A Milan, il avait à ses côtés les populistes danois, finlandais et allemands.

D’autres devraient le rejoindre bientôt.

Le FPÖ autrichien devrait y participer.

Les Flamands du Vlaams Belang (Belgique) également.

A la différence de l’Alcoolo-tabagique, Salvini fait réellement de la politique.

Selon toute vraisemblance, sa campagne européenne vise en réalité à préparer sa conquête du pouvoir en Italie. Une fois au pouvoir en Italie, il engagera son pays hors de l’Eurozone avec les effets systémiques que cela sous-entend.

Pour cela, il lui faudra un soutien continental.

Pour la finance juive, cette menace est très sérieuse. Si d’autres chefs de gouvernement rejoignent Salvini, les populistes ne seront plus seulement des « agitateurs » mais bel et bien des forces à la tête d’états entiers.

Si la Hongrie devait rejoindre Salvini, les populistes étendraient leur influence au coeur de l’Europe avec, très probablement, un effet domino. Notamment en Pologne.

Le problème d’Orbán, c’est qu’à la différence de l’Italie, son économie est intégralement dépendante de l’Allemagne. Sortir de l’Eurozone lui est impossible, sans parler de l’arrêt des aides financières européennes.

Donc, Orbán doit choisir entre d’une part capituler devant la finance juive et se prosterner aux pieds de Soros. Auquel cas il devra livrer la Hongrie à la diversité africaine et djihadiste. Ou, alors, d’autre part, il devra accepter de subir un embargo économique qui plongera rapidement son pays en récession.

C’est ce qu’est venu lui expliquer Bernard-Henri Lévy juste après avoir adoubé le juif Zelenskiy comme nouveau maître de l’Ukraine.

C’est un peu comme une visite de Saroumane, en somme.

Quand les juifs veulent votre peau, c’est ce qu’ils font : ils vous étouffent financièrement en dressant des pays entiers contre vous tout en finançant votre opposition intérieure.

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