Le gouvernement français se mobilise pour Amadou, clandestin guinéen reçu à Sciences Po par internet actuellement « bloqué » en Grèce

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 Juillet 2020

Cette république judéo-maçonnique n’est plus qu’une pompe à nègres planétaire.

Elle met la main sur tout ce qui peut ressembler à une tête de cafre pour l’établir dans la bucolique campagne auvergnate.

BFMTV :

Un jeune migrant guinéen a été admis à Sciences Po Paris mais il est bloqué en Grèce le temps de l’examen de sa demande d’asile. Une procédure retardée en raison de l’épidémie de coronavirus.

L’ambassade de France à Athènes s’est saisie de la question d’un jeune migrant guinéen admis à Sciences Po bloqué en Grèce, pour qu’il puisse étudier dans cet établissement prestigieux à Paris, a apprisl’AFP ce lundi de source diplomatique à Athènes.

L’ambassade de France à Athènes « travaille à une solution avec le gouvernement grec », a indiqué à l’AFP cette source. Amadou Diallo, 20 ans, a été admis à l’Institut d’Etudes politiques de Paris (Sciences Po) sur dossier, puis après avoir passé un entretien en visioconférence. Mais l’examen de sa demande d’asile a été retardé par l’épidémie de coronavirus et pourrait l’empêcher de se rendre en France.

Le Quai d’Orsay ne saurait oublier en Grèce un futur Français illettré admis à Sciences Po après 15 minutes à épeler son nom sur Skype.

Sinon la France ne serait plus la France.

N’en déplaise aux déclinologues, la France républicaine sait attirer à elle les talents du monde entier. En tout cas d’Afrique subsaharienne. Avec ses énormes nichons déballés sur sa panse trop grasse, Marianne appelle la négraille universelle à venir se rassasier chez maman.

« Je suis bloqué ici, en Grèce, à la porte de mes rêves », a raconté la semaine dernière le jeune homme originaire de Guinée au journal Le Monde.

Notez comme toute la grande presse juive parisienne se précipite au chevet du futur académicien pour recueillir ses colères.

Une fois arrivé in situ, la même presse s’empressera de faire perdre la tête à Amadou, lequel se découvrira en droit de réclamer 10 femmes blanches et une résidence payée par les contribuables français au titre des dédommagements relatif à l’esclavage. En plus du regroupement familial et de la CMU étendue à sa tribu. Cerise sur le gâteau : il pourra librement cracher sur les Blancs au quotidien avec le satisfecit des autorités.

Selon son avocate, Anna-Maria Kountouri, « Amadou pourrait se rendre en France avec un laissez-passer délivré par l’ambassade de France à Athènes ou bien attendre d’obtenir son asile en Grèce et ensuite voyager avec son passeport ». « Mais cette deuxième solution prendrait évidemment plus de temps », a-t-elle précisé à l’AFP.

Faire patienter quelques mois Sa Majesté serait bien évidemment porter atteinte aux valeurs universelles de la République.

Il faut d’urgence importer cette pépite par avion spécial. Et en classe affaire s’il vous plaît.

Arrivé en octobre 2016 sur l’île grecque de Lesbos proche des côtes turques, le jeune homme, qui a perdu ses parents encore enfant, a fui son pays où il se sentait persécuté.

Les « sensations » des nègres sont capitales pour la diplomatie française.

J’espère bien qu’il aura le droit à une manucure à son arrivée.

L’adolescent parvient ensuite à échapper aux conditions effroyables du camp de Moria à Lesbos en se cachant dans un ferry pour Athènes. Un temps sans abri, Amadou fait la rencontre des membres de l’ONG Home project, qui lui permettent de se reconstruire.

Grâce à un travail dans un hôtel l’été et au soutien de l’ONG, il intègre le lycée franco-hellénique Eugène Delacroix à Athènes. Son attrait pour les relations internationales le pousse à postuler à Sciences Po où il sera admis.

On a trouvé le Eddie Malou des « relations internationales ».

Sans ironie.

Mais l’avenir du jeune Guinéen est suspendu au jugement de la cour d’appel d’Athènes, réunie le 8 juillet pour statuer sur sa demande d’asile. Son audience a de nouveau été reportée au 30 septembre.

Sur les réseaux sociaux, en particulier en France, son histoire a été vivement commentée et a suscité l’émotion. La ministre française déléguée à la citoyenneté Marlène Schiappa a réagi sur Twitter: « Ce jeune homme de talent, réfugié, admis à Sciences Po en France, est actuellement bloqué en Grèce », a-t-elle écrit samedi.

« Le ministère français de l’Intérieur est mobilisé en lien avec la diplomatie française et les autorités grecques, dans le but de trouver une solution: la France est prête à l’accueillir ! », a-t-elle ajouté.

Amadou a confié à l’AFP être « très ému » de ces réactions positives. Une pétition a également été lancée par des élèves de Sciences Po demandant au gouvernement français de faire en sorte qu’Amadou puisse arriver en France sur le campus de Sciences Po pour la rentrée prévue le 15 septembre. En quelques heures, plus de 1800 personnes l’avaient signée.

La première chose que va faire Amadou une fois le pied posé en France sera de passer de très longues heures sur Facebook pour expliquer à tous ses compatriotes guinéens restés au pays à quel point la France – et les Blanches en particulier – se consume de désir ardent à l’annonce de la venue du moindre d’entre eux, déployant des moyens gouvernementaux exceptionnels pour aller les récupérer partout où ils se trouvent.

Cette annonce va faire l’effet d’une révélation divine aux essaims de cafres agglutinés sur leurs écrans bleus, le soir dans leurs cases.

D’ici un an ou deux, nous aurons des villages entiers de Boké ou Mamou qui se mettront en mouvement et qui voudront eux aussi, comme la loi française le stipule, avoir droit au Noël permanent et devenir diplomates. Car Amadou, une fois l’alphabet passablement maîtrisé à la sortie de Sciences Po, sera immédiatement recruté par la diplomatie française pour faire briller la France de par le monde, tout spécialement dans les états blancs où, fort de son immunité diplomatique, Amadou pourra réaliser son véritable rêve : devenir proxénète et trafiquant de dope.

L’Etat Français est arc bouté sur ce projet prométhéen, sourdement obsessionnel, de faire de chaque tête de nègre de cette planète un Français.

On parle souvent, à droite, des voix de Jeanne d’Arc. Elles sont bien pâles en comparaison des hululements de griots qui s’élèvent de toutes les jungles d’Afrique et qui raisonnent dans la tête de tout Français qui halète après l’ennégraillement complet de la vieille Gaule.

Passion cafre. Le cafre par le trou du cul et en intraveineuse, en cachets. Cafre tout le temps, cafre surtout. Cafre-cafre-cafre et re cafre. Jusqu’à ce que la dernière cervelle de l’Hexagone soit génétiquement frite d’une part de sang nègre. Une fixation définitive.

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