Le gouvernement juif d’occupation veut dissoudre Bastion Social : enseignements à en retirer

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 avril 2018

Quand j’ai vu cette histoire de rixe dérisoire montée en épingle par les gauches, je me suis dit une seule chose : « le gouvernement veut dissoudre le Bastion Social ».

On y est.

Notez bien les éléments de langage utilisés par ce député. Il cite le double meurtre de Arnaud Beltrame et de Mireille Knoll, expliquant au passage que Beltrame est mort pour les métèques et la république juive.

Bien sûr, il se garde bien de dire que ces deux assassinats ont été commis par des arabes. C’est bien évidemment fait à dessein.

Gouvernement d’occupation

Voici la situation : vous avez d’un côté une république juive qui cherche désespérément à protéger l’envahisseur musulman mais qui doit concrètement contenir le fanatisme islamique au quotidien. De l’autre, cette même république juive cherche désespérément à conjurer tout sursaut patriotique des Français de souche mais ne trouve aucune espèce de début d’actions violentes pour légitimer sa répression.

Depuis des années ce gouvernement d’occupation rêve de violences de la part des Français de souche pour établir une équivalence avec le djihadisme et ainsi reprendre sa narration favorite : « les Français sont des ordures, contrairement aux crouilles qui ont au moins l’excuse du déclassement social ».

C’est ce qui arrive quand un régime gouverne le crime et persécute la vertu : le mensonge institutionnalisé devient la norme.

C’est aussi un aveu on ne peut plus limpide : des Français qui aident des Français sont ravalés au rang des djihadistes en guerre contre la France. Et en fait, ces derniers sont rapatriés en France et dûment blanchis au bout de quelques années là où le moindre engagement patriotique est passible de mort sociale définitive.

Nous en sommes là.

Et c’est la manifestation la plus éclatante que ce gouvernement d’occupation est au service de l’étranger et qu’il est déterminé à recourir aux moyens les plus perfides pour se maintenir.

Enfin, rappelons le contexte : les islamistes ont pignon sur rue, ils ont accès au gouvernement et sont de fait intouchables en raison de leur influence. Les Français n’ont, quant à eux, même pas le droit de disposer de locaux pour s’entraider quand la dernière association des Tunisiens du 18ème arrondissement est arrosé de subventions.

La république juive  entre en phase terroriste

Ici, à Démocratie Participative, nous soutenons bien sûr le Bastion Social. Mais une chose est claire : l’époque où la république juive pouvait faire preuve d’une once de magnanimité est révolue.

Maintenant, elle entre dans une phase authentiquement révolutionnaire, comme en 1793 et 1944. Elle pense pouvoir gagner la partie, à condition d’éradiquer, sans aucune forme de procès, toute opposition organisée, même la plus marginale.

Cette phase a vraiment débuté avec l’affaire Méric où l’Oeuvre Française, sans aucun rapport avec les faits, a été dissoute unilatéralement par le serviteur des juifs qu’est Valls. A partir de ce moment-là, nous sommes entrés dans la phase révolutionnaire à proprement parler.

De fait, la liberté d’expression a été supprimée par les juifs. La liberté de réunion également et nous allons le voir avec les attaques contre le Bastion Social qui n’est qu’une association légalement constituée et simplement dotée de locaux.

La république juive est dans une crise systémique et sa chute n’est plus qu’une question de temps. La paranoïa s’empare de son gouvernement qui veut écraser préventivement la moindre expression de résistance identitaire. Elle coupe à l’avance la plus modeste des têtes qui se dresse.

C’est le syndrôme de la tête de pavot appliqué en Chine communiste. C’est une répression ciblée et préventive dont le but est d’éviter de dresser la masse du peuple contre le gouvernement tout en s’assurant qu’aucune contestation ne se forme.

Ce gouvernement juif doit aller jusqu’au bout : la négrification et l’islamisation complète du pays, moyennant quelques conventions du pure forme pour faire croire aux masses françaises que ce processus est parfaitement logique et légitime. C’est pourquoi des villes entières peuvent subir, au quotidien, les pires émeutes raciales ou islamiques, il suffit d’une seule rixe avec la pire vérole anarchiste pour lancer toute la machine étatique contre la résistance nationaliste.

C’est la résistance patriotique qui constitue le plus grand danger pour ce gouvernement juif, pas l’agitation islamique du sous-prolétariat racial. Sans le soutien de la classe moyenne blanche, le gouvernement d’occupation s’effondre. Sans les taxes des travailleurs blancs, il s’effondre.

C’est pourquoi nous et nous seuls sommes véritablement dangereux pour le gouvernement juif.

Non-violence mais changement de méthodologie

Nous devons acter de cette évolution. Il faut basculer dans la clandestinité. D’abord parce que l’on nous y pousse de facto, ensuite parce qu’il faut rendre le travail de suppression du gouvernement d’occupation beaucoup plus difficile.

Il y a fort à parier que la police politique plaidera pour ne surtout pas dissoudre de mouvements, rendant le travail de renseignement beaucoup plus dur. Mais un gouvernement juif est par nature irrationnel et rongé par l’angoisse de son illégitimité. Ces arguments techniques ne le convaincront pas de laisser les nationalistes opérer au grand jour.

Désormais, les nationalistes doivent par principe opter pour un type d’organisation souterrain, localisé et autonome par opposition à un type d’organisation officiel, centralisé et hiérarchisé.

Cela ne signifie pas que les nationalistes seront engagés dans des actions violentes – nous avons dit et répété qu’il fallait éviter toute action de ce genre, à tout prix, conformément à notre ligne non-violente – mais qu’ils ont compris que la notion de légalité a disparu avec la corruption qui prévaut désormais dans les tribunaux et la fuite en avant du gouvernement juif d’occupation.

Nous devons nous départir de l’idée d’officialité bourgeoise qui a encore beaucoup trop de prestige dans nos milieux et qui remonte à une époque révolue. Toute action d’opposition nationaliste et identitaire sera détruite si elle commence à avoir un petit succès, même marginal. Tous les efforts consentis l’auront été en vain.

Il faut donc éviter que ce scénario ne se reproduise sans cesse.

Réseaux intéractifs

Pas d’affichage politique

La meilleure méthode consiste à créer des clubs sans rapport avec la politique : sports, lecture, tir sportif (légal), peu importe. Ces clubs seront des lieux où nos partisans – les nationalistes, tous les courants confondus – se rassembleront, sans fanfare ni trompette.

De cette façon, ils pourront louer des salles, de préférence dans des zones rurales où le Front National fait de très bons scores, gage d’un solide socle dans la population. Et d’une manière générale, opérer en milieu favorable.

Les activités n’ont même pas besoin d’être politiques en elles-mêmes dans un premier temps : barbecue, randonnée, concert, peu importe. En revanche, il faut éviter tous les lieux publics et très singulièrement les bars où la police politique dispose de mouchards en la personne des tenanciers.

N’oubliez jamais : quand vous parlez dans un bar, vous êtes écoutés.

De la même façon, évitez les discords ou les forums pour ne rien dire des pages Facebook.

Passer par Telegram ou Signal, voire Ricochet, entre vous. Telegram peut être décrypté, mais pas facilement. C’est un plus pour répondre à un point de détail sans importance majeure.

Oublier bien sûr toute discussion élaborée au téléphone et même les RDV.

Pour fixer des RDV : un mot écrit à la main et signé dans la boîte aux lettres suffisamment de temps à l’avance.

Organisation de réseaux intéractifs locaux

Idéalement, il faut agir sur un territoire doté d’une identité historique qui permette de coaguler des individus dans un même espace temps mental. Disons, par exemple, la Bourgogne ou l’Alsace.

Vous avez des clubs dans ces régions et vous avez également un ou plusieurs sites d’information pour ces régions mais qui peuvent évoquer l’actualité de façon générale.

Ces sites informent tous les clubs et les habitants sympathisants de ce qui se déroule dans la région.

Le cas échéant, s’il y a une action à faire, elle est menée sous une bannière ad hoc. Par exemple, s’il s’agit d’une implantation de migrants clandestins, la bannière « Non aux migrants clandestins à X ». Vous saisissez l’idée.

Il s’agit donc d’organiser ce que l’on appelle des « réseaux interactifs« . Gardez bien ce nom là en tête.

Quand les sites d’information lancent une opération, en concertation informelle avec les clubs, tout le monde réagit et se mobilise. Et cette mobilisation touche en fait tous les lecteurs potentiels des sites, en plus des membres des clubs. Le réseau lance une initiative et ne sait pas du tout qui va y réagir.

Structure des clubs

Chaque club dispose idéalement de 3 cadres.

Le premier se charge du recrutement et de l’action de terrain.

Le deuxième se charge de la collecte d’informations (renseignement) et de la propagande (sites d’info, un ou deux).

Le troisième de la logistique et de la formation des membres.

Grâce à cette organisation intéractive, décentralisée et non-hiérarchisée, le gouvernement d’occupation juif sera dans l’incapacité de détruire un mouvement insaisissable qui n’a pas de réalité structurée comme on l’entend habituellement.

Donc, créer des clubs sans affichage politique. Recruter par bouche à oreille. Collecter de l’information et la diffuser. Agir à l’échelle d’une région, d’un département ou d’une ville, pas au delà. Maintenir le lien entre tous les partisans et sympathisant de la zone précitée par le biais d’un ou plusieurs sites d’information d’apparence identitaire plutôt modérée et sans liens formels avec les clubs. Agir si nécessaire pour des actions ponctuelles et non-violentes (manifestation, action de soutien à la population, etc.).

Nous devons idéalement nous focaliser sur l’arrière-pays, ce que l’on nomme « la France périphérique ».