Le docteur qui a révélé à Démocratie Participative l’euthanasie systématique des 70 ans et + en unités Covid répond aux lecteurs !

Démocratie Participative
15 Avril 2020

Suite à son premier courrier révélant la systématisation par l’Etat de l’euthanasie sur les patients de 70 ans et plus, le docteur en poste en unité Covid a tenu à répondre à certaines remarques des lecteurs.

Bonjour à vous chers Démocrates Participatifs,

Je me permets de répondre aux questions suscitées par mon témoignage sur votre forum, et d’apporter en outre quelques précisions, éreinté que je suis d’entendre de vils goyim traiter du sujet, qu’il s’agisse des tocards de la fachosphère arborant une photo de profil de l’enjuivé Raoult, ou des aides-soignantes Roumaines qui sont à la médecine ce que les Sénégalais sont à la physique quantique.

Avant de répondre aux questions, j’avais omis dans mon précédent courrier de préciser quelque chose au sujet des tests Covid. Les diagnostics de patients Covid+ se font de 2 manières : soit un prélèvement naso-pharyngé à l’aide d’un écouvillon, soit un scanner thoracique. On considère que le scanner est le test le plus fiable. Lorsque nous voyons des lésions de pneumonie que le radiologue juge comme typiques, le patient est diagnostiqué Covid+, même si le test par écouvillon est négatif. Il est donc clair que certaines pneumonies virales non causées par le coronavirus, ou bien bactériennes, sont étiquetées à tort Covid.

Un auditeur voulait plus d’informations sur le manque de moyens des médecins Français et l’incapacité des services de réanimation à prendre en charge tous les patients en état grave, par manque de respirateurs, etc. Il faut tout d’abord savoir qu’un service de réanimation n’a jamais beaucoup de lits. Par exemple, un hôpital où j’ai travaillé, qui comptait 2 services de chirurgie et 6 services de médecine ne possédait que 7 lits de réanimation. Il est vrai qu’avec cette crise, un certain nombre de lits de soins continus ont été transformés en lits de réanimation, et parfois même des salles de réveil, mais ça n’a pas lieu partout. Des connaissances qui travaillent en réanimation dans certains CHU de grandes villes de France me disent qu’ils n’ont pas plus de patients que d’habitude. Pour ma part, bien que certains jacasseurs aient émis l’hypothèse que mon hôpital se trouve au fin-fond de la Creuse ou de la Corrèze, je travaille bel et bien dans une région officiellement très touchée par cette épidémie et nous n’avons reconverti aucune salle de réveil, seulement quelques lits de soins continus. Autrement dit, malgré le pic épidémique qui a eu lieu il y a une dizaine de jours vu ce que l’on observe sur le terrain, la situation était gérée, et elle commence à se calmer depuis environ une semaine.

Par ailleurs, je sais également qu’il y a des services de réanimation totalement vides par chez moi. Ils sont le plus souvent dans des hôpitaux privés dotés de services de chirurgie, ils ont donc un service de réanimation et des réanimateurs ainsi que le matériel dont ils ont besoin pour faire leur travail. Les directeurs des hôpitaux publics sont au courant. Mais ils sont au chômage technique ! Les hôpitaux publics environnant préfèrent envoyer leurs patients de réanimation à l’autre bout de l’Afrance, sans doute pour faire dans le sensationnel.

Cet auditeur voulait également que je donne mon avis sur la Chloroquine. Dans mon unité, nous ne sommes pas autorisés à la prescrire systématiquement. Et pour être honnête, je n’ai eu qu’un patient traité par cette molécule associée à l’azithromycine depuis ma prise de fonction, ce qui fait que mon expérience est anecdotique. Le patient en question allait plutôt moins bien que les autres qui n’étaient pas traités par antibiotique ou n’importe quel autre « antimicrobien ».

Il faut savoir que la chloroquine, bien que ce soit un médicament anti-malaria, agit concrètement comme un antiviral, c’est-à-dire qu’il s’attaque à l’ADN du virus, mais aussi à notre ADN présent dans nos cellules, ce que peu de médecins savent. C’est pourquoi l’étude du Pr Raoult a permis de montrer une diminution de la charge virale, comprendre que la chloroquine détruit les virus en s’attaquant à leur code génétique. Mais cet effet n’est pas anodin lorsqu’il touche nos cellules. En s’attaquant à notre propre ADN, il détruit particulièrement l’ADN de cellules souches, notamment au niveau des gonades. Libre à vous de penser que Raoult, ce père d’enfants juifs, promeut la prescription d’un traitement qui rend les goyim infertiles, pour ma part je ne me permettrais pas de tirer de conclusions antisémites.

Un autre effet néfaste de la chloroquine est qu’elle augmente l’inflammation au niveau tissulaire. Des médecins se sont penchés sur la question suivante : pourquoi les enfants porteurs sont majoritairement asymptomatiques ? La raison est que plus notre système immunitaire est mature, plus la réponse à cette infection virale sera importante, et plus les dégâts seront importants. Chez les enfants, qui ont un système immunitaire fonctionnel mais de « petite envergure » les globules blancs arrivent à gérer la situation et ils ne développent pas de symptômes. Chez les adultes, en revanche, les globules blancs vont envoyer l’artillerie lourde, aidés de molécules pro-inflammatoires, et endommager les tissus. La Chloroquine va donc participer à ce processus inflammatoire, en faisant augmenter notamment l’oxyde nitrique au niveau des tissus inflammés. L’oxyde nitrique contribue à une myriade de processus inflammatoires et dégénératifs, c’est un sujet à part entière que nous pourrons traiter à une autre occasion. Il faut simplement comprendre que l’angiotensine produite en réponse au virus augmente déjà l’oxyde nitrique. C’est un véritable cercle vicieux. Enfin, la chloroquine est un immunosuppresseur connu. Tout ce qui diminue l’immunité, même à court terme, cause des dégâts à long terme.

Le problème de cette infection est principalement la réponse pro-inflammatoire du système immunitaire, qu’il faut essayer de diminuer au possible. Dans ce contexte, donner de l’oxygène pur est délétère, voire criminel. En effet, de l’oxygène à haute concentration entraîne une diminution du taux de dioxyde de carbone (CO2) dans les poumons. Le CO2 ayant un effet anti-inflammatoire, nous avons tout intérêt à faire en sorte que les patients en respirent. L’oxygène pure prive les tissus d’oxygène, via les effets Haldane et Bohr. Au contraire, l’air raréfié (avec du CO2) apporte de l’oxygène et de l’énergie aux tissus. Cela peut paraître contre-intuitif, mais c’est la physiologie médicale enseignée habituellement qui est contre-intuitive. Ces phénomènes sont pourtant connus depuis des décennies, études à l’appui. Le composant utilisé dans ces études s’appelle Carbogène, il est composé d’oxygène à 95% et de dioxyde de carbone pour les 5% restant. Ces 5% suffisent à diminuer l’inflammation tissulaire.

C’est malheureusement le cas d’énormément de traitements conventionnels pour toutes sortes de maladies, alors que des molécules utilisées très couramment avant 1945 existent, et soignent réellement. Il faut que vous sachiez que la médecine juive, dite conventionnelle, est bonne pour une chose : les urgences. Si un accident vous brise les os en mille morceaux, ou que vous avalez du poison, on s’occupera de vous à peu près correctement. Pour tout le reste, vous deviendrez un déchet chimique à relativement court terme. C’est ce que l’on appelle la vision mécaniste de la médecine post-Nuremberg. Prenons un seul exemple, puisque vous parliez de la thyroïde et du Lévothyrox dans l’émission. Il y a peut-être un médecin sur 1000 en France qui sache interpréter correctement un bilan thyroïdien, et même qui sache en prescrire un correctement ! Ensuite, ils lisent vos résultats d’analyse comme un enfant de 8 ans pourrait le faire. Il faut vraiment ne rien comprendre au fonctionnement de la thyroïde pour prescrire du Lévothyrox (T4) seul à un patient hypothyroïdien, dont le foie ne parvient généralement pas à convertir la T4 en forme active de l’hormone thyroïdienne qu’est la T3. Conséquence : le patient sera dépendant à vie au Lévothyrox, sa thyroïde ne fonctionnera jamais correctement, et son organisme compensera par toutes sortes de mécanismes indésirables menant quasi-inéluctablement à des maladies, souvent mortelles. Il faut admettre que parfois, les symptômes sont amoindris : c’est une victoire sur tous les tableaux pour le Dr. Cohen.

Il faut bien comprendre que le judaïsme médical est le strict équivalent du judaïsme politique. Buzyn et Salomon qui discréditent Raoult depuis le début, le font passer, aux yeux hébétés du ventre mou, pour un héros, un druide, un mage, le messie, et que sais-je encore. J’ai une pensée particulière pour les pseudo-catholiques qui collent la photo de cet escroc sur des toiles Christiques : des idolâtres en manque d’idoles. Bref, ces empoisonneurs de puits me rappellent les pseudo-débats à la télé Française affichant Zemmour face à Finkielkraut. Sur certaines questions, prendre parti, c’est déjà se tromper de parti.

Un détracteur a remis en doute mon courrier sur la question du choc septique. S’il est vrai que l’on ne peut pas toujours parler de choc septique, car soit nous avons traité les patients à temps, soit nous entraînons leur mort, nous constatons tout de même une aggravation des symptômes après une période d’amélioration. Sur les scanners, dans ces situations, nous constatons toujours une aggravation des lésions. Dans mon unité, nous sommes tous d’accord pour dire qu’il y a une surinfection bactérienne suite à cette infection virale. Ce qui veut dire que le virus a fragilisé les poumons pendant environ une semaine, et la faiblesse du système immunitaire fait qu’une bactérie a pu prendre le dessus et abîmer davantage les poumons. Chez ces patients, donc, il y a un retour de la fièvre autour de 39-40°C, des frissons, parfois de l’agitation, etc. Si au moment de cette aggravation nous ne pouvons pas encore parler de choc septique (sinon ils ne resteraient pas dans une simple unité Covid), on peut au moins parler de décharge septique pouvant éventuellement se compliquer d’un état de choc.

Ce contradicteur m’a également accusé de mentir sur le moment où l’étiquette LATA entre en jeu, je dirai simplement que nous avons pour consigne d’appeler le réanimateur bien avant que le patient ait besoin de 15 L/min d’oxygène. Et bien évidemment, il ne réanime que dans très peu de cas. J’ai vu personnellement un patient de 81 ans sortir des urgences avec 3 L/min d’oxygène au masque qui n’allait pas trop mal et déjà sous morphine alors qu’il avait très peu d’antécédents.
J’aimerais maintenant donner un exemple précis de la ruine programmée de l’hôpital public, en dénonçant les pratiques d’un médecin d’Île-de-France appartenant à la même tribu que les personnalités citées plus haut.

Il est chef de plusieurs services de médecine et a permis de faire la réputation de l’hôpital dans lequel il exerce le plus, et considère qu’il a « bâti » cet hôpital. Avec d’autres, il fait partie de la présidence d’une Commission locale qui gère les établissements de santé du département. Approchant de la retraite, il a entrepris il y a environ 1 an le démantèlement de son propre hôpital en disant haut et fort : « C’est moi qui l’ai fait, je vais l’emporter avec moi ». Les effectifs étant déjà réduits depuis plusieurs années, il a décidé d’épuiser les médecins restant en les forçant à faire des gardes dans l’établissement à hauteur de 2 à 3 gardes de 24h par semaine en plus des journées de travail habituelles, pas assez payées pour la charge de travail. Les médecins ont demandé une réévaluation du salaire de ces gardes afin d’attirer des médecins extérieurs pour les faire : la réponse est non, goyim. Les seuls qu’il a accepté de payer décemment, il les harcelait le week-end afin d’obtenir on ne sait quelles faveurs. Le travail devenant de plus en plus pénible, une demi-douzaine de médecins ont démissionné la même semaine. Le patron n’a pas changé de politique, il est déterminé à tout détruire. Bien entendu, il fait cela en accord total avec sa Commission, et les institutions étatiques chargées de veiller au bon fonctionnement du système de santé sur le territoire ne bougent pas. Elles promettent que les choses changeront mais il n’en est rien. Les juifs d’en haut permettent donc aux juifs « d’en bas » de faire fuir les médecins en fabriquant des conditions de travail précaires. Il faut savoir que, par ailleurs, ce médecin n’a pas perdu de vue l’étoile du Berger (à prononcer Berg-eur) et a profité de sa notoriété pour placer son fils au sein du cercle rapproché de Manuel Valls. Il était son conseiller ainsi que celui de Fleur Pellerin, en plus de faire partie de l’équipe de campagne de François Hollande.

Il faut savoir que la pratique de la médecine n’a aucun sens en France occupée. La majorité des médecins suit à la lettre ce que produisent les Revues dites Scientifiques. Les médecins s’abreuvent de ces études qui consistent en du travail prémâché commandé par des laboratoires et qui se transforme en pratique clinique par la prescription des médecins. La dangerosité supposée de l’aspirine, qui est en réalité une molécule quasi-miracle, a été fabriquée de toute pièce par ce genre de filouteries hébraïques, avec des études qui ne reflètent en rien une utilisation clinique normale, mais c’est suffisant pour que les trois quarts des blouses blanches répètent comme des veaux que « ça fait des trous dans l’estomac ». Qu’il s’agisse du cholestérol, du diabète, du cancer même (voir Otto Warburg, prix nobel de Médecine pour ses travaux sur le cancer et proche d’Hitler, qui a quasiment solutionné la question il y a presque un siècle), la pratique médicale est souvent à 180 degrés d’une démarche biologique cohérente. Tous ces sujets mériteraient d’être traités indépendamment, car vous n’avez pas idée du nombre de sujets médicaux où la vérité scientifique est à l’opposé de la pratique judaïque. Deux études de 2013 et 2017 montrent que les erreurs médicales tuent entre 250 000 et 440 000 patients aux États-Unis seuls. J’ai personnellement eu vent d’erreurs qui feraient froid dans le dos de vos auditeurs, et ai été témoin d’effroyables mensonges proférés à des patients soit pour justifier ces erreurs, soit pour contraindre par la peur des patients à suivre différents traitements. La médecine conventionnelle est la véritable religion des goyim, et les blouses blanches en sont les prêtres. Pour ma part, je ne souhaite rien d’autre que la mort de ce système. Ne vous faites pas d’illusion sur ces gens que je fréquente depuis la fac de médecine : ce sont à 99% des dégénérés, des gauchistes, des pédés, des juifs, ou les quatres à la fois.

En ce qui concerne le pourcent restant, dès qu’un médecin souhaite sortir des clous et faire de la vraie médecine, donc soigner des patients, le système en place fait tout pour l’en empêcher. Un des systèmes de surveillance mis en place pour s’assurer que l’on fait bien ce que l’on attend de nous, est celui de la Sécurité Sociale. Chaque fois qu’un médecin prescrit une ordonnance à un patient, lorsque ce dernier se rend à la pharmacie, il y a un duplicata qui atterrit sur les écrans de la Sécu. Par cette méthode, ils voient tout ce qu’on prescrit. Et ceux qui prescrivent ce qu’il faut, comme il faut, reçoivent une prime à la fin de l’année pouvant s’élever à 6 000€ net d’impôt. Goy obéissant, Goy a droit à un su-sucre. Et dans les cas où l’on prescrit des médicaments pouvant réellement aider des patients, mais non recommandés par le rabbinat, les pharmaciens jouent le rôle de gendarmes. C’est-à-dire qu’en lisant l’ordonnance, ils demandent au patient pourquoi le médecin a prescrit tel médicament, et décident si oui ou non le médicament est indiqué pour cette maladie : un épicier met des bâtons de chandelier à 7 branches dans les roues d’un Docteur. Bienvenue en France.

Docteur sûr de lui-même et dominateur

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