Le Grand Leader Bolsonaro annonce « la plus grande purge » anticommuniste de l’histoire du Brésil, propose la mort ou l’exil à la pourriture marxiste

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 octobre 2018

Le Très Aimé Leader Jair Bolsonaro a annoncé, devant la face du monde, que l’ère de la terreur rouge touchait à sa fin au Brésil.

Voulant s’imposer comme le chef de la droite alternative internationale, l’héroïque patriote a promis une gigantesque campagne d’élimination des brigands communistes, ces derniers devant être abattus comme les chiens qu’ils sont.

Les Inrocks :

Dans un discours diffusé à des milliers de partisans, le favori pour devenir président du Brésil a promis « une purge comme jamais le Brésil n’en a connue ».

Jusque-là, on l’avait appelé le « Trump tropical », mais les outrances de Jair Bolsonaro outrepassent désormais largement celles du président américain. Le candidat favori pour prendre la tête du Brésil, lors du second tour de l’élection présidentielle, a publié une vidéo ce dimanche sur les réseaux sociaux où il s’en prend violemment aux militants de gauche du pays, les menaçant frontalement en cas de victoire dans les urnes ce weekend. Son discours était retransmis en direct devant des milliers de supporters qui s’étaient donné rendez-vous sur l’une des avenues les plus importantes de Sao Paulo.

Parlant de « gauchistes hors-la-loi », le candidat d’extrême droite a déclaré que ces derniers devraient choisir « entre la prison ou l’exil ». « Ils seront bannis de notre pays. Ce sera une purge comme jamais le Brésil n’en a connue », a-t-il poursuivi. Plus particulièrement, explique le Guardian, il visait le Mouvement des sans-terres (MST), qui demande une meilleure répartition des terres pour les paysans et dont près de 2 000 militants ont été assassinés depuis une trentaine d’années. Cette organisation est « corrompue » a estimé Bolsonaro, qui n’oublie pas non plus d’attaquer le Parti des Travailleurs (PT) de Lula (« un alcoolique ») et de son dernier concurrent pour la présidence, Fernando Haddad. Ensemble, ils devront tous « pourrir en prison ».

« Nous sommes la majorité, poursuit ainsi Bolsonaro. Nous sommes le véritable Brésil. Ensemble avec ce peuple brésilien, nous construiront une nouvelle nation (…) Nous sommes la voix de la liberté… Nous ne voulons pas du socialisme ! »

Les choses sérieuses vont débuter et les marxistes commencent à s’en rendre compte.

Cette presse juive qui avait observé un silence religieux lorsque Bolsonaro a été poignardé presque mortellement par un terroriste rouge feint à présent l’étonnement alors que la facture se rapproche.

Il ne fait pas l’ombre d’un doute que Bolsonaro a toute l’armée brésilienne avec lui et que ces chiens communistes, dès l’annonce de sa victoire, tenteront de semer le chaos dans le pays.

Bolsonaro est loyal avec eux : au premier mouvement d’agitation terroriste, les marxistes seront sauvagement traqués par l’armée et liquidés en tant qu’ennemis de l’Etat.

Bolsonaro sait que la vermine rouge, soutenue par l’axe globaliste juif depuis l’extérieur, presse en tête, le testera dès la première minute de sa présidence. Il doit donc préparer psychologiquement le Brésil à faire face à cette attaque terroriste  de grande ampleur par les bandits rouges.

Avec 60,000 meurtres par an, un réseau de corruption communiste ayant noyauté la totalité du pays, Bolsonaro sait, tout comme l’armée sait, que seules la loi martiale et l’extirpation systématique de cette canaille pourront soulager le pays de dizaines d’années de terreur.

Quand le Grand Leader du Brésil Libre annonce que l’option de l’exil sera laissée à ces bandits, il démontre encore son humanité et sa magnanimité. Car il serait fondé à les faire pendre dans les rues des grandes villes du pays.

Je peux déjà prédire d’énormes commandes de munitions pour les troupes d’élite brésiliennes.

Sans parler des militants de Bolsonaro qui devraient très probablement monter des escadrons de la mort pour aller traquer les ennemis du peuple financés depuis l’étranger.

Je pense que le Brésil est peut-être à la veille de son 30 janvier 1933, dans des circonstances qui lui sont propres.

Bientôt, être un suppôt du judéo-bolchevisme équivaudra à signer son arrêt de mort sur cette terre.