Le gouvernement danois veut limiter à 30% le nombre de « non Occidentaux » dans les quartiers des villes du pays

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 mars 2021

Mette Frederiksen n’aime pas trop les bougnoules mais continue de naviguer à vue avec des mesures de femmes, c’est-à-dire des demi-mesures

Le Danemark est le pays scandinave le plus respirable. C’est l’antithèse de la Suède en quelque sorte. Mais c’est encore très loin d’être un pays blanc normal sans parasites extra-européens.

AFP :

Les autorités danoises ont proposé d’étendre l’application d’une loi controversée visant à réduire le nombre de « non-Occidentaux » dans les quartiers, a annoncé mercredi le gouvernement social-démocrate.

Dans un nouveau projet de loi, le ministre de l’Intérieur souhaite que le pourcentage de résidents d’origine « non occidentale » dans chaque quartier ne dépasse pas 30 % d’ici dix ans.

Le plan en vigueur, approuvé il y a trois ans, stipule 50 pour cent.

Le Danemark est devenu depuis des années le pays européen le plus restrictif en matière de politique d’immigration, une tendance que la Première ministre sociale-démocrate Mette Frederiksen a poursuivie depuis son arrivée au pouvoir en juin 2019.

Le ministre de l’Intérieur Kaare Dybvad Bek a déclaré que la présence d’un pourcentage élevé d’étrangers d’origine non occidentale « augmente le risque de voir se développer une communauté religieuse et culturelle parallèle. »

Le nouveau projet de loi sera soumis à la discussion des partis parlementaires.

Les chiffres de l’Institut national des statistiques indiquent que 11 % de la population du Danemark est étrangère, et que 58% d’entre eux proviennent de pays classés comme « non occidentaux ».

Bien que ce genre d’annonce en faveur d’une « limitation » de l’immigration non-blanche fasse un certain effet médiatique, en pratique c’est bien moins enthousiasmant.

Pour commencer, n’importe quel volume d’immigration non blanche dans un pays européen supérieur à 0% est outrageusement élevé. L’immigration doit se limiter au tourisme et aux études – à l’exclusion des nègres et des musulmans.

Ensuite, 30% sont largement suffisants pour permettre la formation de « communautés religieuses ou culturelles parallèles », c’est-à-dire d’enclaves raciales insurgées. Même 10% suffisent si vous avez affaire à des peuplades aussi agressives que les somaliens ou les pakistanais.

Et puis cela ne règle rien. Appliquée à la lettre, cela voudrait dire que le Danemark pourrait théoriquement accueillir 30% d’allogènes pour peu qu’ils soient « répartis » ici et là. D’ailleurs, si l’on en croit ce projet, les quartiers majoritairement bougnoulisés seront ventilés ailleurs, pourrissant la vie des quartiers jusqu’ici paisibles.

Encore une fois, on ne peut pas régler le fossé génétique de l’immigration non blanche en déplaçant le problème au sein d’un pays blanc. La règle doit être l’interdiction pure et simple de cette basse humanité africaine et musulmane en Europe, point barre. Tout ce qui se situe en deçà relève du sans-frontiérisme.

Evidemment, vu de France où les races inférieures arrivent par centaines de milliers de colons chaque année, une telle limite raciale, même théorique, fait rêver. Nous sommes déjà à 20% d’allogènes dans tout le pays et 44% des naissances en 2021 sont des créatures marron. Les quartiers exclusivement peuplés de ces bêtes sauvages ne se comptent même plus.

Ces demi-mesures n’ont d’utilité qu’en vue d’acclimater l’opinion à notre grand projet : le nettoyage ethnique intégral de l’Europe, ville par ville, quartier par quartier. La « remigration », comme on l’appelle pudiquement.

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