Le communiste grec Varoufakis appelle à voter Macron

GLB
Démocratie Participative
30 avril 2017

 

Je suis personnellement reconnaissant envers certains marxistes, même dans leur variable petite-bourgeoise, de savoir remettre le cœur des enjeux sur la table.

Russia Today :

Après s’être affiché avec Arnaud Montebourg ou encore Jean-Luc Mélenchon, l’ancien membre du gouvernement Tsipras, qui lutte désormais contre la désintégration de l’Union européenne, a demandé aux Français de lutter contre Marine Le Pen.

«Nous appelons à exprimer notre opposition catégorique à l’extrême droite en plaçant dans l’urne un bulletin de vote « Emmanuel Macron »», écrit Yanis Varoufakis dans une tribune publiée sur Mediapart le 28 avril.

«Nous sommes conscients des dangers que représente le programme d’Emmanuel Macron pour les équilibres sociaux, et nous sommes en profond désaccord avec son projet pour l’Europe et la zone euro, qui ne fera que prolonger en l’aggravant la situation désastreuse de l’Union Européenne […] Mais le Front national représente un tout autre danger, car il nourrit un projet antidémocratique et de régression sociale qui place l’inégalité entre les hommes au cœur de son programme», poursuit l’ancien ministre grec des Finances, s’exprimant au nom de son mouvement DiEM25.

On se rappellera que ce Varoufakis fut, pendant quelques mois, la véritable égérie des médias occidentaux lors de la conquête du pouvoir en Grèce par les gauchistes judéophiles de « Syriza ».

Si vous voulez faire une idée de ce révolutionnaire :

Naturellement, les gens du genre de Varoufakis prêtent au Front National un « programme » qu’il n’a pas. Le FN est un parti d’orientation radicale-socialiste qui use simplement du chauvinisme comme d’un levier politique. Il n’a pas de vision pratique du monde et n’a donc rien d’inégalitariste.

Ce chauvinisme est, d’une manière générale, tournée contre le reste de l’Europe, Allemagne en tête, plus que contre l’invasion nègre ou islamique. Ce complexe d’infériorité français a logiquement muté en complexe qui n’est pas resté inaperçu.

C’est le point de jonction avec la tribu éternelle.

Ce n’est pas un hasard si le FN « normalisé » a attiré des juifs rouges comme Jacques Sapir ou Emmanuel Todd : ces hébreux sont obsédés par l’Allemagne et n’ont qu’un but, l’anéantir.

Pour rappel, les Inrocks avaient interrogé le prophète d’Israël Todd, nous livrant ainsi le fond de la psychologie archaïque de ce nomade :

“J’étais à l’époque dans une forme d’exaspération morale à cause de sa politique sur les immigrés. Je suis devenu fou ; je ne sais plus très bien ce que je pense idéologiquement aujourd’hui, mais ce que je sais, c’est que le racisme, c’est le mal absolu. Avec Sarkozy, on a frôlé le pire. Je reconnais que je n’étais plus un chercheur ; j’étais en dehors de moi.”

Par-delà ces paradoxes, il reste surtout attaché aux valeurs de son histoire familiale “judéo-bolchévique”, mettant au coeur de tout “l’indifférentisme social”. “On est tous faits pareil”, lui répétait sa grand-mère. Il ne cesse de s’accrocher à ce principe absolu, en mesurant simplement ses variations au sein de systèmes culturels distincts.

C’est ainsi que les juifs perçoivent les « démocraties » : un outil où ils peuvent se mouvoir, la communauté ethno-culturelle n’étant plus le fondement de l’état.

D’ailleurs, et c’est un simple constat, le Front National de Florian Philippot ne parle plus guère d’immigration ou de démographie et se contente d’évoquer les « fichés S étrangers ». Ce qui doit représenter 3 ou 4000 individus, au maximum.

Ceci étant dit, c’est ce sont les forces de l’inconscient blanc qu’il met en mouvement qui terrifie communistes et juifs. Même chez les Français lessivés par deux siècles de démocratisme, d’athéisme fleurant bon le cassoulet maçonnique, ce réveil est redouté.

En dernière analyse, la seule force qui met d’accord les parasites coalisés demeure le national-socialisme. Non pas le « fascisme » – une dictature latine peut être circonvenue, pas une dictature nord-européenne. Le racisme en question, c’est-à-dire le réflexe d’autodéfense d’un peuple, est ce que craignent toutes les forces parasitaires extérieures qui vivent de l’exploitation à outrance de leur victime, tel le vampire.