Le gang Le Pen et Bannon s’activent pour mettre en oeuvre une droite communiste antiraciste

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
10 mars 2018

Il y a quelque chose qui se passe dans l’ombre et cela implique le gang Le Pen et Bannon.

Bannon, pour ceux qui l’ignorent, est responsable des nombreuses fuites d’informations classifiées à la presse juive américaine pour ruiner Trump. C’est pour cela qu’il a été limogé en urgence par Trump qui a mis beaucoup de temps à croire que c’était seulement possible. Il a ensuite été jusqu’à dire que Trump avait « trahi » au profit de la Russie dans cette histoire juive d’ingérence russe.

Quand on parle de la presse anti-Trump, on parle de la presse américaine en totalité, c’est-à-dire de la presse juive. Les positions pro-israéliennes de Trump n’ont jamais apaisé d’un iota cette meute hébraïque.

Et nous retrouvons le sépharade de Perpignan au coeur de cette affaire aux côtés des mêmes réseaux catholico-autistes antiracistes qui ont activement soutenu la Jeanne d’Arc du Bénin.

L’Obs :

C’est grâce à Louis Aliot, député FN des Pyrénées-Orientales et compagnon de Marine Le Pen, que Steeve Bannon a décidé de passer par la France lors de sa tournée européenne auprès des formations politiques populistes et d’extrême droite. « Il était en Italie, pour aller voir la Ligue. Il est passé aussi par la Suisse », explique Louis Aliot à « l’Obs ».

« Il a beaucoup suivi ce qu’il se passe en France, surtout lors de la présidentielle. On s’est rendu compte qu’il n’avait au contact dans l’Hexagone. Il s’est largement expliqué sur ses rapports avec les suprémaciste blancs, et il a clairement dit qu’il ne faisait pas parti de ce groupuscule que sont les ‘ethno-nationalistes’. Non, je ne le trouve pas sulfureux. C’est quand même lui qui a fait gagner Donald Trump. Je pense qu’on a des choses à apprendre, forcément. Je pense qu’il a des choses à nous dire. »

Que se sont dit les trois hommes ? « Nous avons parlé de la situation en France, en Europe, et de cette vague de populisme », raconte Louis Aliot. A « l’Incorrect », le mensuel fondé par les proches de Marion Maréchal-Le Pen, le compagnon de Marine Le Pen expliquait avoir partagé avec lui plusieurs analyses, notamment sur les médias.

Observez ce juif frénétiquement occupé à lutter contre l’instinct de survie des Blancs.

Notez aussi avec quelle constance le problème qui inquiète ces gens est le « racisme » comme force populaire autochtone. Ce sont exactement les mêmes qui ont pris position pour la mulâtresse d’Orléans ou ceux qui, occupés le reste du temps à évoquer Sparte, ont obéi aux consignes du juif perpignanais et ont validé en silence.

Les pièces du puzzle s’assemblent progressivement.

« Leurs analyses sont les mêmes que les nôtres sur un grand nombre de thématiques. Notamment sur la nécessaire résistance médiatique à organiser partout, y compris chez nous en Europe et en France. Trump a réussi à gagner contre ce système médiatique. C’est là sa réussite extraordinaire »

Dixit le juif qui a organisé la fameuse « dédiabolisation », c’est-à-dire le strict alignement du FN mariniste sur le discours judéo-médiatique dominant en purgeant tous ceux qui, à un titre ou à un autre, se rebellaient contre lui.

Et nous touchons à l’essentiel.

Il ne fait aucun doute que la présence de la Jeanne d’Arc numéro 3, i.e. Marion Maréchal Le Pen, à Washington ait été copilotée par Bannon. Ni qu’en retour, ce dernier ait été invité à venir parler à Lille lors de cette pseudo « refondation » qui n’est qu’une continuation de l’escroquerie lepéniste.

Il est tout aussi évident que la clique catholique antiraciste qui soutient MMLP à « L’Incorrect » évolue dans la roue du sépharade. Et que Villiers n’en est pas si éloigné.

Pour mesurer le problème de l’autisme de ces dégénérés :

Et bien sûr, donner la parole au juif Camus, antifasciste éternel :

Ces gens sont déterminés à stopper le racisme coûte que coûte. Ils vont recourir à tous les subterfuges possibles pour désorienter les masses, le grigri gaullo-souverainiste, la francophonie-pour-toujours, la lutte des classes, la mission négrificatrice de la France, tout, absolument tout.

Ce Bannon semble s’agiter un peu partout en Europe et pour peu qu’on le lise, on découvre que son « nationalisme économique » est en fait un socialisme dont le but avoué est de juguler tout réveil racial au sein des masses blanches. Il l’a dit et répété, depuis des années.

Si les masses populaires se réveillent, les partis réactionnaires comme la Ligue restent des escroqueries. Le raffut de la presse juive à leur sujet n’y change rien : la Ligue, par exemple, a déjà été au pouvoir. Elle avait même un ministre de l’Intérieur, Roberto Maroni, qui a régularisé en quantités énormes.

Donc ce que peuvent raconter ces réactionnaires avant les élections n’a aucune espèce de valeur.

Il manque encore des informations pour comprendre réellement ce qui se passe. Mais ce Bannon, après avoir trahi Trump, a été viré de la Maison Blanche puis de Breitbart.

L’histoire nous apprend qu’un traître peut ensuite être utilisé par l’ennemi si on lui garantit les moyens de sa vengeance.

Cette histoire de « nationalisme économique » proclamant l’antiracisme comme pierre de touche de son projet sent l’escroquerie sémitique à plein nez.

Et je vous dit une chose : la bande Le Pen y joue un rôle évident.

Mon premier sentiment est celui-ci : le gang mariniste joue sa survie tandis que la juiverie, sentant le danger, a décidé de s’assurer que cette histoire de populisme ne débouche pas sur une révolution blanche en bonne et due forme. La clique lepéniste offre ses bons services, moyennant la garantie d’une place dans ce système, tandis qu’elle se charge de contenir à toute force la révolution raciste indigène.

Le rôle de Bannon là dedans reste à définir, mais nous allons finir par trouver les donneurs d’ordres.