Le Duce Salvini lance les persécutions contre les bandits rouges pro-migrants avant de qualifier Juncker de poivrot

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 octobre 2018

 

Le Grand Matteo Salvini a officiellement lancé les persécutions contre les ennemis du peuple italien.

Le brigand rouge Domenico Lucano, maire d’une enclave bolchevique pourrie de nègres, a été arrêté hier et placé en résidence surveillée pour avoir infiltré, pendant des années, des quantités astronomiques de cafres dans le pays.

La presse judéo-marxiste est en état de choc.

Le Point :

Domenico Lucano, maire de Riace, un village calabrais de 2 000 habitants, célèbre dans le monde entier pour les deux immenses statues grecques découvertes au large de ses côtes, a été arrêté et placé aux arrêts domiciliaires. Le parquet de Locri l’accuse d’avoir célébré un mariage blanc pour permettre à une Nigériane qui n’avait pas obtenu le droit d’asile pour rester dans la péninsule. On lui reproche également d’avoir confié, sans appel d’offres, la récolte des ordures à deux coopératives qui emploient des migrants. Tous les soupçons d’enrichissement personnel ont en revanche été balayés par le juge.

Enfin !

Une police qui est enfin utilisée à bon escient : persécuter le banditisme rouge.

L’arrestation de Domenico Lucano a exacerbé le débat qui oppose en Italie les tenants de l’accueil de tous les migrants à la ligne xénophobe de la Ligue. « Je veux voir la réaction de tous les nobles cœurs qui veulent remplir l’Italie d’immigrés, a déclaré Matteo Salvini. Lucano est un nul, un zéro. » Giorgia Meloni, leader de Fratelli d’Italia sur la même ligne que la Ligue lui fait écho. « Vous sous souvenez quand Roberto Saviano célébrait le modèle Riace sur l’accueil ? Désormais, il pourra porter des oranges à son ami Domenico Lucano arrêté pour incitation à l’immigration clandestine. »

Des oranges !

Rare voix parmi les intellectuels transalpins à dénoncer sans relâche la dérive xénophobe du gouvernement, Roberto Saviano est en effet devenu la bête noire de la droite italienne sur la question de l’immigration clandestine. Mais l’auteur de Gomorra n’est pas homme à se laisser impressionner. « À travers cette enquête, le gouvernement fait un premier pas vers la transformation définitive de l’Italie en un État autoritaire. »

Oui, le juif Saviano est un ardent partisan de la submersion de l’Italie par les nègres et les mahométans.

Rien de nouveau.

Non plus que l’empoisonnement orchestré par la prêtraille rouge.

Symbole positif pour les partisans de l’intégration, Riace était en revanche pour les tenants de la lutte contre l’immigration l’exemple à ne pas suivre. Ces derniers avaient réussi à empêcher sur la Rai la diffusion d’une fiction qui glorifiait la politique de Domenico Lucano. Les fonds destinés au village avaient été coupés malgré la grève de la faim du maire, soutenu par le clergé local, et les appels au pape. La politique du ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, semble faite sur mesure pour mettre fin à l’expérience de Riace : réduction des financements destinés aux immigrés, de 35 à 20 euros par jour et par individu, et concentration des migrants dans des grandes structures où ils sont privés de liberté pendant 180 jours.

Cette organisation d’enculeurs de gosses est attirée par la négraille comme par des enfants de choeur.

C’est stupéfiant.

Mais ces terroristes peuvent pleurer, cela ne change rien : le peuple continue d’acclamer le Duce Salvini, libérateur de l’Italie et grand persécuteur des brigands pro-migrants.

La Ligue est à 30%.

Hier à Naples, le héros a reçu un accueil chaleureux en dépit du fait que toute cette zone est aux mains de la Camorra qui retire un maximum de fric du trafic de nègres.

Il prend même des photos avec des nègres, ce qui montre l’extraordinaire magnanimité de l’homme d’état par ailleurs occupé à les noyer par centaines.

Je trouve que c’est un bon deal : noyer des nègres à la tête du ministère de l’Intérieur et, en échange, faire des photos.

Ceci dit, Salvini est privé, au sein de cette coalition, de sa liberté de manoeuvre. Il a certes fermé les ports italiens et accru la pression contre la vermine rouge, mais elle est pour l’essentiel libre, bénéficiant de l’appui de la mafia, de l’Eglise et de la finance juive ainsi que, bien sûr, l’UE.

Salvini est d’abord et avant tout en campagne pour les élections européennes dont il compte faire la base de départ de son offensive contre l’UE et, au plan intérieur, contre ceux qui continuent de servir la finance juive en maintenant l’Italie dans l’Euro. Ce n’est qu’après les élections européennes qu’il devrait véritablement abattre ses premières cartes.

Valeurs Actuelles :

« Je ne parle qu’avec des gens sobres qui ne font pas de comparaisons qui ne tiennent pas la route », a lancé Matteo Salvini à l’adresse de Jean-Claude Juncker sur une chaîne de télévision italienne. « Il devrait boire deux verres d’eau avant d’ouvrir la bouche, et arrêter de répandre des menaces non-existantes », a encore ajouté le ministre de l’Intérieur, alors que Jean-Claude Juncker avait craint, la veille, qu’ « après avoir géré la très difficile crise grecque, nous nous retrouvions dans une nouvelle crise, cette fois-ci en Italie ».

Oui !

Aux lions !