Le comploteur juif Fabius McKinsey déclare que ceux qui refusent la tyrannie du Conseil Constitutionnel sont des ennemis de la démocratie, menacent la présidentielle !

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 janvier 2022

Si vous bronchez parce que le fils Fabius vous réduit en esclavage en échange de valises de cash de McKinsey, le père vous accusera d’être un danger pour la (((démocratie))).

Apprenez donc à vous taire.

Le Point :

Laurent Fabius ne semble pas des plus sereins à l’approche de l’élection présidentielle d’avril prochain. Ce qui l’inquiète en particulier : les tentatives de « remise en cause » de « l’État de droit » observées dans le débat public. Jeudi 6 janvier, le président du Conseil constitutionnel présentait les vœux de son institution à Emmanuel Macron, et il en a donc profité pour lui exprimer ses craintes et ses « motifs d’étonnement, voire d’inquiétude, quant au tour pris par le débat public sur la notion d’État de droit ».

« Il n’est plus rare désormais que, en France, comme dans d’autres démocraties considérées comme avancées, des doutes et des critiques s’expriment sur l’État de droit », a insisté l’ancien Premier ministre. Ciblant, sans les nommer, des pays comme la Hongrie ou la Pologne, épinglés par l’UE pour des entorses au respect de l’État de droit, Laurent Fabius a fustigé, également sans les nommer, des « responsables », « au sein même de nos frontières », qui « laissent planer le doute » sur la nécessité de respecter « les décisions du Conseil constitutionnel, voire l’existence de celui-ci ».

L’état de droit, c’est important.

C’est même très important quand les goyim commencent à se montrer réticents.

L’état de droit n’est qu’un slogan pour décrire l’arbitraire juridique grâce auquel opère l’oligarchie cosmopolite. Ces oligarques nomment les juges, décrètent que toutes leurs décisions sont les seules légitimes et proclament que quiconque les contestent est un ennemi de la démocratie.

C’est vraiment aussi simple que ça.

Le seul choix qui est laissé au peuple est de se soumettre à cet arbitraire.

Quand un état décide de se doter de juges qui doivent répondre au peuple de leurs décisions, l’oligarchie internationale, qui est menacée de ne plus pouvoir les acheter à sa guise, se met à vociférer et à brandir le spectre de sanctions. Comme en Pologne récemment.

C’est par cet arbitraire que le Conseil Constitutionnel dirigé par le criminel Fabius a décrété qu’aider à l’infiltration du territoire français était parfaitement légal. Le juif Nahoum – dit « Morin » – s’en félicitait.

C’est ce complot permanent contre le peuple que supervise ce sanhédrin.

Plusieurs politiques, notamment à droite ou l’extrême droite, ont récemment critiqué avec virulence le Conseil constitutionnel. À commencer par le polémiste Éric Zemmour qui a appelé à « se débarrasser des contraintes juridiques de la Cour européenne des droits de l’homme, de la Cour de justice, du Conseil constitutionnel » pour appliquer son plan sur l’immigration.

« Toutes les décisions récentes du Conseil constitutionnel s’opposent à une plus grande protection des Français. (…) Arrêtons avec la naïveté », s’était de son côté insurgé le député LR Éric Ciotti en mai dernier, lorsque les Sages avaient censuré des dispositions de la loi sécurité globale. Laurent Fabius a donc invité jeudi « chacune et chacun, au seuil d’échéances électorales majeures, à bien mesurer ce qu’est véritablement l’État de droit ».

« À manquer d’attention pour leurs décisions (des juges constitutionnels) ou carrément à les attaquer, à manifester au minimum ce que j’appellerai une indifférence au droit, c’est ultimement le principe même de l’État de droit et la démocratie qu’on affaiblit en nourrissant les crises par une autre crise qui pourrait finir par être encore plus profonde que les autres », a encore averti Laurent Fabius.

Le millionnaire socialiste qu’est le juif Fabius parle de manière sibylline, mais le message est clair : la fraude pour les élections présidentielles de 2022 est passée à sa phase opérationnelle.

Fabius n’a pas choisi le 6 janvier par hasard. Les socialistes américains en ont fait un simulacre hier pour dissimuler leur propre fraude, suite à l’entrée pacifique de militants pro-Trump dans l’enceinte du parlement américain. Ils voulaient protester contre l’élection volée par Biden et le Parti Démocrate, avec l’aide de l’état profond.

Il y a un an aujourd’hui, la démocratie était attaquée. La volonté du peuple était attaquée. Et notre Constitution était confrontée à la plus grave des menaces.

Je me rends au Capitole ce matin pour parler du jour de l’insurrection, de l’état de la démocratie américaine et de la voie à suivre.

La sociale-démocratie internationale organisée autour de Davos est le réseau politique qui contrôle aujourd’hui la quasi totalité des états occidentaux. Elle se coordonne sous l’égide des Etats-Unis et de diverses plateformes globalistes comme l’ONU, le FMI ou l’OMS, mais aussi l’UE et l’OTAN. Sans parler de réseaux transversaux comme la franc-maçonnerie ou l’internationale pédo-LGBT.

Ces socialistes sont l’aile politique de la finance juive new-yorkaise.

Quand le juif Fabius se met à disserter sur le thème de l’état de droit en établissant un lien entre toute critique du régime covidiste et les prochaines élections, c’est le signe d’une opération préventive visant à accuser les personnes dénonçant la fraude comme des ennemis d’état.

Des « ennemis de la démocratie », comme disent les juifs.

Nous savions déjà qu’ils étaient à pied d’œuvre, notamment à propos du vote par correspondance.

Je continue de penser que ce n’est pas Macron qui bénéficiera de ce coup d’état, mais cela reste un détail. Peu importe le fantoche qui sera placé à l’Elysée, il ne sera qu’un exécutant.

Nous allons voir dans les mois qui nous séparent de l’élection ce discours de propagande se généraliser.

Si tout fonctionne comme prévu, ce Libération Drahi qui sera moteur dans cette campagne, ensuite relayé par Le Monde Pigasse et le reste de la meute médiatique.

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