Le gouvernement australien veut rendre obligatoire la fin de l’anonymat pour Facebook, Twitter, Tinder

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 avril 2021

 

Le gouvernement australien est l’un des plus radicaux dans la mise en place du programme de soviétisation voulu par Davos et la Silicon Valley.

La police australienne est impliquée dans des dizaines d’incidents où des agents particulièrement violents s’en sont pris à des citoyens pour imposer la terreur sanitaire.

Il y a notamment le cas d’une femme enceinte qui faisait valoir ses doutes sur Facebook à propos des mesures sanitaires qui a été interpelée à son domicile et contrainte par la force de s’excuser publiquement auprès du gouvernement.

Le gouvernement australien veut franchir un nouveau cap et interdire l’anonymat sur les réseaux sociaux pour mettre un terme à toute forme d’opposition.

News.com.au :

Le gouvernement Morrison va envisager une mesure radicale pour prévenir le harcèlement et le trolling en ligne, mais les experts affirment que la proposition comporterait de graves risques pour les utilisateurs des médias sociaux.

Le gouvernement envisage de forcer les utilisateurs de plateformes de médias sociaux comme Twitter, Facebook et Instagram – ainsi que de plateformes de rencontres en ligne comme Tinder – à télécharger 100 points d’identification pour pouvoir les utiliser.

Cette recommandation, qui a déjà été soulevée auparavant, est l’une des 88 recommandations du rapport d’une commission parlementaire qui se penche sur la violence familiale, domestique et sexuelle.

« Pour ouvrir ou maintenir un compte de réseau social existant, les clients devraient être tenus par la loi de s’identifier auprès d’une plateforme en utilisant 100 points d’identification, de la même manière qu’une personne doit fournir une identification pour un compte de téléphone mobile ou pour acheter une carte SIM mobile », suggère le rapport.

Il ajoute que les plateformes de médias sociaux « doivent fournir ces données d’identification à la demande du commissaire à la sécurité électronique, des forces de l’ordre ou d’un tribunal« .

C’est une obsession de tous les gouvernements occidentaux depuis des années. Les élites occidentales sont si discréditées que le flot de critiques leur est devenu intolérable.

Il s’agit de pouvoir identifier n’importe quelle personne pour n’importe quelle opinion interdite par l’Etat afin de l’arrêter, la juger puis la condamner par un tribunal d’exception.

En France, ce tribunal d’exception est déjà en train d’être constitué sur ordre du CRIF.

Je ne crois pas vous apprendre grand chose en vous disant que ce système d’identification australien serait immédiatement intégré au passeport sanitaire en vue de créer le crédit social juif dont les démocraties rêvent depuis si longtemps.

Progressivement, se déplacer et avoir une vie sociale, même limitée, ne sera plus seulement déterminée par une autorité centrale invisible sur la base de critères « sanitaires » mais également sur des critères politiques et sociétaux, ce qui intègrera les opinions formulées en ligne.

Si l’on y intègre des applications comme Tinder, les gouvernements pourront virtuellement monter de manière illimitée des dossiers d’agressions sexuelles contre n’importe qui.

Quand le système aura fini d’assembler ce nouveau de surveillance globale, une personne pourra être instantanément mise à mort digitalement : tous les services numériques lui seront fermés, elle ne pourra plus se rendre aux magasins ou dans les zones à QR code. Elle sera aussi marquée numériquement pour que tout le monde soit averti du statut d’une personne décrétée politiquement dangereuse par les autorités.

Quand les banques centrales auront fini de digitaliser les monnaies, ces personnes pourront être bannies du système monétaire – indéfiniment.

Ce sera l’étoile de David des goyim.

Le système pourra rendre une personne « digitalement contagieuse » : les tiers qui entreront en contact avec des individus blacklistés seront placés dans un état de quarantaine numérique pour procéder à l’évaluation de leur comportement.

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