Le gouvernement juif d’occupation admet que la résistance antisémite progresse de manière fulgurante

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
24 septembre 2018

Le gouvernement d’occupation l’admet : la lutte contre le judéo-globalisme gagne de plus en plus de soutien. Pour tenter de justifier la répression des opposants, il tente par tous les moyens d’inventer des « agressions antisémites » violentes.

The Times of Israel :

Le combat contre l’antisémitisme est « sans nul doute un combat de toute une génération et de toute la nation. Moi je ne me résigne pas et je ne baisserai pas les bras ».

N’exagérons rien, uniquement le combat de la juiverie et de ses associés dans le crime.

Amer est le constat de Frédéric Potier, le délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT, à l’occasion de l’ouverture du premier musée Alfred Dreyfus en France dans un entretien accordé au Crif.

« Je constate moi aussi que l’antisémitisme progresse partout, en France comme en Europe. Mais il n’y a pas de baguette magique ou de recette miracle contre l’antisémitisme. Ce sont nos efforts conjugués – Etat et associations – qui pourront faire reculer ce fléau. C’est l’engagement de tous les ministères, à commencer par celui de l’Education nationale », explique-t-il.

Effectivement, la tempête populaire contre la tyrannie juive se lève partout, c’est un fait indéniable.

Il est également indéniable que, de l’aveu même de la fiotte Potier, l’Etat Français est intégralement aux mains des juifs qui s’en servent comme d’une arme contre le peuple afin de le maintenir en esclavage.

En France, « l’antisémitisme n’est pas neuf, il est ancien. avait déclaré le Premier ministre Edouard Philippe en décembre, lors d’une convention nationale du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). Il n’est pas superficiel, il est comme enraciné. Mais il est bel et bien vivant et il se dissimule toujours derrière de nouveaux masques ».

Aujourd’hui en France de nombreuses voix dénoncent, aux côtés d’une haine antisémite résiduelle à l’extrême droite, un antisémitisme des quartiers populaires sous l’effet d’un islam identitaire, ainsi qu’un anti-sionisme ambigu à l’extrême-gauche, sur fond d’ « importation » du conflit israélo-palestinien depuis le début des années 2000.

Parce que les juifs n’importent rien en France.

Ils sont neutres.

En fait, ils n’ont aucun rapport, ni de près ni de loin, avec Israël.

Niveau chiffre, en 2017, la tendance était « orientée à la baisse », avait indiqué en janvier à l’AFP Frédéric Potier.

Mais si le nombre des actes antisémites a globalement baissé en 2017, les actes violents parmi eux ont augmenté.

« Je pense qu’il faut sortir de l’aspect purement quantitatif : on sait que l’affaire Sarah Halimi (du nom de la femme juive assassinée par défenestration en avril dernier à Paris par un voisin musulman, NDLR) a traumatisé des familles entières, alors que dans les chiffres, ça ne fait qu’un acte », expliquait alors Frédéric Potier.

Comme nous l’avons dit, sur la base des informations disponibles, il n’y a pas d’affaire « Sarah Halimi ». Nous savons que le type à l’origine des faits est cliniquement fou et que c’est le déchaînement de ces autres cas psychiatriques que sont les juifs qui a amené le gouvernement à valider cette histoire de « crime antisémite ».

Depuis, le meurtre de Mireille Knoll le 23 mars dernier par un de ses voisins soupçonné d’antisémitisme a traumatisé de nombreux esprits et débouché sur une marche blanche contre l’antisémitisme, une première depuis la profanation du cimetière de Carpentras en 1990.

Il en va exactement de même pour cet autre cas. Le fameux « meurtrier antisémite » est en fait une connaissance proche de cette Mireille Knoll qui, après avoir été balancé aux flics pour avoir touché la gamine de sa ménagère, s’est vengé en l’assassinant. Une réalité reconnue désormais par la presse.

Ce qui n’a pas empêché Macron, le serviteur de juifs, de transformer les obsèques du héros Beltrame en scène de pornographie juive, affirmant – en rupture avec son obligation constitutionnelle de réserve – qu’il s’agissait d’un meurtre antisémite.

Les juifs ne supportaient pas l’idée qu’un officier blanc puisse être honoré sans que leur race ne soit placée au centre de toutes les attentions.

Ce qui n’empêche toujours pas, depuis, le gouvernement juif de continuer à répandre ces mensonges hébraïques partout.

De nombreux actes, comme le récent tag antisémite d’une porte rue Ordener à Paris, apparaissent proches de ce qui a été théorisé comme « le nouvel antisémitisme quotidien » et qui alimente ce sentiment qui inquiète aujourd’hui au-delà même de la communauté juive.

Ah, les fameux tags antisémites.

Une vieille ficelle hébraïque.