Le journal juif Le Monde admet que Peter Daszak, l’homme de Bill Gates, a créé le Covid19

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 avril 2022

Nous y voilà.

Il y a 8 mois, nous avons dit l’essentiel à propos de l’origine du Covid19, à savoir qu’il s’agit d’un programme d’armement biologique financé par Bill Gates avec l’aide de deux hommes : Ralph Baric, un universitaire américain associé à l’unité de guerre biologique de l’US Army de Fort Detrick, et un Britannique d’origine ukrainienne, Peter Daszak.

Lié à Bill Gates, le scientifique de l’OMS qui enquêtait sur l’origine du Covid pilotait à Wuhan un programme de modification des coronavirus capable de tuer 30% de la population mondiale

La stratégie était de déclencher une pandémie globale tout en pouvant nier avec un certain degré de crédibilité en être à l’origine.

Le plan originel de Daszak était de modifier des coronavirus en laboratoire puis de les disséminer dans des populations de chauve-souris dans la région de Wuhan afin qu’elles infectent des civils chinois. La piste animale devait ensuite être vendue aux masses occidentales.

Par la suite, la piste de la contamination par des chauve-souris a été abandonnée et une fuite intentionnelle a été montée dans le laboratoire de Wuhan, l’unité de recherche créée par le juif Yves Lévy. Le but était de pouvoir accuser la Chine dans les médias occidentaux en vue de la phase suivante du Great Reset qui suppose une guerre économique puis militaire contre la Russie et la Chine.

En parallèle, des variants créés en laboratoire ont été disséminés sur plusieurs continents simultanément afin que la vaccination ne puisse pas venir à bout du virus. Le but étant de forcer les états à basculer dans la vaccination permanente voulue par Bill Gates, Albert Bourla, etc.

Après plus de deux ans de désinformation active, la presse juive fait quelques concessions de pure forme pour se dédouaner face aux inévitables faits qui s’accumulent. Le journal juif Le Monde a publié un article sur la question, essentiellement pour pouvoir dire ultérieurement qu’ils mentaient honnêtement.

Le Monde, mars 2020 :

Le Monde, avril 2022 :

Cet article n’en demeure pas moins la preuve que la version officielle est devenue intenable.

Le Monde :

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, une ONG américaine, l’alliance EcoHealth, et le zoologue britannique qui la préside, Peter Daszak, chantre de la stratégie « One Health », sont sous les feux des critiques. Vouée à la recherche sur la prévention des épidémies, cette ONG a collaboré activement avec l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine – là où semble avoir démarré la pandémie.

Cette collaboration implique aussi les Instituts américains de la santé (NIH). En 2014, ils ont accordé une subvention de 3,7 millions de dollars à EcoHealth pour un projet, « Comprendre le risque d’émergence des coronavirus de chauve-souris », visant à dépister la présence de ces virus chez des chauves-souris sauvages ou captives en Chine, à analyser en laboratoire leurs séquences génomiques et à évaluer leur risque d’infecter les humains.

L’Institut de virologie de Wuhan était un acteur-clé de ce projet, mais « les travaux menés là-bas ont été suffisamment controversés pour que les NIH suspendent leur subvention en juillet 2020 », rappelle la revue Vanity Fair dans une récente enquête sur Peter Daszak. Il semblerait, en effet, que cette subvention ait notamment servi à construire deux coronavirus « chimériques » (c’est-à-dire combinant des fragments de différents virus) similaires à celui qui provoque le SARS-1. Or cette maladie respiratoire, apparue en 2002, est d’une grande sévérité : l’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que son taux de létalité est de 15 % et peut dépasser 50 % chez les plus de 65 ans.

Cet institut de Wuhan, par ailleurs, aurait-il mené des expériences de « gain de fonction » sur des coronavirus, susceptibles d’aggraver leur pathogénicité ? Peter Daszak le nie, mais il s’était réjoui en 2016 que la levée d’un moratoire précédemment institué par les NIH sur ce type de collaboration permette de reprendre « le financement des recherches sur le gain de fonction », dans un mail obtenu par Vanity Fair.

Le rôle équivoque de ce chercheur ne s’arrête pas là : le 19 février 2020, il a coordonné la publication d’une lettre dans la revue médicale The Lancet. Cette lettre présentait l’hypothèse de la fuite du virus d’un laboratoire comme une théorie du complot et suggérait l’existence d’un consensus scientifique en faveur d’une origine naturelle de la pandémie – sans mentionner ses conflits d’intérêt.

D’autres interrogations sont apparues. D’où est venu le revirement soudain, au printemps 2020, d’au moins trois scientifiques de renom, Kristian Andersen, du Scripps Research Institute (La Jolla, Californie), Edward Holmes, de l’université de Sydney (Australie), et Robert Garry, de l’université Tulane (La Nouvelle-Orléans, Louisiane) ? Ils avaient jugé la séquence génétique du SARS-CoV-2 « incompatible avec les attentes de la théorie de l’évolution », donc avec une origine naturelle, lors d’un échange de courriels, en février-mars 2020, avec Anthony Fauci, actuel conseiller médical en chef du président des Etats-Unis et directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) américain. Pourtant, tous trois cosignaient, le 17 mars 2020, une lettre dans la revue Nature Medicine où ils soutenaient l’hypothèse opposée : « Nous ne pensons pas qu’un scénario de laboratoire soit plausible », écrivaient-ils.

Quand le professeur Montagnier avait très tôt annoncé que le Covid19 avait été manipulé en laboratoire et qu’il comportait des éléments du virus du SIDA, les juifs avaient explicitement appelé à le faire taire.

Le juif Sebbag en tête.

L’article du Monde se limite à charger Daszak, car son cas est désespéré.

Il avait sollicité des fonds auprès de l’armée américaine en vue de créer des super coronavirus capables de tuer jusqu’à 50% des populations ciblées.

L’idée est de limiter les responsabilités pour présenter le type comme une sorte de savant-fou isolé.

Le grand absent, c’est Bill Gates qui a financé Eco Health Alliance, l’ONG de Daszak.

Ensuite, nous avons les laboratoires de guerre biologique en Ukraine dont le financement a été partiellement assuré par le fils Biden.

Ces laboratoires servent à disséminer des souches virales, généralement grâce à des populations d’oiseaux migrateurs. Ces virus peuvent cibler des groupes ethniques ou des individus, pour peu que l’on dispose de l’ADN de la personne à tuer.

Les Chinois savent exactement ce qui s’est passé et qu’ils sont la cible de cette guerre hybride.

Les États-Unis ont sous leur contrôle 336 laboratoires dans 30 pays, dont 26 rien qu’en Ukraine. Ils devraient rendre compte de l’ensemble de leurs activités biologiques militaires sur leur territoire et à l’étranger et se soumettre à une vérification multilatérale.

Les scènes que l’on voit actuellement à Shanghaï n’ont rien à voir avec une folie covidiste locale.

Le gouvernement chinois connaît exactement l’arsenal biologique à la disposition des équipes de Bill Gates et de Joe Biden. Les Chinois bouclent tout parce qu’ils ne savent pas quelle souche militaire sera utilisée, une souche avec un taux de létalité de 1% ou avec un taux de 30%.

Dans le doute, il faut donc confiner militairement avant de découvrir la nature de l’attaque.

Ces attaques hybrides visent à détruire les chaînes d’approvisionnement entre la Chine et le reste du monde, notamment l’Europe. Shanghaï est l’un des principaux centres d’exportation du monde.

ZOG sait que d’ici 2030, la Chine sera le centre économique et financier du monde. Il ne lui reste que la guerre d’anéantissement pour tenter, inutilement, de contenir la Chine.

L’autre front, c’est la Russie et son énergie.

Couper l’Europe de l’énergie russe pour la mettre sous la coupe de ZOG est à l’origine du conflit en Ukraine.

La guerre ne restera pas longtemps hybride et deviendra prochainement ouverte. Les USA comptent plonger l’Europe et l’Asie dans un océan de flammes pour que la juiverie bancaire new-yorkaise continue de contrôler les flux financiers mondiaux.

Un des principaux propagandistes de cette guerre juive en Europe est le juif Glucksmann. C’est le juif le plus dangereux d’Europe actuellement, bien plus dangereux que Bernard-Henri Lévy.

Il est à l’intersection des préparations pour la troisième guerre mondiale.

L’histoire ne sera pas tendre avec cet hébreu.

Elle ne le sera pas plus avec Macron, le laquais des juifs qui, s’il est réélu, mènera ce qu’il reste de la France dans une guerre frontale contre la Russie aux côtés de l’OTAN.

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