Le documentaire de la conversion de Diam’s à l’islam fait un carton chez les traînées françaises

La rédaction
Démocratie Participative
05 juillet

 

Célébré par le festival de Cannes, le film de Mélanie Georgiades, alias « Diam’s », cartonne en salle !

Près de 100,000 spectateurs en deux jours.

BFMTV :

L’ancienne rappeuse a séduit avec son documentaire présenté en avant-première vendredi et samedi dernier. Il sera diffusé à la rentrée sur la plateforme Brut X.

Retour gagnant pour Diam’s. L’ancienne rappeuse, qui a arrêté sa carrière en 2012, a renoué avec le succès avec son nouveau projet. Son documentaire Salam, présenté en avant-première vendredi et samedi dernier dans les cinémas français, a séduit un large public: 90.096 spectateurs, dont environ 30.000 rien qu’en Île-de-France, rapporte Le Parisien.

Vendredi, ce film co-réalisé par Diam’s, Houda Benyamina (Divines) et Anne Cissé a même dépassé Top Gun: Maverick (sorti le 25 mai dernier), avec 50.000 entrées contre 40.000 pour le blockbuster avec Tom Cruise. Comme l’a expliqué au quotidien Guillaume Lacroix, cofondateur de Brut et producteur de Salam, le public était « jeune, assez féminin, très divers ».

Projeté la veille de la Fête du cinéma, « Salam a été une bonne rampe de lancement », a indiqué dans Le Parisien Philippe Godeau, qui a distribué le documentaire. « Le film a aussi permis de faire venir des gens qui avaient perdu l’habitude d’aller au cinéma. »

Projeté en avant-première mondiale lors de la 75ème édition du Festival de Cannes le 26 mai dernier, Diam’s se confie pour la première fois dans ce film sur son succès, sa santé mentale, sa quête de la paix et sa conversion à l’Islam.

« Salam »: On a vu le documentaire évènement de Diam’s au cinéma
La parole de Diam’s est rare et suscite toujours beaucoup d’engouement. En mai dernier, son interview accordée à Augustin Trapenard pour Brut a été vue plus de 20 millions de fois.

En effet.

Les Français(es) adorent.

Les Québécoises aussi.

Le message fondamental de Diam’s, la moukère saoudienne, c’est qu’il est possible d’avoir été une crasseuse de 15 à 35 ans et de se recycler en mimant la « pureté » (sexuelle) fantasmatique du bled islamique, voie de salut vers le mariage (avec un blédard barbu).

Le kit « pureté » musulman est extraordinairement bon marché.

Il suffit de mettre une bâche, de réciter sa chahada, une recouture de l’hymen (par un chirurgien juif) et, miracle, tout est réglé.

C’est la version fronssaise du « Maintenant, je veux me poser » de la trentenaire usée par la clope et la bite qui cherche un pigeon pour l’entretenir à vie, maintenant qu’elle est sortie de la compétition sexuelle.

La « rédemption » post mur.

Il est temps que je me convertisse à l’islam et fasse des story sur Insta pour pécho un émir de Dubaï

Si vous lisez les commentaires de femmes sous la vidéo de Brut, massifs et univoques, vous trouvez toujours les mêmes trucs informes relatifs au « bien être intérieur ».

Vous trouveriez les mêmes sous des vidéos de sophrologie ou d’astrologie.

Des putes avec des avatars en bikini s’extasient sur une wahhabite en parlant de « liberté ».

Elles appellent ça aussi « l’amour », un truc dans lequel elles mettent indifféremment leurs émotions après une séance de yoga ou un épisode de stranger things.

Cette bouillie mentale sert de fonctionnement cérébral à 100% des femmes. Même quand une femme fait semblant de réfléchir, elle ne régurgite en copié/collé que ce qu’elle a lu ici et là. Un peu de stress et la bouillie émotionnelle rejaillit, comme du lait sur le feu.

Il n’y a aucun ordre dans la tête d’une femme, parce qu’il n’y aucun concept dans la tête d’une femme. Uniquement deux émotions : se sentir bien / se sentir mal.

C’est pour ça que les mecs bloquent devant les mêmes messages stéréotypés qui semblent n’avoir aucun sens concret. Ils ne voient pas exactement de quoi ça parle, à quoi ça mène, et pourquoi autant de femmes semblent d’accord.

La chose ultime qui fait « se sentir bien » une femme, c’est de ne pas vieillir et de finir seule.

« Merci pour celle que tu es devenue »

Une littérale fatma algérienne qui fait la queue à Auchan.

C’est le dernier espoir des Françaises moyennes en 2022, après un siècle de féminisme : vivre en Arabie Saoudite, la flotte en plus, le fric en moins.

Comme la droite réactionnaire (blanche) n’a jamais rien entravé à la question des femmes, elle n’a aucune chance de marquer quelques points que ce soit avec sa récupération de la « laïcité » venue des loges et reprises par le féminisme. La « laïcité », l’autre nom de l’athéisme justifiant la putisation des femmes en âge d’avoir des gamins, ne peut rien susciter de productif chez les femmes.

La laïcité sert à permettre à des gonzesses d’aller en boîte de nuit s’arroser avant de coucher avec des randoms, pas à fonder quoi que ce soit.

En revanche, l’islam, avec sa masse de crevards inépuisable qui arrivent annuellement par centaines de milliers depuis leurs pays, a des solutions pratiques pour des traînées usagées, moyennant papiers français.

Au vu du nombre de femmes pré-ménopausées en échec personnel sur toute la ligne, le film de la convertie Mélanie paraît comme une oasis en plein désert.

La Française « forte et indépendante » sous antidépresseurs est totalement mûre pour l’islam et le blédard, parce que les hommes blancs préfèrent jouer à la PS5 jusqu’à 35 ou 40 ans.

Toutes ces paumées ne vont pas se convertir, mais elles ont largement acté du fait que l’homme blanc a abandonné l’idée de les traîner par les cheveux jusqu’à l’église pour les marier à 22 ans. Dans leur inconscient animal, cela veut dire que l’homme blanc n’a aucun projet pour elles. Le documentaire de Diam’s sur sa vie d’après la trentaine n’a aucune difficulté à pénétrer ces masses de gonzesses ravagées.

C’est en cela qu’elles servent d’éponge à la normalisation de la loi coranique.

Il reste à peine 30 ans avant que la charia ne soit la seule loi autorisée en France.

Et plus les simps en font des caisses sur la « liberté des femmes », plus les femmes blanches deviennent haineuses, par frustration. Elles finissent par envisager comme une option crédible de vivre sous administration de Daesh.

La démographie et la CAF font le reste.

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