Le Drian menace de guerre les talibans pour continuer d’importer des dizaines de milliers de migrants, les premiers djihadistes repérés parmi les afghans débarqués à Paris !

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 août 2021

 

« Nos amis afghans » arrivent.

Les meilleurs traducteurs de tout l’Afghanistan.

Vous pouvez admirer le matériel. Des millénaires de consanguinité.

Dans cette course aux likes et aux petits cœurs menés par Macron et ses diplomates homosexuels, il n’y a plus de limites.

Les quelques « centaines » de traducteurs du début de cette histoire se sont vite transformés en « milliers ». Plus de 7,000 à cette heure, en augmentation rapide.

D’ailleurs, il n’est plus question de « traducteurs » ni même de gens ayant « aidé la France » – un concept pour le moins fumeux – mais de n’importe qui dans les rues de ce pays « partagent les valeurs de la France » (NB : le mariage gay, le divorce et l’avortement).

Le Journal du Dimanche :

Selon nos informations, 7.000 noms y étaient déjà répertoriés vendredi. Ces Afghanes et ces Afghans n’ont pas de lien direct avec la France mais partagent avec notre pays ses « valeurs », selon l’expression d’Emmanuel Macron lundi soir. « Nous n’avons pas attendu le retour des talibans pour accueillir sur notre sol des Afghans menacés, je pense en particulier à Atiq Rahimi », raconte Régis Koetschet. Allusion à ce romancier qui a obtenu son statut de réfugié en France en 1984, dont le frère communiste a été assassiné en 1989, et qui a fini par obtenir le prix Goncourt en 2008.

Je ne sais pas si ces gens sont tout à fait sur la ligne de Marlène Schiappa.

Jean-Yves Le Drian, l’invisible ministre des Affaires Etrangères, veut importer une quantité phénoménale de traducteurs. Les compteurs explosent.

Le Journal du Dimanche :

Nous avons encore quelques Français à évacuer en priorité, mais oui, nous sommes focalisés sur cet objectif majeur. C’est aussi ce que j’ai dit à l’Otan. C’est un devoir moral. Mais c’est un effort rendu très complexe par la situation de chaos. Nous tâchons de repérer ces Afghanes et ces Afghans qui se sont signalés pour les guider face aux embûches qui jalonnent leur chemin jusqu’aux portes de l’aéroport de Kaboul qui sont bloquées par une foule compacte. Tous les cas qui se sont manifestés – et leur nombre s’allonge de jour en jour avec des centaines de noms – sont instruits. Vendredi soir, avant l’arrivée d’une nouvelle rotation en provenance de notre base à Abu Dhabi, nous en avions déjà évacué plus de 500.

Le plus grand nombre parmi eux était des personnes de la société civile afghane menacés, dont certains s’étaient réfugiés à l’ambassade de France dimanche. Nous n’avons pas de problèmes pour évacuer par avion ces Afghanes et ces Afghans menacés qui veulent se mettre sous la protection de la France. Nous avons délivré des visas jusqu’à la dernière minute dimanche midi avant que les Américains n’évacuent la zone verte où se situait le site de notre ambassade que nous avons dû déplacer à l’aéroport militaire. Nous pouvons délivrer par la suite les documents administratifs nécessaires à Abu Dhabi ou en France. Notre seul problème, c’est l’accès jusqu’à l’aéroport, avec les checkpoints talibans, puis l’entrée dans l’aéroport où c’est le chaos avec plus d’une dizaine de milliers de personnes qui se pressent à ses portes. Cela demande à nos forces et à nos diplomates beaucoup de sang-froid et de courage et je veux leur rendre hommage.

Macron se livre à un concours sur les réseaux sociaux avec tous les politiciens occidentaux.

C’est un peu les Jeux Olympiques des instaputes et celui qui importera le plus gros volume de traducteurs à face de baiseurs de chèvre espère pouvoir briller à l’international pendant une bonne journée sur Twitter.

Du coup, il n’y a qu’une seule consigne : truffer les avions de l’armée française avec un maximum d’afghans récoltés à la va-vite.

Et comme nous parlons désormais d’au moins 10,000 à 20,000 de ces traducteurs pour la seule France, Le Drian veut redéclarer la guerre aux talibans pour pouvoir importer tous ces gens marron.

Ne sous-estimez pas la dystopie dans laquelle nous vivons.

L’Etat Français est aux mains d’homosexuels et de femmes blanches qui entendent engranger un maximum de points de vertu sur les réseaux sociaux. S’il faut une guerre pour des likes, il y en aura une.

C’est justement ce que viennent de dire les talibans.

Qu’est-ce que les talibans sont censés faire ?

Ils ont un accord avec les américains : deux semaines pour évacuer leurs citoyens encore présents. Ce qui était très raisonnable. Et tout d’un coup, une nuée de femmes blanches et d’homosexuels de Paris, Londres ou New-York disent qu’ils resteront le temps qu’ils voudront dans cet aéroport pour importer tous les gens marron candidats au départ vers l’Occident. Ce qui en Afghanistan doit représenter facilement 75% de la population.

Les talibans ne peuvent pas tolérer de voir leur souveraineté contestée aussi publiquement sans réagir, surtout dans leur capitale.

Mais ces femmes blanches et ces homosexuels n’en ont rien à faire. Ils veulent des migrants pour se glorifier moralement lors de leur prochain cocktail mondain et personne ne les arrêtera.

Les talibans vont probablement devoir se battre pour foutre dehors ces fiottes occidentales accrochées à l’aéroport de Kaboul comme des mouches vertes sur un tas de fumier. Sinon ce truc durera jusqu’à Noël, voire des années.

L’autre conséquence, en plus d’un assaut en règle sur leur aéroport par les talibans pouvant se transformer en bain de sang pour tous les occidentaux encore présents dans ce pays, c’est que tous ces traducteurs afghans fraîchement arrivés sont pour l’essentiel des djihadistes qui ont pris le premier charter afin de venir mener le djihad démographique avec l’aide de la CAF.

Vous allez me demander comment, dans un pays comme la France qui est régulièrement attaqué par des migrants musulmans partisans du djihad, les autorités peuvent répéter le même système qui a mené au carnage du Bataclan ou bien des tueries de Nice.

Encore une fois, ne sous-estimez pas la dystopie dans laquelle nous vivons.

Comme nous sommes dirigés par les mêmes femmes blanches hystériques et les mêmes homosexuels qui sont responsables de ces désastres précédents, le schéma ne peut que se répéter, encore et encore, indéfiniment, sans jamais que ces bobos ne se posent la moindre question.

Pourquoi dans les mêmes conditions devrions-nous attendre un résultat différent ?

Bien entendu, une fois que tous ces white saviours auront fini de se shooter émotionnellement sur instagram et Twitter, ils retourneront dans leurs beaux quartiers et vous laisseront gérer, pour les 50 prochaines années, les fameux traducteurs afghans et leurs couteaux de l’amour au coin de votre rue.

La facture sera pour vous, pas pour eux.

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